Avec le premier volet, Lucien Jean-Baptiste avait réussi à allier les Antilles et la neige, le racisme et la couleur et la peine à l’amour. Avec La deuxième étoile, le défi est encore plus grand : réunir les membres d’une famille, qui fascinés par la vie virtuelle en ont oublié la réalité.
Un Noël au sommet. Avec la tribu Elisabeth, humour, tendresse et bienveillance sont toujours au rendez-vous. Les personnages restent incroyablement drôles, attachants et la sympathie que le spectateur éprouve à leur égard n’en est que grandie. Cependant, avec deux petits nouveaux dans la fine équipe, le temps consacré à chacun est réduit. Impossible alors de s’imprégner pleinement de leur existence, de leurs sentiments et de leurs émois.
Un scénario un peu glissant. Si l’idée d’introduire l’addiction aux nouvelles technologies paraissait intéressante, on regrette qu’elle prenne le dessus sur les vacances et les sports d’hiver. Un peu de ski, un peu de luge mais finalement peu de sensations liées à la belle station des Gets. Une autre histoire parallèle vient également surcharger le tableau, avec au final quelques scènes amusantes, pour beaucoup de clichés. La deuxième étoile ne scintille donc pas toujours, même si l’ambiance conserve toute son énergie, sa lumière et sa douceur.
2 commentaires
Film archi nul
non il ne faut pas dire que ce film est nul vrai, j’ai mieux aimé le premier!!!!!! les acteurs sont sympas, on y passe un bon moment ça détent de temps en temps !!!!!