Le début des hostilités pour le Festival Coréen est lancé depuis 14h cet après-midi. Trois films au programme, et quelques surprises.
Pour commencer, un documentaire interrogeant des réalisateurs et acteurs symboliques en Corée. Ces derniers commentent leur propre travail tout en faisant part de leur inquiétude quand aux nouvelles générations qui arrivent. La critique d‘Ari Ari The Korean Cinema est disponible ici.
Ensuite, toujours dans la joie et la bonne humeur, nous retrouvons les sièges confortables de la Salle 1 du Publicis pour une comédie colorée frôlant le fantastique : Passerby #3 (critique ici). Encore une fois, les aléas du métier de réalisateurs sont au premier plan, mettant en scène une mère dépassée par la crise d’ado de son fils, peinée par un mari qui ne croit pas en sa femme alors qu’elle n’a qu’une aspiration : devenir réalisatrice.
Et enfin, pour clôturer cette journée, Perfect Number nous a plongés dans une enquête noire parsemée de romance, dont la critique se trouve juste là. Néanmoins décevant par son déroulement et sa mise en scène, ce fut tout de même une découverte.
Demain le festival continue !
Article écrit par Cécile Ravidat.