• Le Récap’
  • Cinéma
  • Jeu Vidéo
  • Littérature
  • Musique
  • Série
  • Spectacle
Facebook Twitter Instagram TikTok
Nous aider
L'Info Tout Court
  • Le Récap’

    Godzilla, Clair Obscur, Trump… c’est le Récap’ de la semaine

    11 mai 2025

    GTA 6, Shogun, Philippe Poutou… le récap de la semaine

    4 mai 2025

    Festival de Cannes, Mercredi, Clair Obscur Expédition 33… le récap’ de la semaine

    27 avril 2025

    Les 4 fantastiques, FIBD, Coachella… le récap’ de la semaine

    20 avril 2025

    Robots, Post apo, The Last of Us… le récap’ de la semaine

    13 avril 2025
  • Cinéma
    6

    Critique Warfare : le nerf de la guerre

    7 mai 2025

    Astérix : on a classé tous les films (et série) d’animation

    5 mai 2025

    Thunderbolts : explications sur l’histoire et les scènes post-génériques (SPOILERS)

    2 mai 2025

    Sortie Blu-Ray, DVD & VOD – Requiem for a Dream, le bijou du cinéma a enfin son écrin

    1 mai 2025
    4

    Critique Les Linceuls : à cercueils ouverts

    30 avril 2025
  • Jeu Vidéo

    Récap The Last of Us Saison 2 épisode 5 : la mort dans la peau (SPOILERS)

    12 mai 2025

    Récap The Last of Us Saison 2 épisode 4 : entre deux feux (SPOILERS)

    5 mai 2025

    Récap The Last of Us Saison 2 épisode 3 : point de non-retour (SPOILERS)

    28 avril 2025

    Récap The Last of Us Saison 2 épisode 2 : trauma et parfum de mort (SPOILERS)

    21 avril 2025

    PlayStation 4 : mises à jour, PS Plus, disponibilité… la PS4 est-elle encore une bonne console ?

    21 avril 2025
  • Littérature
    9

    Critique Easy Algérie : des recettes qui vont mettre du soleil dans votre assiette

    1 mai 2025
    6

    Critique Astérix & Obélix : le Combat des Chefs saison 1 – plutôt sympatchix

    30 avril 2025
    9

    Critique Dreamday : Elizabeth Uttara reprogramme notre humanité

    29 avril 2025
    7

    Critique Toxique : des tranches de vies coupées bien nettes

    23 avril 2025
    7

    Critique La Très Catastrophique Visite du Zoo : le club des Cinq de Joséphine mène l’enquête !

    19 avril 2025
  • Musique

    Les avantages du piano numérique pour les musiciens modernes

    4 mars 2025
    7

    Critique Brian Jones et les Rolling Stones : la face cachée d’un mythe

    10 février 2025

    Musique : le top & flop 2024 de Léa

    25 décembre 2024

    Apprendre à mixer : les conseils pour débutant

    23 décembre 2024
    5

    Critique Mariah Carey’s Magical Christmas Specials : le pôle Nord entre enchantement et dénuement

    19 décembre 2024
  • Série

    Récap The Last of Us Saison 2 épisode 5 : la mort dans la peau (SPOILERS)

    12 mai 2025

    Love Death & Robots Vol.3 : classement des épisodes du pire au meilleur

    11 mai 2025

    The Studio saison 1 : tous les caméos des épisodes 1 à 8

    7 mai 2025

    Astérix : on a classé tous les films (et série) d’animation

    5 mai 2025

    Récap The Last of Us Saison 2 épisode 4 : entre deux feux (SPOILERS)

    5 mai 2025
  • Spectacle
    8.5

    Critique À la force ! : un spectacle immersif dans un lieu insolite

    6 mai 2025
    8

    Avignon 2025 – La Métamorphose : le temps passe et passe et passe

    28 avril 2025
    8.5

    Avignon 2025 – S.H.A.K.E.S.P.E.A.R.E. : leur théâtre est un monde entier !

    22 avril 2025
    8.5

    Avignon 2025 – Le mystère Ophelia : une fascinante plongée en eaux troubles

    17 avril 2025
    7

    Critique Et à la fin, ils meurent : la (sale) vérité sur les contes de fées

    7 avril 2025
Facebook Twitter Instagram TikTok
Nous aider
L'Info Tout Court
Accueil - Critique The Gray Man : le Yakayo dans la peau
Critique The Gray Man : le Yakayo dans la peau
© AGBO © Netflix
Cinéma

Critique The Gray Man : le Yakayo dans la peau

Charley Charley29 juillet 2022Aucun commentaireIl vous reste 5 minutes à lireUpdated:29 juillet 2022
Partage
Facebook Twitter WhatsApp

Blockbuster phare de l’été pour Netflix, The Gray Man est le nouveau film des frères Russos (Captain America Civil War, Avengers Endgame). Porté par une casting plutôt sexy (Ryan Gosling, Chris Evans, Ana de Armas, Regé-Jean Page, Billy Bob Thorton…), cet actioner à 200 millions de dollars divertit de manière régressive, sans réussir à s’imposer.

Après le succès planétaire de leurs Avengers (Infinity War et Endgame), la production du chouette Tyler Rake et l’arrivée prochaine du remake-live d’Hercule, les frères Russos reviennent avec The Gray Man. Si leur précédent film pour Apple (Cherry) n’était pas la réussite escomptée (de l’Oscar-bait qui faisait plouf), les voilà donc de retour avec le plus gros budget alloué à un film Netflix (juste devant un certain Red Notice).

Adaptation du roman éponyme de Mark Greany sorti en 2009 (ayant engendré une série littéraire par la suite), The Gray Man se veut un mélange d’action-espionnage où nous suivons le super espion renégat Court Gentry (Ryan Gosling). Ex-taulard aux talents prometteurs, ce dernier fait désormais office de machine à tuer sous le nom de code de Sierra Six, un programme d’agents d’élite chargés de faire le sale boulot de la CIA vite fait bien fait.

Critique The Gray Man : le Yakayo dans la peau
© AGBO © Netflix

Alors qu’il est chargé par son supérieur Denny Carmichael (Regé-Jean Page) d’éliminer une cible à Bangkok, cette dernière se révèle être un autre agent Sierra. Désormais détenteur d’informations sensibles, Gentry/Six va être pourchassé par toute sortes d’organisations et groupuscules, notamment son ex-employeur. C’est ainsi que Lloyd Hansen (Chris Evans), un tueur sociopathe faisant office de mercenaire pour le gouvernement, entre en jeu pour supprimer tout allié de Sierra Six. Tout un programme donc !

L’Homme Gris bien Bourné

Inutile d’attendre un thriller d’action et d’espionnage bien retors : The Gray Man se veut un blockbuster à l’intrigue programmatique et bas du front, avant tout prétexte à faire péter tout et n’importe quoi à chaque séquence d’action. Sorte de Jason Bourne/Treadstone-like, le métrage enchaîne les poursuites et autres confrontations musclées, sans réellement se prendre la tête sur le développement de ses personnages ou les possibles retournements de situation. On soufflera donc assez fort lorsqu’on essayera de nous créer un lien émotionnel bien artificiel à la Man on Fire entre Sierra Six et la jeune Claire (nièce du mentor jouée par la néanmoins très bonne Julia Butters).

Passés quelques flash-backs un brin laborieux, The Gray Man nous entraîne dans cette course à travers divers pays d’Europe sans réellement nous lâcher (bon point niveau rythme), mais également sans une once de réelle dramaturgie (pas très bon point) : pas de doute, on est sur du film de yakayo où chaque personnage tient à nous montrer qu’il a la plus grosse, et préférant les coups de savate plutôt que la diplomatie polie. Malgré un casting avec du beau monde (on compte même Billy Bob Thorton, Wagner Moura, Alfre Woodard ou la caution « on vise le marché indien » avec le pourtant badass Dhanush), seuls un Regé-Jean Page classe (mais pas aidé par des dialogues clichés) et un Chris Evans délicieusement over-the-top arriveront un tantinet à donner de l’incarnation à leurs persos.

Critique The Gray Man : le Yakayo dans la peau
© AGBO © Netflix

Ce dernier est bien loin de son image de Captain America, arborant sa plus belle moustache de contrôleur fiscal pour un antagoniste cabotin que l’on apprécie détester. Il faudra cependant se coltiner les classiques séquences de « bad guys regardant le héros via écrans d’ordinateur », une Jessica Henwick (Matrix Resurrections) totalement sous-exploitée et une Ana de Armas (Mourir peut attendre) tentant vainement de faire exister son personnage d’acolyte capable de botter (efficacement) des culs pour constater le gâchis d’un tel cast.

The Gray Action Man

Bien heureusement, chacun arrive par instants à compenser la faiblesse d’écriture par un certain charisme, à commencer par Ryan Gosling tous muscles saillants et regard de cocker affuté. L’acteur précédemment vu dans First Man assure le job en machine à tuer plus efficace que Sam Fisher, MacGyver et James Bond réunis, au point où la badasserie en devient presque comique. L’occasion donc d’aborder l’action de The Gray Man !

Si le rythme est sans gros temps mort, on saluera lors de courts instants la volonté des Russos de poser l’ambiance en profitant des décors permis par le gros budget de 200 Millions de dollars. On retiendra par exemple le setting d’introduction dans un Bangkok festif ou le climax au château de Chantilly, où l’utilisation plutôt brinquebalante des drones offre par instants quelques moments de dynamisme et de spatialisation (toute proportion gardée à côté d’un certain Ambulance ayant couté 6 fois moins cher). Même niveaux idées de mise en scène c’est la vache maigre, et on retiendra un gunfight menotté à un banc plutôt bien trouvé, avant que la machinerie trop huilée se remette en marche.

Critique The Gray Man : le Yakayo dans la peau
© AGBO © Netflix

Pas avare en tatane (plus ou moins sur-découpée), The Gray Man est à la fois l’alpha et l’omega de leurs artisans : on oscillera donc entre une resucée de la séquence en avion d’Uncharted 3 (avec des CGI encore plus criards que pour le film) et un passage de destruction massive plutôt bien réjouissant en plein cœur de Vienne. Si l’exécution est pas toujours totalement satisfaisante, le côté bourrin régressif parvient à divertir de manière assez régulière, même si l’ensemble manque clairement de chair et de réel impact (à l’image des récents John Wick ou Nobody).

Vous savez combien ça fait 200 millions ?!

Bref vous l’aurez compris, The Gray Man c’est le minimum syndical du blockbuster d’action, malgré du combat de yakayos parfois réjouissant dans son aspect le plus élémentaire. Le tout reste cependant bien aseptisé et anonyme, à l’image de la BO passe-partout d’Henry Jackman (Captain America – Le Soldat de l’Hiver) et du casting bankable complètement sous-exploité. Une resucée de tous les films du genre au déroulé très prévisible, qui sera aussitôt oublié une fois le métrage visionné.

The Gray Man est disponible sur Netflix depuis le 22 juillet 2022

avis

4.5 yakayo oubliable...mais yakayo !

The Gray Man est à l'image de son titre : terne ! Aussi bien visuellement qu'en terme d'écriture, le tout reste dans le minimum syndical et dans la formule de l'actioner fast-food malgré un impressionnant budget.
On sauvera l'aspect réjouissant d'un tournage en décors réels, la distribution plutôt classe et quelques moments de savate plus bourrins que réellement impactants.
Mais au final, un autre film Netflix d'hors et déjà oublié ! On espère que la suite montrera plus de muscle...

  • Moyenne des lecteurs (0 Votes) 0
Netflix
Partager Facebook Twitter WhatsApp

Articles en relation

Love Death & Robots Vol.3 : classement des épisodes du pire au meilleur

6

Critique Warfare : le nerf de la guerre

Astérix : on a classé tous les films (et série) d’animation

Laisser une réponse Annuler la réponse

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.

Nos articles du moment
  • Récap The Last of Us Saison 2 épisode 5 : la mort dans la peau (SPOILERS)
  • Critique Warfare : le nerf de la guerre
  • Récap The Last of Us Saison 2 épisode 4 : entre deux feux (SPOILERS)
  • recap
  • Love Death & Robots Vol.3 : classement des épisodes du pire au meilleur
  • Concours

Concours -terminé- La Prisonnière de Bordeaux : 3 DVD à gagner !

24 janvier 2025

Concours -terminé- Santosh : 3 Blu-rays à gagner !

11 décembre 2024
  • La rédaction
  • Nous contacter
  • Vous faites L’Info Tout Court
  • Partenaires
  • Politique de confidentialité
  • Mentions Légales

Logo CFC 2019

Tapez votre recherche et appuyer sur Enter. Appuyez sur Esc pour annuler.