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Accueil - Critique Une équipe de rêve : Samoa Soccer
Critique Une équipe de rêve : Samoa Soccer
© Searchlight Pictures
Cinéma

Critique Une équipe de rêve : Samoa Soccer

Charley Charley19 décembre 2023Aucun commentaireIl vous reste 4 minutes à lire
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Après son passage chez Marvel, Taika Waititi (Jojo Rabbit, Thor Ragnarok) revient sur un film de moindre ampleur avec Une Équipe de rêve. Derrière cette comédie classique, le réalisateur néo-zélandais conte l’histoire vraie de l’équipe de football des Samoa, surnommée la pire du monde après qu’ils n’aient marqué aucun but lors des éliminatoires pour la Coupe du Monde il y a vingt ans.

Nous sommes en 2001, lors des éliminatoires pour la Coupe du Monde de football : l’équipe des Samoas américaines subit une défaite historique face à l’Australie, perdant 31 à 0 ! C’est dans ces conditions terribles que la Fédération décidera d’engager Thomas Rongen pour entraîner les joueurs Samoas, et ainsi leur permettre de se qualifier aux préliminaires suivants.

Une équipe de rêve n’est d’ailleurs pas la première fois que l’on s’intéresse à cette fausse dream team, sachant que dans la réalité, il aura fallu attendre 2011 pour que les Samoas marquent leur première victoire officielle de la FIFA, et qu’un documentaire (Next Goal Wins) chronique cette rédemption en 2015.

Critique Une équipe de rêve : Samoa Soccer
© Searchlight Pictures

Évidemment, le cinéma est toujours friand de success story en tout genre, encore plus lorsqu’il s’agit d’un milieu sportif. Il paraît donc logique qu’un réalisateur coutumier de la culture polynésienne se charge donc d’Une équipe de rêve, en la personne de Taika Waititi. Si le grand public le connaît surtout pour le meilleur (Thor Ragnarok) ou le pire (Thor Love & Thunder) du MCU, ce dernier est avant tout un réalisateur de comédies tendres (et bien réussies) telles que Hunt for the Wilderpeople ou bien What We Do In The Shadows.

Comédie en coup franc

On lui doit aussi un Oscar pour le très bon Jojo Rabbit : bref un pedigree qui montre la capacité de Waititi à jongler avec légèreté entre comédie et drame, le tout avec une certaine énergie communicative. Une définition qui sied parfaitement à Une équipe de rêve, qui entre Rasta Rocket et Le Plus Beau des Combats, affiche d’entrée de jeu ses intentions..sans forcément aller au-delà !

Critique Une équipe de rêve : Samoa Soccer
© Searchlight Pictures

Il y a immédiatement quelque chose de réjouissant à voir Michael Fassbender en Thomas Rongen (dans une version évidemment fictionnelle), coach sportif contraint d’aller à l’autre bout du monde sous peine de licenciement, afin d’entraîner la pire équipe de foot possible. S’ouvrant tel un conte irrévérencieux (avec petite apparition caustique du réalisateur), l’humour global fonctionne quand le film s’attarde sur le choc culturel entre l’américain bourru (porté sur la bibine en bonus), et cette équipe improbable de Samoas au grand cœur.

Et si l’on pourrait croire qu’il y a un regard condescendant devant ce peuple aussi pittoresque que baba cool (avec notamment l’excellent Oscar Kightley en entraîneur enchaînant les jobs multiples), Une équipe de rêve opère heureusement (et plutôt efficacement) un shift émotionnel en cours de route, si bien que l’on se prend d’affection pour cette team d’underdogs, autant que pour Rongen.

L’important c’est de s’amuser

Une réussite que l’on doit évidemment au talent de son interprète, mais également à l’arc narratif de ce personnage cassé par la vie, laissant la négativité de côté pour que seul l’amour du jeu prime. Une philosophie qui résume donc bien Une équipe de rêve, plus enclin à tisser des liens (dont on voit les coutures) de camaraderie entre ses protagonistes plutôt que de parler stratégie sportive.

Critique Une équipe de rêve : Samoa Soccer
© Searchlight Pictures

Une authenticité qui transparaît d’ailleurs via le sympathique personnage (réel) non-binaire de fa’afafine interprété par Jaiyah Saelua. Car au final, c’est bien sur les membres de cette équipe de rêve que le film puise sa force humoristique, dans un récit toutefois classique dont on devine rapidement la tournure. On regrettera également la sous-utilisation d’Elisabeth Moss, même si son rôle jumeau à celui de Will Arnett permet d’offrir plus de contexte pour supporter les motivations de Thomas Rongen.

Reste une fabrication carrée mettant à l’honneur les paysages paradisiaques de l’Océan Pacifique,malgré une photographie de facture télévisuelle, et un score de Michael Giacchino (The Batman, Les Indestructibles) curieusement aux abonnés absents. Une comédie qui ne réinvente rien, donc, mais avec un certain capital sympathie !

Une équipe de rêve sortira au cinéma le 20 décembre 2023

avis

6 gentillet

Une équipe de rêve voit le retour de Taika Waititi en petite forme certes,mais dans un récit inspirant sous forme de feel good movie plutôt efficace. Bien emballé et interprété, le tout ne dépasse cependant pas le cadre de ses modestes intentions. Une humilité attachante, à défaut d'être inoubliable !

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