2 – Ralph Dibny
Comme dans chaque épisode, Barry s’offusque du ton humoristique que prend Ralph alors que la menace de DeVoe est bien présente.
Le super-élastique tourne tout à la rigolade et Barry, de plus en plus autoritaire, compense son manque de leadership en mettant le comique de service sur la touche. Sauf que The Flash comprend à la fin, que les blagues de Ralph servaient juste à camoufler une peur irrationnelle d’être tué par DeVoe.
Assez évident, mais Barry, dans son rôle de leadeur, ne parvient toujours pas à se mettre à la place de héros débutants. Surtout qu’on n’est pas idiots et qu’on avait compris la démarche rapidement. Mais chez CW, tout est bon pour traîner et nous éviter d’apprécier une construction narrative intéressante…