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Accueil - Critique Sweet Sixteen : série Z comme zéro
Critique Sweet Sixteen : Série Z comme zéro
© Rimini Edition
Cinéma

Critique Sweet Sixteen : série Z comme zéro

Emeric Bispo Emeric Bispo8 février 2024Aucun commentaireIl vous reste 4 minutes à lire
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L’éditeur Rimini continue son travail de remasterisation en nous proposant de nous plonger dans l’édition Blu-ray du slasher Sweet Sixteen. Une exhumation filmique dont on se serait bien passé. 

La jeune Melissa emménage dans une petite ville du Texas, ancien lieu d’origine de sa mère et fait l’objet de toutes les attentions. Cependant les jeunes hommes voulant l’approcher d’elle se voient poignarder en bon et due forme. Le shérif Dan Burk va alors s’emparer de l’enquête pour trouver le coupable… 

Il est compliqué d’être indulgent avec ces films d’exploitation. Les années 80 sont les années du slasher et les sous-productions vont à bon train pour surfer sur le succès du genre. Sait-on jamais, des jeunes spectateurs en recherche de sensations fortes pourraient se laisser avoir par une jaquette aguicheuse ornant les étagères du vidéoclub du coin. Mais la seule sensation que quiconque peut trouver dans Sweet Sixteen est la somnolence. 

En effet, le métrage est un ersatz fauché de Vendredi 13 qui était déjà lui-même un ersatz à peine passable d’Halloween de Carpenter. Une série Z comme il en pullule par millier à cette époque, avec un réalisateur inconnu qui a œuvré du côté du cinéma érotique. De même pour le scénariste qui a écrit deux épisodes de série avant de complètement disparaître. Avec une telle équipe, on se doute donc bien que le talent ne transparaît pas sur la pellicule. 

Mais à ce titre, Sweet Sixteen est bien plus intéressant en tant que fossile représentant à lui seul tout une époque et un contexte de production. Il pourrait être un porte étendard des séries Z et servir de support à des cours d’histoire sur le cinéma d’exploitation car il en respecte tous les codes. 

Sweet Sixteen $ de budget

Une histoire soporifique où les personnages font exposition sur exposition, entrecoupée de petites scènes de meurtre, avant de retourner vers des tunnels de dialogues filmés en plan fixe ou champs contre champs pour étirer un vide sidéral. Le plus décevant reste le gore chiche du métrage qui se limite à des coups de couteaux donnés dans le vent et des petites taches rouges sur les t-shirts des personnages. 

Et c’est peut-être bien là le plus frustrant de Sweet Sixteen : il ne fait pas partie des petites pépites cachées du genre. L’absence de budget amène parfois à une inventivité en termes d’intrigue, de mise en scène et de liberté, poussant les curseurs toujours plus loin. Comme l’était justement Halloween à son époque et son micro budget de 325 000 $. Il n’en est rien ici. 

Trois petits meurtres au milieu d’une résolution sous couvert de raisons schizophréniques et des ralentis/freeze frame bien kitchouilles nous plongent dans les méandres des clichés de la série B. A l’heure où nanarland a marqué la communauté cinéphile en décortiquant plein de films du genre, autant dire que Sweet Sixteen n’a pas grand chose à nous apporter en comparaison. 

On peut cependant noter des points d’intrigues assez progressistes pour l’époque, notamment via une vision empathique des agressions envers les femmes (ce qui sera le déclencheur de ce déchaînement de violence) et d’une certaine critique d’un racisme ambiant et de l’injustice envers les amérindiens. Cela reste évidemment traité en surface le temps de 3 lignes de dialogue, mais une lueur au milieu de l’obscurité profonde nous paraît toujours plus éclatante. 

Un remaster de qualité

Pour finir, le travail de remasterisation de Rimini Editions est à applaudir car la copie HD est impressionnante de qualité pour un film si mineur dont on imagine la bobine traînée au fin fond d’un placard poussiéreux. Que ce soit le grain de la pellicule, les couleurs pétantes ou le traitement du son à la fois vintage MAIS parfaitement restauré, tout cela donne un charme fou au produit. Malheureusement pas assez pour tenir éveillé pendant 1h30… 

Sweet Sixteen est donc une sous production qui n’a aucun réel intérêt autre que la qualité technique de sa copie restaurée et en tant que représentant de tout un pan du cinéma d’horreur d’exploitation des années 80. Aller on “renterre” ce film et on scrute la prochaine réédition de Rimini.

Sweet Sixteen est disponible en Blu-ray & DVD chez Rimini Editions.

Avis

3 Série Zoporifique

Sweet Sixteen est une série Z fauché qui n'a d'intérêt que d'être représentatif de son époque et de son système de production

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