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Accueil - Critique La beauté du geste : la grâce de l’Histoire cambodgienne
Critique La beauté du geste : la grâce de l'Histoire cambodgienne
© Aloest Productions
Cinéma

Critique La beauté du geste : la grâce de l’Histoire cambodgienne

Lucine Bastard-Rosset Lucine Bastard-Rosset22 février 2024Aucun commentaireIl vous reste 4 minutes à lireUpdated:22 février 2024
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A l’occasion d’une soirée exclusive au Musée Guimet, nous avons eu la chance de découvrir le tout dernier documentaire de Xavier de Lauzanne : La Beauté du geste. Une soirée inaugurale d’une tournée d’avant-premières dans la France entière.

La soirée représente “l’aboutissement d’un long travail ayant commencé en 2018”. Elle s’ouvre sur une présentation de La Beauté du geste par Xavier de Lauzanne. Ému d’être présent en ce lundi 12 février, il souligne la portée symbolique de cette toute première projection. Celle-ci se déroule au Musée national des arts asiatiques – Guimet, un lieu qui permet de faire le lien entre le Cambodge et la France. 

© Aloest Productions

A travers La Beauté du geste, Xavier de Lauzanne saisit “une image un peu différente du Cambodge” qui parvient à “exprimer toute la beauté du pays”. Son documentaire est un hymne à la danse et à l’art. Une ouverture sur une nation peu, voire mal connue, qui possède une culture d’une grande richesse. Le Cambodge se révèle à nous par le prisme artistique, une vision bouleversante de sincérité.

Tout commence par un dessin

Après Les Pépites (sorti en 2016), Xavier de Lauzanne se lance à nouveau dans un voyage au Cambodge. Cette fois-ci, c’est la “danse classique” de ces terres qui accapare toute son attention. Elle ne ressemble à rien de ce que nous connaissons. La gestuelle, le rythme, la musique, les costumes, le maquillage, tout y est différent. Pourtant, dès les premières minutes du film, la beauté de cette danse nous envahit et nous subjugue. En se tournant vers le Ballet royal du Cambodge, le réalisateur nous livre un récit touchant bercé par des coutumes, une Histoire et des gestes.  

© Aloest Productions

Tout commence en 1906, au moment où le célèbre sculpteur français Auguste Rodin est bouleversé par la toute première représentation des danseuses cambodgiennes à Paris. Dès l’instant où ses yeux se posent sur cette gestuelle d’une grande souplesse et délicatesse, l’artiste ne peut s’en défaire. Sa fascination donnera naissance à près de 150 aquarelles et croquis. Ces dessins serviront par la suite de base pour le spectacle Métamorphoses de la princesse Norodom Buppha Devi un siècle plus tard. Spectacle qui sera lui aussi à l’origine de ce documentaire.

Le Ballet royal du Cambodge

Le Ballet royal du Cambodge est l’expression d’une civilisation à travers la danse. Celle-ci nous apparaît grâce aux récits d’ancien.ne.s danseur.se.s. Iel.s s’ouvrent à nous et nous parlent de leur vie, de leur rapport à la danse, de leur pays. C’est ainsi qu’on découvre les témoignages poignants de la Princesse et artiste Norodom Buppha Devi ; de la danseuse Voan Savay ; de la chorégraphe, danseuse et enseignante Sophiline Cheam Shapiro ; du danseur Proeung Chhieng ; et de l’enseignante et danseuse Suppya Hélène Nut. 

© Aloest Productions

La Beauté du geste revient sur le Cambodge au XXe siècle. Retour aux origines de ces danses rituelles avec les Apsaras, vestiges d’un temps que le pays tente de se réapproprier. Découverte d’une histoire contemporaine bien plus sombre. Guerre du Vietnam, guerre civile, le Cambodge a été marqué par des conflits d’une grande intensité. Tout au long du documentaire, le présent côtoie le passé et ces ceux époques s’imbriquent grâce à la danse. Elle est le fil rouge diachronique…

Une performance dansée

A la suite de la projection, deux danseuses se sont matérialisées sur scène. De la représentation en images, nous sommes passés à une performance dansée. Un Prince et une Princesse parlent avec leurs mains, et on retrouve les cinq gestes principaux de la danse classique cambodgienne, symboles du cycle de la nature et de la vie. La souplesse de leurs mouvements est hypnotique, on pourrait les voir, encore et encore. 

© Aloest Productions

Après cette courte représentation, la soirée s’est clôturée sur un questions / réponses avec le réalisateur qui souhaitait “voir comment ce film pouvait être un trait d’union entre les cultures”. Aux vues des réactions et prises de parole des spectateurs, Xavier de Lauzanne a réussi à créer ce lien. La “part d’universalité dans cette histoire” nous touche toutes et tous puisque “la question de l’art est nécessaire à tout le monde pour se réapproprier une identité”. 

La Beauté du geste est à découvrir durant la tournée des avant-premières dans toute la France puis à partir du 13 mars au cinéma.

Avis

8.5 Grâce et Histoire

La Beauté du geste est le dernier documentaire de Xavier de Lauzanne. Réalisé au Cambodge, il donne à voir l'Histoire d'un pays à travers l'un des éléments phares de sa culture : sa danse classique. En se tournant vers le Ballet royal du Cambodge, le réalisateur mêle les récits intimes de vie de chorégraphes et danseuses à un passé plus grand et lointain. Une immersion toute en grâce, souplesse et douceur.

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