Des méchants trop gentils
Comme dans un souci de rendre appréciable ces personnages sans foi ni loi, il fallait les humaniser. Deadshot a une fille qu’il aime, Harley Quinn a une double personnalité, entre la tarée et la romantique. Au fur et à mesure, ils forment une famille dans le style « un pour tous, tous pour un », ce qui est terriblement peu crédible pour une bande de sociopathes. Un récit bien trop linéaire pour une équipe censée être chaotique.