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Accueil - Critique Bullet Train : le train cognera 4 fois
Critique Bullet Train : le train cognera 4 fois
© Sony Pictures
Cinéma

Critique Bullet Train : le train cognera 4 fois

Charley Charley31 juillet 2022Aucun commentaireIl vous reste 6 minutes à lireUpdated:30 août 2022
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Abonné aux suites blockbusteresques (Deadpool 2, Fast & Furious – Hobbs & Shaw), David Leitch revient cette fois-ci avec un film plus déjanté laissant toujours la place à la castagne. Bullet Train est porté par Brad Pitt, ainsi qu’un casting de talent (Aaron Taylor-Johnson, Brian Tyree Henry, Joey King, Hiroyuki Sanada, Sandra Bullock…), pour un résultat des plus réjouissants !

Avec son comparse Chad Stahelski, David Leitch s’est ouvert les portes du cinoche d’action avec John Wick 1er du nom, avant d’enchaîner en solo pour réaliser le non-moins efficace Atomic Blonde (malgré un scénario peu convaincant). Par la suite, on l’aura vu diriger la seconde aventure de Deadpool ainsi que le spin-off débilo-rigolo Hobbs & Shaw. Mais avant tout ça, Leitch a fait ses armes en tant que cascadeur, en doublant notamment Brad Pitt à plusieurs reprises sur Fight Club, Troie ou encore Mr & Mrs Smith.

Après lui avoir offert un caméo furtif dans Deadpool 2, le duo se reforme désormais devant/derrière la caméra avec Bullet Train ! Adaptation du roman « Maria Beetle » de Kōtarō Isaka, le film nous emmène au Japon, au sein d’un train à grande vitesse reliant Tokyo à Morioka. Nous découvrons donc 5 tueurs pour le même voyage à bord de cet espace cloisonné : « Coccinelle » (Brad Pitt), un assassin entraîné mais malchanceux ; « Lemon » (Brian Tyree Henry) et « Tangerine » (Aaron Taylor-Johnson), deux frères britanniques au comportement extravagant ; Prince (Joey King), une mystérieuse ado meurtrière ; et enfin Yuichi Kimura (Andrew Koji), héritier d’un clan de yakuza et désireux de venger la tentative d’assassinat de sa fille.

Critique Bullet Train : le train cognera 4 fois
© Sony Pictures

Si le film débute de manière plutôt solennelle, en présentant Kimura comme le héros de cette histoire (après tout c’est bien son arc narratif qui est fil conducteur du roman), que nenni : Bullet Train a la bonne idée de prendre Coccinelle comme protagoniste (puis bon c’est Brad Pitt et sa chevelure impecc’), et d’opérer un changement de ton plus disjoncté pour le restant du métrage. Alors que le personnage pense avoir affaire à une simple mission de routine, à savoir récupérer une mallette et descendre au premier arrêt, le tout va vite se complexifier alors que les assassins à bord vont comprendre que leurs divers objectifs sont tous connectés. Un joyeux programme qui réserve son lot de rires, de castagne et d’énergie communicative !

Mise à prix tokyoïte

Rapidement, Bullet Train prend des allures de mix entre le Smokin’ Aces de Joe Carnahan ou encore Kingsman de Matthew Vaughn, cependant sans être aussi réussi, jusqu’au-boutiste ou singulier. Néanmoins, le cocktail de comédie (qui est curieusement bien réussi) et d’action (pas de combat surdécoupé comme dans un The Gray Man) fonctionne, allié à un rythme plutôt maîtrisé. Pourtant, les quelques premières minutes peuvent faire peur avec ces sideplots explicatifs pour présenter chaque personnage (il y en a une bonne dizaine) peut sembler un brin copieux d’entrée de jeu.

Cependant, via un montage maîtrisé et l’aspect kinétique de l’ensemble, la mayonnaise prend sans jamais perdre le spectateur, tout en prônant une vraie efficacité. On se plait à suivre un Brad Pitt plus détendu du slip que jamais, dans un rôle de loser magnifique maudissant son karma, avec un petit côté Pierre Richard. Ayant réalisé 95% de ses scènes d’action, cette authenticité fait également plaisir à voir via quelques scènes de combat évoquant par instants les grosses tataneries comiques à la Jackie Chan (toutes proportions gardées) ! Mano-à-mano en voiture restaurant, salades de phalanges en wagon silencieux ou final sortant les katanas, Leitch et sa team arrivent à conserver l’intérêt malgré le peu de décors et de techniques de combat différents.

Critique Bullet Train : le train cognera 4 fois
© Sony Pictures

On aurait cependant aimé que le métrage aille plus loin dans l’exploitation de son concept pour en varier l’action, mais là encore le tempo humoristique allié au jeu du chat et de la souris permanent entre les divers personnages finit de valider la note d’intention. On regrettera cependant un final ayant la fâcheuse tendance à lorgner vers l’utilisation abusive d’explosions CGI, mais qui a le mérite de jouer de l’extravagance de ces effets.

De manière générale, la fabrication se veut de bonne tenue, avec des fights pas toujours avares en hémoglobine (mais manquant parfois d’impact), une photographie colorée de Jonathan Sela, une utilisation adéquate des écrans LED (car oui seuls 2 wagons ont réellement été construits pour tout le tournage du film) et le renouvellement de situations via les diverses confrontations.

Assassins au mètre carré

Le gros point fort de Bullet Train reste son casting, qui s’amuse autant que nous à mesure que les provocations envers les uns et les autres s’accumulent au même rythme que les cadavres. Le trio Brad Pitt-Aaron Taylor-Johnson-Brian Tyree Henry vole clairement la vedette au reste de la distribution, autant à l’aise dans leurs saillies burlesques et les quelques effusions de sang. Coccinelle se veut par ailleurs un protagoniste plutôt attachant : un loser magnifique qui n’oublie pas d’être intelligent et capable malgré sa malchance quasi surnaturelle (dont l’explication quasi philosophique renforce la sympathie) et son travail intérieur (à noter du caméo majoritairement vocal de Sandra Bullock faisant presque office de conscience du personnage).

Critique Bullet Train : le train cognera 4 fois
© Sony Pictures

Lemon et Tangerine fonctionnent à merveille en tant que Laurel & Hardy accros à la gâchette et à la punchline, tandis que le film nous abreuve également de quelques caméos plus ou moins bien trouvés à mesure que le fameux train opère 4 arrêts avant destination, ou encore d’apparitions relativement hilarantes de Bad Bunny et Zazie Beetz. Joey King ou Hiroyuki Sanada s’en sortent également avec les honneurs, même si leur quête de vengeance face à un Michael Shannon au look capillaire détonnant reste un tantinet en surface, à l’instar des personnages de Logan Lerman et Andrew Koji trop rapidement expédiés.

Malgré tout, Bullet Train se veut une chouette surprise fun, drôle et décalée. Un divertissement R-Rated de bonne tenue, qui s’affiche sans mal comme le métrage le plus réussi de David Leitch, en plus d’une contre-proposition originale dans le paysage actuel (et venant d’un blockbuster Sony, on en demandait pas tant vu les divertissements honteux et fades au possible que la firme nous a sorti ces derniers mois). Bref, passé un certain pinaillage de manque de dommages collatéraux (les passages lambdas semblent curieusement peu présents), on se retrouve avec une bonne pioche qui se regarde avec un vrai plaisir ! On regrettera juste un dernier segment moins habile.

Bullet Train sortira au cinéma le 3 août 2022

avis

7 vanne à la tatane

Bullet Train réussit là où on ne l'attendait pas : un film d'action relativement carré qui réussit son tempo comique autant que ses personnages bien croqués. Via un casting qui s'en donne à cœur joie et une énergie bien communicative, ce nouveau blockbuster estampillé Sony se veut (pour une fois) réussi : merci Leitch !

  • Moyenne des lecteurs (1 Votes) 7
Sony
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