• Le Récap’
  • Cinéma
  • Jeu Vidéo
  • Littérature
  • Musique
  • Série
  • Spectacle
Facebook Twitter Instagram
L'Info Tout Court
  • Le Récap’

    Succession, Nicolas Cage, Marvel’s Spider-Man 2… notre récap’ de la semaine !

    4 juin 2023

    Playstation 5 Showcase, festival du Film Insolite, Hellfest Metal Love… notre récap’ de la semaine !

    28 mai 2023

    Tyler Rake 2, Nouvelle école, Chéri, Zelda… notre récap’ de la semaine

    21 mai 2023

    Beetlejuice 2, Tom Holland, Daft Punk… notre récap’ de la semaine

    14 mai 2023

    Dune 2, la grève des scénaristes, Vitalic… notre récap’ de la semaine

    7 mai 2023
  • Cinéma
    7

    Cannes 2023 – Critique How To Have Sex : la perte de la jeunesse

    4 juin 2023
    7.5

    Cannes 2023 – Critique Le Livre des solutions : le bouillonnement créatif de Michel Gondry

    1 juin 2023
    9

    Critique Spider-Man Across the Spider-Verse : maelström d’inventivité visuelle

    31 mai 2023
    7.5

    Cannes 2023 – Critique l’Été dernier : un sujet dangereux traité finement

    28 mai 2023

    Cannes 2023 – le palmarès du 76e Festival de Cannes

    28 mai 2023
  • Jeu Vidéo
    9.4

    Test de Resident Evil 4 Remake : le plus beau de tous tes cauchemars

    7 avril 2023
    5.5

    Critique Super Mario Bros : le film champi-référencé

    5 avril 2023
    7

    Critique The Last of Us Saison 1 : le prix de la survie

    25 mars 2023
    8.5

    Test Octopath Traveler 2, sur le chemin de la réussite ?

    13 mars 2023

    Récap The Last of Us Épisodes 7-8 : du sang dans la neige (SPOILERS)

    6 mars 2023
  • Littérature
    9.5

    Critique Givré : l’art de la pâtisserie glacée en 60 recettes gourmandes et étonnantes

    13 mai 2023
    8.5

    Critique La saga Suikoden : un hommage passionné

    13 avril 2023
    8.5

    Critique Frizzy : une BD jeunesse qui décoiffe !

    8 avril 2023
    9

    Critique Un intérieur à soi : bienvenue chez vous !

    7 avril 2023
    9

    Critique Fichez-nous la paix ! : dessine-moi la guerre en Ukraine

    9 mars 2023
  • Musique
    7.5

    Critique Dans cent ans : le bon tempo

    29 mars 2023

    Événementiel : les bases de l’organisation d’un concert

    29 décembre 2022

    Le top flop musical 2022 de la rédaction

    26 décembre 2022

    Rééditions à la pelle : entre OrelSan, Angèle, Clara Luciani, Juliette Armanet et – M -, lesquelles valent vraiment le coup ?

    26 novembre 2022

    Que vraiment penser de Civilisation Édition Ultime ?

    2 novembre 2022
  • Série
    7

    Critique The Idol Épisodes 1 & 2 : cinquante nuances de The Weeknd

    24 mai 2023
    7.5

    Critique Perry Mason saison 2 : désenchantement délicieusement rétro

    1 mai 2023
    7.0

    Critique The Mandalorian, saison 3 : la menace casquée

    27 avril 2023
    6.5

    Critique B.R.I. , saison 1, épisodes 1 et 2 : contrôle d’identité

    26 avril 2023
    7

    Critique Shrinking saison 1 : how I met your therapist

    11 avril 2023
  • Spectacle
    8.5

    Avignon 2023 – Manon Lepomme dans Je vais beaucoup mieux merci ! : de la dynamite

    4 juin 2023
    9

    Critique Après le chaos : une mère face à l’horreur absolue

    30 mai 2023
    10

    Critique Tout va bien : vous n’aurez ni son optimisme, ni le nôtre !

    28 mai 2023
    8.5

    Critique Tiquetonne : une bonne dose de folie douce

    25 mai 2023
    8.5

    Critique La maladie de la famille M : vivre ensemble, coûte que coûte

    21 mai 2023
Facebook Twitter Instagram
L'Info Tout Court
Accueil - Critique Venom Let there be Carnage : un vrai Carnage…
Critique Venom-Let there be Carnage : Un vrai Carnage…
© Sony Pictures
Cinéma

Critique Venom Let there be Carnage : un vrai Carnage…

Emeric Bispo Emeric Bispo19 octobre 2021Aucun commentaireIl vous reste 6 minutes à lire
Partage
Facebook Twitter WhatsApp

Sony et son Venom reviennent sur grand écran après un premier opus catastrophique et dire que la symbiose n’opère toujours pas est un amer euphémisme…

Alors que Cletus Kasady s’apprête à être exécuté en prison suite à des crimes résolus par Eddy « Venom » Brock, le tueur en série mord ce dernier et se retrouve doté d’un symbiote. Il compte bien l’utiliser pour provoquer un véritable carnage et se venger…

Cependant le seul véritable carnage auquel nous assistons est celui que fait ce film au cinéma de divertissement et au comics… En effet, alors que le premier opus était unanimement reconnu comme un étron fumant (mais un étron qui a rapporté 800 millions de patates), on pouvait attendre de la suite qu’elle ne fasse que mieux, avec qui plus est un cinéaste prometteur à la barre, Andy Serkis, et un Tom Hardy à l’écriture pour pleinement s’approprier le personnage. Force est de constater que Sony à le super pouvoir de faire plus nul que la nullité…

©Sony Pictures
Venom a l’haleine fétide

A l’image de leur Venom qui mange des cervelles de poulet (parce que bon, le personnage ne peut pas manger des cerveaux humain, ça reste du tout public, l’essence même du perso…), ce film ingère toute fonction cérébrale de son spectateur pour camoufler sa bêtise crasse. Son avalanche de blagues dissimule une absence consternante de scénario. Le constat est clair, sur 1H30 de film, entre 45min et 1h de pelloche est seulement employé à l’humour du film, laissant de côté toute potentielle intrigue. L’aspect comique dans les films de super-héros n’est pas nouveau, loin de là, mais il est ici tellement prégnant que le projet n’est plus un film de super-héros mais bien une comédie. Et là où cela est cohérent pour un surhumain pouvant se rapetisser et parler aux fourmis, c’est compliqué pour une adaptation censée mettre en scène le plus gros tueur sanglant de l’univers Marvel…

La scène des homards vous avait scandalisée dans le premier ? Attendez un peu de voir Venom au milieu d’une rave party déguisée et fluo, où personne ne capte qu’il est un monstre (nous pouvons nous mettre dès ce moment notre suspension d’incrédulité au sein de notre fondement) et où il monte sur scène pour dire à tout le monde qu’il les aime… A ce compte là, on préférait les homards. Le Lethal Protector (le clin d’œil au comics est ultra cringe, digne d’une série Z) est donc vidé de toute sa substance pour n’être qu’un bouffon faisant rire la galerie. 

Plus létale chieur que protecteur

Néanmoins pour faire office de bonne foi, on ne peut cacher que certaines vannes font mouche. L’interaction entre Eddy Brock et Venom, à l’instar du premier, est la (seule) chose un peu près intéressante. Cependant au bout d’un tiers de métrage et d’incessante prise de tête entre le héro et son symbiote, nous nous rendons compte avec désarroi que l’intérêt des équipes créatives ne se trouve pas dans la confrontation tant promise entre Venom et Carnage, mais bien dans une pseudo relation amoureuse conflictuelle entre l’homme et son monstre. Ainsi nous ne regardons pas un film sur un super (anti?) héro, mais bien tout simplement une comédie romantique. 

Nous pouvons prendre pour preuve le personnage éponyme qui n’a le droit qu’à une seule scène d’action, réservée au climax. Et cette dernière est la SEULE mettant en scène la fameuse confrontation entre les deux symbiotes, durant 8 minutes à tout péter. Outre l’effet publicité mensongère putassier, cela provoque narrativement un total manque d’enjeux puisque son personnage principal est tout bonnement inactif jusqu’à la fin tandis que les seules autres scènes d’action consiste à voir Carnage attaquer des figurants… 

©Sony Pictures
Un beau glaviot ensanglanté craché au visage du spectateur.

Alors c’est certain, lorsque l’on passe 1h20 à attendre une confrontation qui ne vient pas, lorsque celle-ci arrive en fin de film, nous sommes à deux doigts d’en retirer une certaine satisfaction par un effet de « Ah enfin ! ».  Mais telle une éjaculation précoce, la courte durée du film fait que l’excitation commence à peine que tout est déjà terminé… D’autant plus dommage que le combat reste techniquement plutôt bien fait. Et cela vaut pour l’entièreté du métrage : la mise en scène d’Andy Serkis est bien plus maîtrisée que celle de Ruben Fleischer (le yes man derrière la caméra du 1er) proposant même quelques effets de style animés et de surimpression.

Pareil pour la bande son de Marco Beltrami, qui assume complètement la stupidité du métrage et propose des compositions rock bourrine bas du front mais satisfaisantes. Néanmoins, si la réalisation et la technique se sont un peu améliorées, le reste n’a fait que s’empirer. Les effets spéciaux réussissent la prouesse d’être mieux modélisés que le 1er mais encore plus moches dans leur design, résultant à deux grosses glaires beaucoup trop chères en train de se taper dessus.

Nouveau pire film de super-héros depuis Catwoman ?

Les acteurs quant à eux sont totalement largués. Woody Harrelson est en plein cabotinage pour camoufler son absence de charisme tandis que Naomie Harris repompe son personnage de Calypso dans Les Pirates de Caraïbes, aussi bien dans son look que son interprétation. Et nous voudrions exprimer une douce pensée à la dignité de bonne actrice de Michelle Williams qui nous a quitté bien trop tôt après s’être retrouvée obligée de jouer une scène de chaudasse séductrice envers Madame Chen…

Alors que le métrage n’a manifestement rien à raconter à part des enchainements de scène plus what the fuck les unes que les autres (mention spécial au moment où Carnage se transforme en toupie Beyblade pour créer une tornade…), il arrive tout de même à donner une impression de trop plein avec un montage rushé qui s’évertue à en finir le plus vite possible. On peut au moins lui reconnaître de ne pas avoir fait durer trop longtemps la souffrance.

©Sony Pictures
Image parfaite pour illustrer ce que fait le film au spectateur.

Venom Let there be Carnage rejoint le club des super navets aux côtés de Catwoman, Ghost Rider ou encore Jonah Hex. Son studio producteur n’a visiblement rien à fiche de son matériau d’origine hormis son potentiel commercial. Aucun acteur créatif se soucie de faire ne serait-ce qu’un bon film : Andy Serkis cachetonne et profite de la popularité de la saga pour servir de tremplin à sa reconversion en cinéaste ; Avi Arad et Amy Pascal prennent de haut leur propriété et leur spectateur pensant que ce sont des demeurés congénitaux ; la scénariste Kelly Marcel se torche avec l’essence du personnage tandis que Tom Hardy semble tout simplement se demander ce qu’il fout dans cette galère. Et nous aussi. Plus qu’un carnage, c’est un véritable doigt d’honneur qui est fait aux spectateurs de cinéma et aux fans de comics. 

Venom Let there be Carnage n’est pas à aller voir en salle à partir de ce mercredi 20 octobre 2021.

avis

2.0 Crachat
  • 2
  • Moyenne des lecteurs (1 Votes) 8.5
Marvel Sony Spider-Man
Partager Facebook Twitter WhatsApp

Articles en relation

7

Cannes 2023 – Critique How To Have Sex : la perte de la jeunesse

7.5

Cannes 2023 – Critique Le Livre des solutions : le bouillonnement créatif de Michel Gondry

9

Critique Spider-Man Across the Spider-Verse : maelström d’inventivité visuelle

Laisser une réponse Annuler la réponse

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Les articles du moment
  • Cannes 2023 - Critique Anatomie d'une chute : déconstruction d'un procèsCannes 2023 – Critique Anatomie d’une…
  • Cannes 2023 - l'heure des pronostics pour le palmarèsCannes 2023 – l’heure des pronostics…
  • Cannes 2023 - Critique Omar la fraise : sans pêcheCannes 2023 – Critique Omar la fraise : sans pêche
  • Critique L'Exorciste du Vatican : série B jaculatoireCritique L’Exorciste du Vatican : série B jaculatoire
  • Critique Tango y tango : vague de chaleur sur Buenos Aires ?Critique Tango y tango : vague de chaleur sur Buenos Aires ?
  • Concours

Concours – terminé – Pacifiction : 2 Blu-Ray et 1 DVD à gagner !

7 mars 2023

Concours – terminé – À nos enfants : 3 DVD à gagner !

5 décembre 2022
  • La rédaction
  • Nous contacter
  • Vous faites L’Info Tout Court
  • Partenaires
  • Politique de confidentialité
  • Mentions Légales

Logo CFC 2019

Tapez votre recherche et appuyer sur Enter. Appuyez sur Esc pour annuler.

Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfaits. En cliquant sur “Accepter”, vous consentez à l'utilisation de tous les cookies. Pour refuser, cliquer sur "Refuser". Sinon, vous pouvez cliquer sur "Paramètres des Cookies" pour en gérer leur utilisation. Enfin, pour en connaître nos usages, cliquez sur "En savoir plus".
Paramètres des CookiesAccepter toutRejeterEn savoir plus
Manage consent

Privacy Overview

This website uses cookies to improve your experience while you navigate through the website. Out of these, the cookies that are categorized as necessary are stored on your browser as they are essential for the working of basic functionalities of the website. We also use third-party cookies that help us analyze and understand how you use this website. These cookies will be stored in your browser only with your consent. You also have the option to opt-out of these cookies. But opting out of some of these cookies may affect your browsing experience.
Necessary
Toujours activé
Necessary cookies are absolutely essential for the website to function properly. These cookies ensure basic functionalities and security features of the website, anonymously.
CookieDuréeDescription
cookielawinfo-checkbox-analytics11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Analytics".
cookielawinfo-checkbox-functional11 monthsThe cookie is set by GDPR cookie consent to record the user consent for the cookies in the category "Functional".
cookielawinfo-checkbox-necessary11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookies is used to store the user consent for the cookies in the category "Necessary".
cookielawinfo-checkbox-others11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Other.
cookielawinfo-checkbox-performance11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Performance".
viewed_cookie_policy11 monthsThe cookie is set by the GDPR Cookie Consent plugin and is used to store whether or not user has consented to the use of cookies. It does not store any personal data.
Functional
Functional cookies help to perform certain functionalities like sharing the content of the website on social media platforms, collect feedbacks, and other third-party features.
Performance
Performance cookies are used to understand and analyze the key performance indexes of the website which helps in delivering a better user experience for the visitors.
Analytics
Analytical cookies are used to understand how visitors interact with the website. These cookies help provide information on metrics the number of visitors, bounce rate, traffic source, etc.
Advertisement
Advertisement cookies are used to provide visitors with relevant ads and marketing campaigns. These cookies track visitors across websites and collect information to provide customized ads.
Others
Other uncategorized cookies are those that are being analyzed and have not been classified into a category as yet.
Enregistrer & appliquer