3 – Sherlock et ses shoots d’heroïne.
Pour l’instant on n’avait jamais vu notre détective abuser de drogues dures, si ce n’est dans « The Abominable Bride » et son traitement psychédélique. Erreur, dans celui-ci, notre bon et bouillant Sherlock s’en donne à cœur joie et enchaîne les fixes d’héroïnes dans un épisode qui oscille entre les montées et les redescentes du héros. Qui d’ailleurs colle ici plus que jamais à celui créé par Conan Doyle.
Cumberbatch est convaincant, ne surenchérit pas, mais apporte via ses différentes interprétations « sobres » et efficaces une nouvelle palette à son personnage. Cheveux gras et barbe de 3 jours, encore plus bavard et diablement plus incohérent que d’ordinaire, il se plante enfin dans son enquête. Encore que, il s’avère finalement encore plus pertinent qu’à jeûne…
Un jeu paradoxal, survolté et parfaitement maîtrisé.
Un commentaire
Excellent épisode, un des meilleurs de la série perso. Avec un GRAND méchant (depuis Moriraty a mes yeux), et des acteur au TOP !
Et du coup, même si j’ai apprécier le 1er épisode, il n’en devient que meilleurs car tout ce suit avec une logique dingue…(le message de Mary, la femme qui aguicher Watson), bref….superbe S4 for now !