Après un premier épisode qui posait énormément de choses sans rien développer, on n’était pas sûrs d’être satisfaits et récompensés en visionnant la suite de Taboo. Le deuxième épisode nous a prouvé qu’on faisait bien de continuer.
Avec son mysticisme incertain et sa noirceur crasse, Taboo s’annonçait comme le mouton noir de la BBC One qui tenterait de retrouver les lettres de noblesses de Peaky Blinders, le côté vaudou en plus. Mais finalement la lutte entre USA et Angleterre se retrouve au centre du récit dans lequel Tom Hardy évolue plus simplement (même s’il porte toujours le show sur ses épaules tatouées) pour laisser place à des machinations politiques tendues du mousquet.