Le 14 mai 2010 a signé l’arrivée d’Alan Wake, une sortie très attendue puisque le titre a été retardé de nombreuses fois suite à des remaniements en tout genre. L’attente en valait-elle la peine ?
Vous suivez Alan Wake, un écrivain en manque d’inspiration qui décide de s’installer dans la région de Bright Falls en compagnie de sa femme. Celle-ci disparaît mystérieusement et notre héros n’hésite pas pour partir à sa recherche. À la fois action et thriller psychologique ficelé d’une main de maître, l’univers impose une ambiance oppressante et le scénario se révèle être sa grande force.
La musique s’avère très liée à l’ambiance et nous attire droit vers l’horreur, ajoutant un véritable stress au joueur. Dotés d’un visuel sombre et sinistre, les graphismes accentuent cette atmosphère unique du titre. De plus, les décors et les paysages sont d’une beauté très réaliste et immersive.
Au premier abord, la maniabilité semble terriblement dure à maîtriser, mais devient très vite instinctive. Les mouvements fluides et assez rapides du personnage simplifient le tout, étant donné qu’une de vos mains sera obligatoire pour affaiblir les ennemis via la lampe torche qui sera votre arme la plus importante.
Alan Wake marque les esprits et aucune excuse n’est valable pour ne pas y jouer.