Le studio Bethesda est célèbre pour ses titres vidéoludiques de qualité. Prey ne déroge pas à la règle. Pour sa sortie, nous nous sommes demandé quels autres titres du studio tiennent le haut du podium.
Ce dossier étant subjectif, nous vous conseillons d’éloigner tout objet tranchant ou corde à proximité. Votre sécurité (et celle de nos rédacteurs) passe avant tout !
Et maintenant, retour sur les 5 meilleurs jeux de Bethesda…
Doom 3, l’horreur à tous les étages
Sorti le 13 août 2004 puis réédité 8 ans plus tard avec la BFG Edition, Doom 3 en a surpris plus d’un. En passant de la 2D à la 3D, le titre a gardé son âme tout en ajoutant des nouveautés très bien pensées.
Ainsi, le joueur prend place dans des environnements hostiles, glauques et terrifiants. Au cœur de l’obscurité, seule une lampe torche minuscule vous permet de débusquer les horreurs qui s’y cachent… vous désarmant illico-presto. Une situation crispante jusqu’à ce qu’à ce que la nouvelle édition corrige ce léger défaut. Et la lumière fut…
The Evil Within, la véritable suite de Resident Evil
The Evil Within marque le retour aux affaires de Shinji Mikami, le papa de la célèbre saga Resident Evil. Le but est simple : revenir aux origines du mal. Le moins que l’on puisse dire est que le pari est franchement réussi…
Prenant place dans un univers apocalyptique et glauque à souhait, le joueur suit Sebastian Castellanos, un inspecteur envoyé sur une scène de meurtre avant d’être plongé en plein cauchemar. Entre monstres effroyables, pièges mortels et morts choquantes, le gamer n’aura jamais le temps de souffler. Petite dédicace à la « femme araignée » qui nous a fait suer comme jamais…
Dishonored, l’honneur est sauf !
Nouvelle licence de Bethesda composée de deux épisodes pour l’instant, Dishonored en a surpris plus d’un. Il faut dire que son système de pouvoir et ses possibilités ont de quoi susciter l’intérêt.
Ainsi, le joueur est libre de terminer l’aventure comme il l’entend : s’infiltrer ou massacrer tout le monde, ne sont que quelques options parmi d’autres. Le level-design ingénieux ne laisse rien au hasard et chaque destination peut être atteinte de nombreuses manières. Alors, êtes-vous plutôt un psychopathe ou un ninja fantôme ? Personnellement, nous avons tranché…
The Elder Scrolls V : Skyrim, l’épique dans toute sa splendeur
Notre cœur balançait entre Morrowind et Skyrim sans vous mentir. Après quelques heures de réflexion, c’est ce dernier qui nous a fait craquer. Notre rédacteur étant arachnophobe, les araignées géantes de celui-ci lui ont laissé une forte impression.
Ainsi, en reprenant tout ce qu’il y avait dans les précédents opus, ce cinquième volet se veut complet et profond. D’ailleurs, c’est à partir de cet épisode que les dragons (hors exclusivité Xbox) ont fait leur apparition pour cramer les fesses des joueurs trop curieux. Quelle fut notre surprise d’assister à la naissance d’un dragounet tout mignon. Enfin, il l’était avant de nous brûler vif sans aucune pitié…
Fallout New Vegas, le charme d’un univers post-apocalyptique
S’il y a bien un opus qui fait l’unanimité auprès des joueurs, c’est Fallout New Vegas. Complet et bourré de références aux premiers épisodes, il possède tous les ingrédients d’un must-have.
L’ambiance globale post-apocalyptique dans le désert du Mojave s’avère vraiment réussie. Le scénario se révèle captivant, avec des quêtes annexes variées et un choix dans les dialogues moins manichéens que ceux de Fallout 3. Bref, passer à côté de cette perle vidéoludique serait une bêtise !
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5 commentaires
De la 2d à la 3d ? C’est pas entièrement le cas.
Les ennemis 2d en 3d, certes ! 😉
Je me suis trompé dans la formulation, je vais corriger cela de ce pas. Merci ! 🙂
Le gameplay également. Doom 1 et 2 n’étaient pas « vraiment » en « vraie » 3D ! 😀
Si, les décors étaient en 3d. Nous ne pouvions juste pas jouer sur tous les axes de rotations. Je pense que c’est de ça que tu parles Terminat ? 😉
En résumé oui ! Wolfenstein 3D par exemple lui n’était clairement pas un jeu en 3D : on ne se déplacait que sur un étage, il n’y avait que longueur et profondeur
Et Doom, c’est à peu pres la même chose ! Doom ne proposait jamais une occasion de passer au dessus ou en dessous de quelque chose. La caméra ne pouvait ni monter ni descendre, les tirs allaient automatiquement en haut ou en bas si un monstre y était, et même si les escaliers et ascenseurs permettaient de monter et déscendre, il n’y avait ni pont, ni différents étages supperposés aux bâtiments.
Impossible de se trouver de marcher sur une surface strictement au dessus ou en dessous d’une autre.
D’ailleurs pour encore mieux comprendre : les interrupteurs de Doom ne « pensent » pas à vérifier la hauteur du joueur, seulement la largeur et la profondeur. En gros, même si le joueur etait très en dessous de l’interupteur, mais se tenait en face, là ou le jeu avait prévu : la touche action fonctionnait sur le bouton. Ca donne d’ailleurs lieu a certains « glitch » il me semble.
Presque sans rapport : personellement j’ai éprouvé un manque de verticalité dans Doom SnapMap (2016), alors que la campagne solo a beaucoup de verticalité.