Resident Evil : Apocalypse
Là on commence les choses sérieuses. Celle où la licence prend un virage tragi-comique avec une belle brochette de guignols, une Alice sous stéroïdes et un Némésis qui ferait peur à… on ne sait pas trop qui. Néanmoins, le décor de ville ouverte, la présence sexy de Jill Valentine et quand même de sacrées gueules du cinéma en chair à zombies font de cet opus un film distrayant pendant quelques minutes. C’est déjà pas mal.