• Le Récap’
  • Cinéma
  • Jeu Vidéo
  • Littérature
  • Musique
  • Série
  • Spectacle
Facebook Twitter Instagram TikTok
Nous aider
L'Info Tout Court
  • Le Récap’

    Harry Potter, Taylor Swift, Nintendo Switch 2… le récap’ de la semaine

    1 juin 2025

    Lilo & Stitch, Elden Ring, The Bear… notre le recap’ de la semaine

    25 mai 2025

    Festival de Cannes, Werenoi, Eurovision 2025… le recap’ de la semaine 

    18 mai 2025

    Godzilla, Clair Obscur, Trump… c’est le Récap’ de la semaine

    11 mai 2025

    GTA 6, Shogun, Philippe Poutou… le récap de la semaine

    4 mai 2025
  • Cinéma
    6

    Critique Dragons : remake qui nous Krokmou

    4 juin 2025
    7

    Sortie Blu-Ray, DVD & VOD – La Tour du Diable : kitsch, effrayant, efficace

    4 juin 2025
    6.5

    Cannes 2025 – Critique La Disparition de Josef Mengele : dissection nazie

    31 mai 2025
    6.5

    Cannes 2025 – Critique My Father’s Shadow : mémoires nigérianes

    30 mai 2025
    3.5

    Cannes 2025 – Critique Fuori : ennui en Italie

    30 mai 2025
  • Jeu Vidéo

    Clair Obscur Expédition 33 : le récap’ de tous les boss optionnels

    31 mai 2025

    Expédition 33 : dans quel ordre battre les boss optionnels ?

    30 mai 2025

    Clair Obscur Expédition 33 : comment trouver et vaincre les Névrons Chromatiques

    29 mai 2025

    Clair Obscur Expédition 33 : vaincre les Pétanks sans (trop de) problème

    28 mai 2025

    Expédition 33 – Guide des Mimes : localisation et stratégie pour les battre

    27 mai 2025
  • Littérature
    6

    Critique Clamser à Tataouine : Quenard se fait son American Psycho 

    5 juin 2025
    9

    Critique 11h02, le vent se lève : quand la solitude lit à voix haute

    24 mai 2025
    9

    Critique Easy Algérie : des recettes qui vont mettre du soleil dans votre assiette

    1 mai 2025
    6

    Critique Astérix & Obélix : le Combat des Chefs saison 1 – plutôt sympatchix

    30 avril 2025
    9

    Critique Dreamday : Elizabeth Uttara reprogramme notre humanité

    29 avril 2025
  • Musique

    Les avantages du piano numérique pour les musiciens modernes

    4 mars 2025
    7

    Critique Brian Jones et les Rolling Stones : la face cachée d’un mythe

    10 février 2025

    Musique : le top & flop 2024 de Léa

    25 décembre 2024

    Apprendre à mixer : les conseils pour débutant

    23 décembre 2024
    5

    Critique Mariah Carey’s Magical Christmas Specials : le pôle Nord entre enchantement et dénuement

    19 décembre 2024
  • Série

    Récap The Last of Us Saison 2 épisode 7 : violence qui se mange chaud (SPOILERS)

    26 mai 2025

    The Studio saison 1 : tous les caméos des épisodes 1 à 10

    21 mai 2025

    Récap The Last of Us Saison 2 épisode 6 : révélations qui changent tout (SPOILERS)

    19 mai 2025
    7

    Critique Murderbot (saison 1) : au diable les humains

    16 mai 2025

    Love Death & Robots Volume 4 : classement des épisodes du pire au meilleur

    15 mai 2025
  • Spectacle
    10

    Avignon 2025 – Son odeur après la pluie : la merveilleuse adaptation du best-seller

    6 juin 2025
    8

    Avignon 2025 – Holden : une plongée saisissante dans les eaux troubles de l’adolescence

    30 mai 2025
    8.5

    Avignon 2025 – Le toit du monde : la liberté, mais à quel prix…

    27 mai 2025
    7.5

    Avignon 2025 – Les rossignols du carnage : une ode aux petites histoires qui sauveront la grande

    13 mai 2025
    8.5

    Critique À la force ! : un spectacle immersif dans un lieu insolite

    6 mai 2025
Facebook Twitter Instagram TikTok
Nous aider
L'Info Tout Court
Accueil - Critique Violent Night : le Père Noël est un Yakayo
Critique Violent Night : le Père Noël est un Yakayo
© Universal Pictures
Cinéma

Critique Violent Night : le Père Noël est un Yakayo

Charley Charley29 novembre 2022Aucun commentaireIl vous reste 5 minutes à lireUpdated:30 novembre 2022
Partage
Facebook Twitter WhatsApp

Violent Night est la nouvelle proposition des producteurs de John Wick, Atomic Blonde, Nobody et Bullet Train, où cette fois le Père Noël décide de montrer les gros bras. David Harbour (Stranger Things) incarne donc Santa Claus dans une série B loufoque mise en boîte par Tommy Wirkola (Hansel & Gretel Witch Hunters).

Depuis cette dernière décennie, le cinoche hollywoodien a vu la résurrection d’une espèce de protagoniste pourtant en voie d’extinction (comme les pandas) : le yakayo ! Cet être peu enclin aux négociations, dotées de capacités d’adaptation hors du commun, d’un sombre passif et de propensions au ravalement de façade à base de salades de gencives nous est pourtant hérité du cinéma d’action musculeux des 80’s.

Et alors que les héros plus torturés et complexes semblaient remplacer nos Schwarzenegger, JCVD et autres Stallone, la popularité de Taken, Olympus Has Fallen et autres John Wick a visiblement donné un regain d’intérêt envers les héros préférant faire bouffer la banane directement par les deux bouts. Violent Night est donc une nouvelle déclinaison du concept, où cette fois le Père Noël lui-même s’attaque à du malotru armé le soir du réveillon !

Critique Violent Night : le Père Noël est un Yakayo
© Universal Pictures

Ainsi, Violent Night débute le 24 décembre au soir, alors que le Père Noël se prend une petite murge dans le bar du coin. Las de son rôle et désabusé par l’absence de magie dans le regard des enfants d’aujourd’hui, ce dernier s’apprête à entamer sa toute dernière tournée des cadeaux avant de raccrocher une bonne fois pour toutes son bonnet rouge. Au même instant, la famille Lightsone se réunit dans la grande demeure de la matriarche (jouée par Beverly D’Angelo).

Alors que la jeune Trudy accompagne ses parents fraichement séparés, un groupe de mercenaires attaque la maison et prend en otage les personnes présentes. Désireux de mettre la main sur plusieurs millions de dollars cachés dans un coffre-fort, ce groupuscule va malheureusement faire face au Père Noël, arrivé au moment le moins opportun pour distribuer les cadeaux. Une nuit mouvementée et riche en tatanes s’annonce donc !

Die Hard with a Christmas Tree

Tommy Wirkola s’est fait connaitre dans sa Norvège natale avec quelques films bien délirants comme Dead Snow ou bien The Trip. Et même aux USA, le bougre a su conserver sa folie un minimum dans des projets tels que le très fun Hansel & Gretel Witch Hunters ou l’efficace Seven Sisters. Avec Violent Night, le réalisateur aborde la déviance de son concept avec un certain plaisir communicatif, en reprenant tous les codes des films de Noël.

La réussite du film tient donc dans ce décalage entre l’esprit des fêtes de fin d’année et la série B bien bourrine à la sauce R-Rated. D’entrée de jeu le ton est là, avec un David Harbour (Stranger Things, Black Widow) enfilant comme un gant le costume d’un Père Noël désabusé et alcoolique, avec de surcroît un passif d’ex-viking dont le palmarès d’actes sanglants valide le charclage en règle promis dans le long-métrage.

Critique Violent Night : le Père Noël est un Yakayo
© Universal Pictures

La structure globale de Violent Night n’a rien de neuve, reprenant grosso modo celle de Piège de Cristal (toute proportion gardée d’un point de vue qualitatif) avec de surcroît une séquence hommage à Home Alone (très drôle et bien réussie). Si le film accuse un certain ventre mou en plein milieu, le rythme se veut plutôt maitrisé, avec une bonne présentation des divers personnages plus ou moins hauts en couleur, à défaut de pleinement faire visualiser la topographie de la demeure.

Violent Night accuse aussi d’un nombre relativement élevé de faux-raccords, entre certains personnages secondaires ennemis rapidement présentés pour au final être évacués du film sans raison,ou encore quelques invraisemblances diverses (personne n’entend le raffut des combats ni les personnages se déplacer dans cette maison). Bref, des sacrifices faits au service du fun,qui ne devraient pas tant que ça gâcher le visionnage et l’esprit joyeusement régressif du métrage.

Saint-Nicholas en a gros

Et de ce point de vue là, on appréciera les réjouissances de voir le Père Noël s’adonner à de l’éclatage de crâne à coups de marteau, de l’égorgement à coups de patins à glace ou bien du transperçage avec une étoile de sapin, le tout sous les douces sonorités des chansons de Noël. D’un point de vue chorégraphique, Violent Night fait le job en resserrant son montage, quitte à parfois être trop cuté sur les derniers pugilats (l’inverse des John Wick donc).

Outre le Père Noël, le film fait aussi (un peu trop) la part belle aux Lightsone, en particulier le couple-séparé-mais-qui-va-se-rabibocher incarné par Alex Hassell et Alexis Louder, ainsi que leur fille faisant office de caution « film familial » (avec tous les problèmes à régler via la magie du Réveillon). Ce qui nous amène donc à un autre souci de Violent Night, à savoir son aspect bicéphale : trop violent pour les enfants, mais également pas assez hardcore pour les adultes adeptes de barbaque sanglante.

Critique Violent Night : le Père Noël est un Yakayo
© Universal Pictures

Malgré ce cul entre deux chaises, Violent Night s’apprécie comme une chouette série B faite avec soin et ludisme. John Leguizamo (dont le perso est surnommé Scrooge de manière évidente) cabotine de manière tout aussi réjouissante qu’Harbour, dans un film qui aurait gagné à être plus resserré et plus jusqu’au-boutiste dans son postulat de base. Reste un film de Noël castagneur sympathique,à défaut d’être pleinement transcendant !

Violent Night sortira au cinéma le 30 novembre 2022

avis

6 Ho-Ho-Ho il a un marteau

Violent Night poursuit dans la veine des John Wick et des Nobody pour un film d'action proposant quelques torgnoles réjouissantes, associées à un décalage plutôt jubilatoire des codes du film de Noël. Une proposition qui se regarde sans gros déplaisir malgré ses soucis structurels et son aspect bicéphale. Un chouette moment qui ne restera pas franchement en mémoire cependant !

  • Moyenne des lecteurs (1 Votes) 7.2
Partager Facebook Twitter WhatsApp

Articles en relation

6

Critique Dragons : remake qui nous Krokmou

7

Sortie Blu-Ray, DVD & VOD – La Tour du Diable : kitsch, effrayant, efficace

6.5

Cannes 2025 – Critique La Disparition de Josef Mengele : dissection nazie

Laisser une réponse Annuler la réponse

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.

Nos articles du moment
  • CO33
  • COE33
  • CO33
  • CO33
  • CO33
  • Concours

Concours In Bed With Madonna : 3 coffrets Blu-Ray + DVD à gagner !

23 mai 2025

Concours -terminé- Hurry Up Tomorrow : 5×2 places de cinéma à gagner !

13 mai 2025
  • La rédaction
  • Nous contacter
  • Vous faites L’Info Tout Court
  • Partenaires
  • Politique de confidentialité
  • Mentions Légales

Logo CFC 2019

Tapez votre recherche et appuyer sur Enter. Appuyez sur Esc pour annuler.