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Accueil - Critique Spaceman : l’espace c’est chiant
Critique Spaceman : l'espace c'est chiant
© Netflix
Cinéma

Critique Spaceman : l’espace c’est chiant

Charley Charley3 mars 2024Aucun commentaireIl vous reste 3 minutes à lire
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Spaceman est le nouveau film de Johan Renck (Chernobyl)porté par Adam Sandler en astronaute tchèque voyageant aux confins de Jupiter. Un film Netflix intéressant et intriguant sur le papier, se muant in fine en introspection aussi balourde que soporifique.

On avait hâte de voir Spaceman pour quelques raisons non-négligeables. La première étant qu’il s’agit d’un film de SF mis en scène par Johan Renck, metteur en scène de talent à qui l’on doit notamment la superbe Chernobyl. La seconde étant qu’un nouveau drame porté par Adam Sandler (Uncut Gems) est toujours une belle preuve que l’acteur comique sait aussi exceller dans du registre plus risqué.

Critique Spaceman : l'espace c'est chiant
© Netflix

Adaptant le roman tchèque Un astronaute en Bohème, Spaceman nous présente Jakub Procházka, astrophysicien tchèque en voyage spatial solitaire vers Vénus. Parti en laissant sa femme Lenka enceinte, Jakub découvre un nuage stellaire aux environs de Jupiter. C’est alors qu’il fait la connaissance d’Hanuš (on a pas inventé le nom), une araignée extra-terrestre géante semblant être la dernier représentant de son peuple.

Une rencontre étrange, qui sera ainsi le catalyseur pour Jakub afin d’exorciser ses traumas, tandis qu’il apprend que sa femme l’a quitté. Isolé dans l’espace, il va ainsi se remémorer sa relation tendue avec son père (partisan communiste), le décès accidentel de ses parents, son enfance auprès de ses grands-parents, la fois où il a frôlé la mort, sa rencontre avec Lenka..

Perdu dans la psyché

En lisant ce synopsis (et en regardant les 15 premières minutes du film), pas de doute sur les intentions de Spaceman : nous ne sommes pas dans un récit de SF, mais dans un drame introspectif en huis-clos. Sorte de cousin éloigné de Solaris, le film de Renck déroulera donc d’entrée de jeu un programme cathartique pour Jakub, alors qu’Hanuš se veut comme une représentation de tout ce qui travaille intérieurement le personnage.

Critique Spaceman : l'espace c'est chiant
© Netflix

Une dimension métaphysique et psychologique bienvenue, mais où Renck se veut incapable de balancer entre drame concret et ésotérisme planant, faisant avant tout de l’araignée un prétexte balourd en tant que psychothérapeute, plutôt que personnage incarné. Volontairement vaporeux, Spaceman débute de manière planante, renforcée par le score ambiant de Max Richter (The Leftovers) et la voix monocorde de Paul Dano (qui double l’araignée).

Embryon créatif

Le film a aussi des éléments intéressants entourant cette mission solitaire aux enjeux nébuleux, alors que Isabella Rossellini (malgré un rôle-fonction rapidement évacué) incarne la responsable d’un programme spatial plus intéressé à la dimension marketing qu’humaine de sa mission, jouant ainsi leur rôle d’intermède avec Lenka (Carey Mulligan excelle toujours dans ce genre de rôle à fleur de peau) pour cacher la rupture.

Critique Spaceman : l'espace c'est chiant
© Netflix

Malheureusement, Spaceman se voudra à l’image de son personnage principal : apathique ! Le cadre est évidemment propice à l’introspection, alors que la distance qui le sépare de sa femme met en évidence que ce que le protagoniste cherche se trouve à son point de départ. Mais contrairement à un Ad Astra (qui a globalement le même canevas de base et les mêmes intentions), l’écriture pêche par excès de surexplication.

La mise en scène carrée de Renck se révèle également une déception à ce niveau, multipliant les effets de manche stylistiques (plans débullés, images subliminales..) pour accentuer la psychanalyse de comptoir globale. C’est bien dommage, car Adam Sandler livre une prestation solide, au service d’un récit ne parvenant jamais à justifier sa longueur. Le tout jusqu’à un final annihilant ses velléités émotionnelles. Bref, dans l’espace, personne ne vous entendre ronfler !

Spaceman est disponible sur Netflix depuis le 1er mars 2024

avis

3.5 trop space, man

Spaceman est malheureusement un échec, alors que Johan Renck accouche d'un film à la fabrication solide, mais à l'écriture complètement balourde. En résulte une psychanalyse de comptoir beaucoup trop longue pour être planante ou émotionnelle, malgré un Adam Sandler impliqué. Pas nécessairement mauvais, on tient là un nouveau film Netflix absolument fade qui sera aussitôt oublié.

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