Comme tous les épisodes canoniques de la licence, Tekken 7 aura su se faire attendre. Après plus de deux années de développement, le titre de Namco finit par arriver sur consoles de salon. Notre patience est-elle récompensée ?
Les poings sur les i. Les hostilités commencent avec une introduction qui donne le ton. L’opening s’avère plutôt excitant et le mode Histoire se fait immédiatement désirer. Malheureusement, c’est une déception. Entre les cinématiques niaises, les personnages clichés et le scénario au ras-des-pâquerettes, il n’y a pas grand chose à se mettre sous la dent. Quoique, la patte artistique sauve plutôt les meubles, et surprend le joueur aussi bien visuellement qu’auditivement.
Une prise en main au poing. L’essence même de Tekken réside dans son gameplay aux petits oignons. Les mécaniques de base ont été modifiées, avec une approche plus accessible. Les Power Crush font leur apparition et peuvent absorber des coups sans être interrompus. On saluera également les ralentis en cours de combat. En plus de montrer la frappe donnée la plus rapide entre les deux protagonistes, cet effet dynamise davantage les affrontements. C’est donc un sans faute !