Le FEFFS en musique !
Dans un festival qui concentre un nombre aussi important de visiteurs adeptes de la culture geek, quoi de mieux qu’un concert de musique fantastique dans une église protestante pour enchanter les yeux et les oreilles ? (Saint Thomas, Strasbourg). Star Wars, Indiana Jones, toutes ces mélodies qui ont bercé notre enfance, constituent naturellement la bande originale du FEFFS.

Le FEFFS, c’est aussi l’occaz’ de faire le plein de notre playlist. Rock alternatif, techno, rap, électro, musique classique samplée, il y en a pour tous les goûts. On raffole toujours de la bande originale de Le Matos pour Turbo Kid ou du groupe Annie pour The Guest avec Dan Stevens, dont le titre envoûtant Antonio vaut largement Nightcall de Kavinsky.
Coïncidence cette année au festival, Supernature de Cerrone fit irruption dans deux films : la scène d’ouverture de Climax de Gaspard Noé et aussi dans le décevant An Evening with Bervely Luff Linn de Jim Hosking (voir notre critique de la comédie bien grasse The Greasy Strangler). Évidemment, on enterre nos cadavres sur Fame de David Bowie, comme Matt Dillon dans The House that Jack Built. On a adoré la musique pop de Piercing, ou le Hard Rock revisité par le groupe fictif de Sean Astin dans la série B. Dead Ant (un film dans lequel des ersatz de Guns N’ Roses combattent des fourmis géantes) ou ré-entendre I Love you Always Forever de Donna Lewis au premier degré dans la comédie la plus WTF de cette édition : Diamantino (une parodie de Cristiano Ronaldo, sorte de version moderne de Cendrillon, du milieu footbalistique et du nationalisme). »