• Le Récap’
  • Cinéma
  • Jeu Vidéo
  • Littérature
  • Musique
  • Série
  • Spectacle
Facebook Twitter Instagram
L'Info Tout Court
  • Le Récap’

    Jeremy Renner, The Last of Us… ChatGPT écrit notre récap’ de la semaine

    22 janvier 2023

    The Last of Us, Pokémon Ecarlate / Violet… notre recap’ de la semaine

    15 janvier 2023

    Les César, Mercredi saison 2, Stromae… notre récap’ de la semaine

    8 janvier 2023

    Oppenheimer, Evil Dead… notre récap’ de la semaine

    25 décembre 2022

    Zach Braff, Barbie, Death Stranding… notre récap’ de la semaine

    18 décembre 2022
  • Cinéma
    4.5

    Critique Jung_E : IA manufacturée

    28 janvier 2023
    4

    Gérardmer 2023 – Critique Piaffe : cosplay de petit poney

    28 janvier 2023
    7

    Gérardmer 2023 – Critique Blood : sang(sationnel)

    27 janvier 2023

    30° Festival International du film fantastique de Gérardmer

    26 janvier 2023
    5.0

    Critique Mayday : le pilote automatique

    26 janvier 2023
  • Jeu Vidéo

    Récap The Last of Us Saison 1 Épisode 2 : la survie à tout prix

    23 janvier 2023
    8

    Critique The Last of Us Saison 1 Épisode 1 : la meilleure adaptation d’un jeu vidéo ?

    16 janvier 2023

    Les tops et flops jeux vidéo 2022 de la rédac’

    29 décembre 2022
    7.5

    Test Splatoon 3, faites « encrer » les calamars !

    10 décembre 2022
    4.0

    Test Pokémon Violet / Ecarlate, la licence ne brille plus…

    23 novembre 2022
  • Littérature
    8.5

    Critique Silence, ça pousse ! : une enquête « grandeur nature »

    9 janvier 2023
    9.5

    Critique Final Fantasy VII Remake Ultimania : le guide officiel pour les fans ultimes

    5 décembre 2022

    [À la découverte] Les passagers de Julia Brandon : de la magie pour tenter de sauver des vies !

    23 novembre 2022

    10 raisons de lire des BD

    15 novembre 2022
    10

    Critique Seth – Face aux murs : un courant d’Art souffle sur les villes

    9 novembre 2022
  • Musique

    Événementiel : les bases de l’organisation d’un concert

    29 décembre 2022

    Le top flop musical 2022 de la rédaction

    26 décembre 2022

    Rééditions à la pelle : entre OrelSan, Angèle, Clara Luciani, Juliette Armanet et – M -, lesquelles valent vraiment le coup ?

    26 novembre 2022

    Que vraiment penser de Civilisation Édition Ultime ?

    2 novembre 2022
    7.5

    Critique Entergalactic : coup de foudre animé

    30 septembre 2022
  • Série
    6.0

    Critique Copenhagen Cowboy, saison 1 : à bout de Refn

    23 janvier 2023

    Récap The Last of Us Saison 1 Épisode 2 : la survie à tout prix

    23 janvier 2023
    5.0

    Critique En Place, saison 1 : vote blanc

    22 janvier 2023
    8

    Critique The Last of Us Saison 1 Épisode 1 : la meilleure adaptation d’un jeu vidéo ?

    16 janvier 2023
    7.5

    Critique Mayor of Kingstown saison 1 : Ray Donovan rencontre The Wire

    16 janvier 2023
  • Spectacle
    8

    Critique La tresse : trois destins de femmes entremêlés

    27 janvier 2023

    Entre nous 2 by D’pendanse : les danseurs de Danse avec les stars enflamment le parquet !

    25 janvier 2023
    9.5

    Critique Jacques de Bascher : le destin hors du commun de l’amant de Karl Lagarfeld

    22 janvier 2023
    8

    Critique À rendre à M. Morgenstern en cas de demande : la petite histoire dans la grande

    15 janvier 2023
    9

    Critique L’espèce humaine : une réflexion puissante et actuelle sur l’humanité

    12 janvier 2023
Facebook Twitter Instagram
L'Info Tout Court
Accueil - James Bond – Critique Quantum of Solace : le Bond ne suffit pas
James Bond - Critique Quantum of Solace : le Bond ne suffit pas
© EON Productions © Columbia Pictures
Cinéma

James Bond – Critique Quantum of Solace : le Bond ne suffit pas

Charley Charley27 septembre 2021Aucun commentaireIl vous reste 7 minutes à lire
Partage
Facebook Twitter WhatsApp

En 2008 débarquait Quantum of Solace, 2 ans après la grande réussite qu’était Casino Royale ! Conçu comme la suite directe d’un diptyque formé avec le film de Martin Campbell, Quantum of Solace a cependant été conçu dans la douleur. Script non-finalisé lors de la grève des scénaristes, réécritures chaque jour sur place… Un joyeux bordel qui s’est malheureusement répercuté sur le produit final, malgré de bonnes intentions !

Après un opus qui redorait le blason de l’agent 007, tout en lui donnant un nouveau départ rafraichissant et prometteur, Barbara Broccoli et Michael G. Wilson (producteurs phare de la franchise via EON Productions) passent la 2e vitesse ! Pour se faire, la même équipe de scénaristes rempile (Neal Purvis, Robert Wade et Paul Haggis) et un nouveau réalisateur est engagé. Après A l’Ombre de la Haine et Neverland, Marc Forster (World War Z, Jean-Christophe et Winnie) s’attèle à cette 22e aventure de James Bond. Malheureusement, la grève des scénaristes survint, et devant un script non-finalisé, Forster et même Craig ont orchestré diverses réécritures.

Quantum of Solace reprend très exactement 1h après les évènements de Casino Royale. Vesper est morte, Mr White est capturé par Bond, et ce dernier décide de le livrer au MI-6. S’ensuivra ensuite une quête de vengeance pour punir les coupables, et faire tomber la mystérieuse organisation criminelle teasée dans l’opus précédent. Et si ces promesses paraissent logiques et parfaitement adaptées, difficile de passer outre les problèmes du film.

James Bond - Critique Quantum of Solace : le bourrinage bicéphale

L’occasion d’aborder la fabrication du film. Quantum of Solace démarre sur les chapeaux de roue. Bond est dans son Aston Martin DBS, lors d’une course poursuite nerveuse en Italie. D’entrée de jeu le bas blesse : une séquence aux cascades excellentes, dotée d’un montage tailladé à la serpe. Ou plutôt par un bûcheron aveugle tentant d’imiter la saga Jason Bourne. Et malheureusement, ce sera globalement la même rengaine tout au long du long-métrage.

Un constat d’autant plus dommageable qu’à l’instar de Casino Royale, le focus est centré sur une certaine viscéralité lors des scènes musclées. On notera ici et là quelques moments réussis, liés à des saillies d’action sobre et tenue : la chute d’un clocher, une baston brutale dans un appartement… Des sursauts de mise en scène néanmoins bien trop rares dans toute cette épilepsie ambiante ! Le lot de consolations restera évidemment un côté pêchu, à défaut d’en apprécier la lisibilité et le vrai bon travail des cascadeurs.

Le Q entre deux chaises

Traiter du deuil et de la vengeance est une promesse des plus excitantes. Mais aussi un prolongement logique de l’arc de Craig/Bond. Des prémices déjà utilisées à bon escient dans Permis de Tuer en 1989 (ou dans l’excellent La Mort dans la Peau du même genre) , mais moyennement appliquées dans le cas présent. Le scénario emmène James Bond de l’Italie à la Bolivie en passant par Haïti et l’Autriche. Un aspect international cher à la saga, mais qui se révèle aussi curieusement anonyme par moments, n’exploitant pas le glamour et le dépaysement adéquat. La faute a une mise en scène et un visuel beaucoup plus classique, dans les carcans des actioners contemporains.

Quantum of Solace dispose d’un aspect réaliste et « gritty efficient » (Casino Royale lorgnait aussi sur ce terrain) mais qui ne trouve pas une balance nécessaire pour conserver son aura classieuse. Une dichotomie de style qui se ressent également dans le fond du scénario. Bond se frayera un chemin jusqu’à Dominic Greene, PDG d’une société écran pour s’approprier les ressources en eau du pays. Très vite le focus sur James Bond est délaissé au profit d’une intrigue cousue de fil blanc, où le but sera de tuer rapidement du yakayo écervelé. Un gros pas en arrière donc !

James Bond - Critique Quantum of Solace : le bourrinage bicéphale
© EON Productions © Columbia Pictures

Pourtant, Quantum of Solace a aussi de bonnes idées et des éléments intelligemment amenés. Tout d’abord Mathieu Amalric est plutôt convaincant en PDG politicard qui la fait à l’envers au gouvernement bolivien. S’appropriant des terrains sous couvert de garantir la préservation de réserves naturelles, Dominic Greene comprend que l’eau ou le pétrole sont l’or d’hier. Un propos environnementaliste moderne pas dénué d’intérêt, loin là encore des exubérances mégalomaniaques à type de destruction du monde.

Rayon Bond Girls on oscille entre le chaud et le froid. Olga Kurylenko campe Camille Montes, une jeune femme également en quête de vengeance, se rapprochant de Greene afin d’atteindre un de ses alliés. Un parallèle pertinent avec Bond (mais qui se révèle un brin inexploité), où leur quête punitive respective les amèneront à s’entrainer (et ce sans coucher ensemble !). Tous deux seront donc en quête d’un soupçon de justice, d’une parcelle de réconfort, une particule de chaleur humaine (d’où le titre du film). De biens jolis mots pour au final limiter l’aspect émotionnel au ras du sol.

Un pas de côté pour James Bond

Très vite, Quantum of Solace se transformera en une croisade de bourrin sans grande finesse, mais néanmoins rythmée. Après tout le film dure 1h40 (soit presque un tiers de temps en moins par rapport au précédent). Pas le temps de s’ennuyer, on va à l’essentiel, quitte à expurger le récit de toute prétention (ou de matière intéressante, au choix). On pourra néanmoins noter que via cet opus, Bond redevient en quelque sorte un réel agent 00 efficace, ayant toujours un coup d’avance.

On pourra noter une Gemma Arterton utilisée comme une Bond Girl clichée et gratuite (et rapidement expédiée dans une scène faisant écho à Goldfinger), un Jeffrey Wright en Felix Leiter ayant encore moins de choses à jouer et un Mathieu Amalric sur le fil avant de sombrer dans le grand guignolesque lors d’un combat final contre Bond. L’occasion aussi de saluer la variété des séquences d’action : poursuite à pied dans Sienne se finissant de manière acrobatique, fusillades en bateau, en avion et un final explosif exploitant le corps à corps. Dommage de ne pas les avoir mieux découpé néanmoins… Mention spéciale à une scène lors d’un opéra, alternant des plans d’1 seconde et montés sans queue ni tête.

James Bond - Critique Quantum of Solace : le bourrinage bicéphale
© EON Productions © Columbia Pictures

Après un Casino Royale de grande classe, Quantum of Solace représente avant tout un gros pas de travers et un James Bond très moyen. Déception à mettre en écho avec les problèmes de production du film évidemment. Heureusement, Daniel Craig assure toujours autant en James Bond. Apportant une vraie énergie et une physicalité dans chacune de ses scènes, on se plait à le suivre pour coller 2-3 pruneaux le tout avec un air laconique. Enfin, David Arnold livre son ultime BO pour la saga James Bond, parvenant grandement à réhausser l’ambiance globale.

Un film avec de bonnes idées, mais très inconstant dans leurs exploitations, et inconsistant dans sa fabrication. Sacrifiant son identité pour se transformer en actioner bourrin et brouillon, Quantum of Solace arrive quand même à intéresser et divertir. Se banalisant au point de perdre ses propres velléités émotionnelles, le film conserve quand même un certain caractère. On retiendra par ailleurs une très bonne séquence de fin, clôturant un chapitre dans la vie de Bond, avant d’en ouvrir un autre d’un tout autre niveau dans Skyfall. Le mot de la fin : le générique par Alicia Keys et Jack White (Another Way to Die) est plutôt sous-estimé !

Quantum of Solace est disponible en DVD/Blu-Ray et VOD sur SALTO.

avis

5 Shaker avec cuillère
  • Moyenne des lecteurs (0 Votes) 0
James Bond
Partager Facebook Twitter WhatsApp

Articles en relation

4.5

Critique Jung_E : IA manufacturée

4

Gérardmer 2023 – Critique Piaffe : cosplay de petit poney

7

Gérardmer 2023 – Critique Blood : sang(sationnel)

Laisser une réponse Annuler la réponse

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Les articles du moment
  • Critique Tirailleurs : mémoires oubliées de l'HistoireCritique Tirailleurs : mémoires oubliées de l’Histoire
  • Récap The Last of Us Saison 1 Épisode 2 : la survie à tout prixRécap The Last of Us Saison 1 Épisode 2 : la survie…
  • Critique Youssef Salem a du succès : mensonges d'amourCritique Youssef Salem a du succès : mensonges d’amour
  • Critique Kai, l'autostoppeur à la hachette : mécanique du buzzCritique Kai, l’autostoppeur à la hachette :…
  • Critique Les Cyclades : l'île aux femmesCritique Les Cyclades : l’île aux femmes
  • Concours

Concours – terminé – À nos enfants : 3 DVD à gagner !

5 décembre 2022

Concours – terminé – Overhaul : 3 clés steam à gagner !

31 octobre 2022
  • La rédaction
  • Nous contacter
  • Vous faites L’Info Tout Court
  • Partenaires
  • Politique de confidentialité
  • Mentions Légales

Logo CFC 2019

Tapez votre recherche et appuyer sur Enter. Appuyez sur Esc pour annuler.

Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfaits. En cliquant sur “Accepter”, vous consentez à l'utilisation de tous les cookies. Pour refuser, cliquer sur "Refuser". Sinon, vous pouvez cliquer sur "Paramètres des Cookies" pour en gérer leur utilisation. Enfin, pour en connaître nos usages, cliquez sur "En savoir plus".
Paramètres des CookiesAccepter toutRejeterEn savoir plus
Manage consent

Privacy Overview

This website uses cookies to improve your experience while you navigate through the website. Out of these, the cookies that are categorized as necessary are stored on your browser as they are essential for the working of basic functionalities of the website. We also use third-party cookies that help us analyze and understand how you use this website. These cookies will be stored in your browser only with your consent. You also have the option to opt-out of these cookies. But opting out of some of these cookies may affect your browsing experience.
Necessary
Toujours activé
Necessary cookies are absolutely essential for the website to function properly. These cookies ensure basic functionalities and security features of the website, anonymously.
CookieDuréeDescription
cookielawinfo-checkbox-analytics11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Analytics".
cookielawinfo-checkbox-functional11 monthsThe cookie is set by GDPR cookie consent to record the user consent for the cookies in the category "Functional".
cookielawinfo-checkbox-necessary11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookies is used to store the user consent for the cookies in the category "Necessary".
cookielawinfo-checkbox-others11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Other.
cookielawinfo-checkbox-performance11 monthsThis cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Performance".
viewed_cookie_policy11 monthsThe cookie is set by the GDPR Cookie Consent plugin and is used to store whether or not user has consented to the use of cookies. It does not store any personal data.
Functional
Functional cookies help to perform certain functionalities like sharing the content of the website on social media platforms, collect feedbacks, and other third-party features.
Performance
Performance cookies are used to understand and analyze the key performance indexes of the website which helps in delivering a better user experience for the visitors.
Analytics
Analytical cookies are used to understand how visitors interact with the website. These cookies help provide information on metrics the number of visitors, bounce rate, traffic source, etc.
Advertisement
Advertisement cookies are used to provide visitors with relevant ads and marketing campaigns. These cookies track visitors across websites and collect information to provide customized ads.
Others
Other uncategorized cookies are those that are being analyzed and have not been classified into a category as yet.
Enregistrer & appliquer