Le top des jeux vidéo de Guillaume
Tales of Arise
Comme indiqué dans le titre, la licence Tales of s’est brillamment relevé avec un excellent épisode inédit cette année. Là où les anciens opus péchaient au niveau des graphismes, Tales of Arise prend le contre-pied et propose une patte graphique rafraîchissante, chaleureuse et surtout très bien maîtrisée. Les personnages, bien que non originaux, s’avèrent attachants et on se surprend à apprécier chaque moment passé aux côtés d’Alphen, de Shionne et toute la bande. Bref, j’ai passé d’excellents moments sur cet épisode que j’ai terminé et platiné en plus de 80h de jeu !
Resident Evil Village
L’an passé, j’avais placé Resident Evil 3 Remake dans la partie « flop » et c’était amplement mérité. Ici, c’est l’inverse qui se produit. Resident Evil Village n’est pas exceptionnel mais fait clairement le café. On y retrouve Ethan Winters qui, comme d’habitude, se fout dans un beau merdier. Entre les loup-garous, les « vampires », un fœtus géant et des zombies robots, il n’y a clairement pas le temps de s’ennuyer ! La fin offre un beau moment d’émotion et de surprise qui ne plaira pas à tout le monde mais qui à l’audace de prendre des risques !
Super Mario 3D World + Bowser’s Fury
Oui, Super Mario 3D Worlds n’est pas un nouveau jeu mais plutôt un portage de la version Wii U sortie fin 2013. Il n’empêche que le titre s’avère toujours autant jouissif à plusieurs et que l’ajout du mode inédit « Bowser’s Fury » se révèle fort sympathique. Celui-ci ne vaut pas le rachat du jeu si vous l’aviez déjà terminé à l’époque mais on ne peut clairement pas cracher dessus. A la fois fun et maîtrisé, cet épisode nous a permis de passer d’excellentes soirées !
Mentions spéciales : Mario Party Superstars, Metroïd Dread, Animal Crossing : Happy Home Paradise.
Le flop des jeux vidéo de Guillaume
Pokémon Diamant Etincelant / Perle Scintillante
Quelle déception, quel gâchis, quelle catastrophe… Nous pensions que la licence ne pouvait pas descendre plus bas avec Pokémon Epée et Bouclier mais il s’avère qu’elle continue de creuser jusqu’au néant absolu. Nous savions que le studio ILCA n’allait pas faire de miracle mais proposer un « remake » aussi pauvre (dans tous les sens du terme !), ça a été le coup de grâce. Cela aurait été tellement plus judicieux de reprendre les graphismes de Pokémon Let’s Go plutôt que de nous proposer un style chibi dégueulasse et sans âme. Sans oublier la quasi absence de nouveautés et le choix honteux de faire abstraction de tous les ajouts de la version Platine. Oui, on peut le dire, Pokémon DE/PS deserved better !
Harvest Moon : Un Monde à Cultiver
Harvest Moon : Un Monde à Cultiver est graphiquement moche. Cela aurait pu passer sur 3DS (et encore) mais c’est inadmissible sur Nintendo Switch. La bande sonore s’avère du même acabit. Si les morceaux musicaux font sourire les premières heures de jeu, ils deviennent très rapidement redondants et pénibles. C’est franchement dommage car la prise en main du personnage se révèle plutôt fluide et assez efficace dans l’ensemble, même s’il n’est pas rare de se tromper de culture à cause de l’approximation de la visée. Harvest Moon : Un Monde à Cultiver s’embourbe et devrait tailler dur ses cultures quitte à repousser plus sainement par la suite.
Wonder Boy, Asha in Monster World
Ce qui frappe d’emblée lorsque l’on lance une partie est cette nostalgie de retrouver d’anciens menus, des personnages du passé, les musiques revisitées de notre enfance. Malheureusement, le reste s’avère en deçà de nos attentes. Le gameplay propose le minimum syndical, l’histoire se finit en à peine 6h de jeu (même les histoires de Shéhérazade ont captivé l’attention du sultan Shahyar plus longtemps…) et le remake n’apporte quasiment aucune nouveauté. Pire, on se retrouve avec les mêmes défauts qu’autrefois comme l’imprécision des sauts, le quatrième donjon avec la succession de mots de passe à noter / retenir pour pouvoir avancer, la sauvegarde manuelle qui peut te mettre dans de beaux draps si tu n’y penses pas, etc. Quelle déception…