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Accueil - Critique Road House : le videur est un yakayo
Critique Road House : le videur est un yakayo
©MGM ©Amazon
Cinéma

Critique Road House : le videur est un yakayo

Charley Charley22 mars 2024Aucun commentaireIl vous reste 5 minutes à lireUpdated:28 mars 2024
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Un Remake de Road House débarque en douce sur Prime Video : l’occasion de voir Jake Gyllenhaal reprendre la chemise de Patrick Swayze pour tabasser du malotru à la cool. Mais est-ce mieux ou pire que la version de 1989 ?

Rappelez-vous : en 1989 sortait Road House de Rowdy Herrington, une production Joel Silver (Die Hard, Matrix) qui sera un échec en salle, mais un gros succès en vidéo par la suite. Un film véhicule-star pour Patrick Swayze à l’époque, intercalé entre les giga succès de Dirty Dancing et Ghost. Ce dernier jouait ainsi le personnage de Dalton, un videur de boîte/diplômé en philo/expert en tai chi qui s’occupait d’un roadhouse.

Mais ce qu’on oublie, c’est que le film original était également un pur produit de son époque (avec le charme que cela peut avoir), tout en étant un divertissement on ne peut plus décevant passé ses prémices. Un remake n’était ainsi pas forcément dénué d’intérêt, surtout quand ce dernier est mis en scène par Doug Liman (capable du meilleur avec Edge of Tomorrow que du pire avec Barry Seal).

Critique Road House : le videur est un yakayo
©MGM ©Amazon

Ce Road House version 2024 reprend ainsi peu ou prou le même canevas de base : nous découvrons Dalton en alcoolo-mais-pas-trop au bout du rouleau, prêt au suicide, avant qu’une offre lui soit proposée par la propriétaire d’un bar de Glass Key. Enclin à une rédemption, il va accepter le poste, quitte à se retrouver face à une bande de voyous mandatés par un homme d’affaires, dans le but de transformer le Road House en hôtel de luxe.

Yakayo mais pas trop

Ce remake a d’ailleurs la bonne idée de transposer son cadre en Floride, de quoi offrir un setting aussi dépaysant que cohérent dans sa volonté de dépeindre un univers testostéroné, où l’argent et la violence deviennent la religion prédominante. Loin de la beauferie 80’s d’antan, ce Road House semble initialement bien conscient de son statut de remake, et arbore une tournure plus proche du western contemporain.

On y pense instantanément à la vue de ce protagoniste taiseux au passé trouble, devenant en quelque sorte le nouveau shériff d’une ville côtière devant faire régner l’ordre dans un saloon malfamé. Doug Liman prend même le temps de s’attarder sur le caractère mystérieux de son héros, passée une belle séquence de gifle aussi dynamique que percutante.

Critique Road House : le videur est un yakayo
©MGM ©Amazon

Pourtant, très vite le bas blesse dans ce Road House, qui se révèle finalement telle une version dévitalisée de tout fun ou approche transgressive de son matériau d’origine. On en viendrait même à reprocher la beaufitude coolâtre d’antan et le ton décontracté du sphincter des 80’s, alors que le remake de Liman passera plus d’une heure à étirer son intrigue rachitique, pénalisée par une rythmique narrative sans une once de pep’s.

Doug Liman a avoué être furieux qu’Amazon ne sorte pas le film en salle : à la vision de Road House difficile d’aller dans son sens tant la facture visuelle respire une imagerie numérique ne parvenant jamais réellement à capturer l’effervescence nocturne floridienne, jusque dans ses panoramas de plages parois aussi gris qu’un hors-saison à Quimper.

Autre vraie tare : une romance ratée (malgré la toujours craquante Daniela Melchior), ne parvenant à aucune complicité/alchimie requise pour amener la gravitas nécessaire au climax du film, ou bien la rédemption émotionnelle voulue pour le personnage de Dalton.

Jake ne tend pas l’autre joue

Jake Gyllenhaal s’en sort d’ailleurs plutôt bien, tous muscles saillants sortis, malgré la caractérisation relativement faiblarde de Dalton. Difficile d’acheter le mélange ronin/ex-combattant de MMA adepte de chemise pour kéké (tatouage reptilien sur l’avant-bras en bonus), d’autant que le film usera de flash-backs un peu trop explicatifs et redondants sur la chute de la carrière du personnage.

Néanmoins, le film arrive à un curieux exercice d’équilibriste malgré ses grosses tares. La première tient dans la violence contenue chez Dalton, tel un Hulk se repentant, mais capable de décharger de la bonne tatane dans la margoulette de ses ennemis. Et pour le coup, même si ce Road House se révèle curieusement avare en action : quand ça se tape, ça se tape !

Critique Road House : le videur est un yakayo
©MGM ©Amazon

Il faudra attendre une heure de film et la venue de Connor McGregor en homme de main brutasse semblant tout droit sorti d’un GTA (en complément de Billy Magnussen toujours bon dans ce type de bad guys) pour commencer à entrevoir ce qu’aurait pu être ce remake. Un personnage en roue libre sans autre motivation que la baston et la cabotinage : on aurait voulu que Liman suive la même philosophie pour son film ! D’autant que le réalisateur semble piocher chez Michael Bay (la folie débridée en moins), et plus particulièrement auprès du sous-côté Ambulance.

Bourre-pif en mode UFC

L’usage du drone dans ce dernier film fait désormais école à Hollywood il faut croire, tant on retrouve le même type d’utilisation à divers points stratégiques pour mettre en valeur la topographie de son décorum. La mise en scène offre cependant quelques belles surprises, en particulier pour les séquences de combat mano-à-mano électrisantes de fluidité. Tournées en faux plan-séquences, la caméra suit les acteurs au plus près des corps dans une approche grand angle pour du résultat full MMA usant allègrement des éléments du décor. Un compromis entre chorégraphie de combat lisible et déroulé évitant le sur-découpage. Même quelques CGI criards impliquant une voiture ou un bateau ne pourront pas entacher l’efficacité globale des pugilats.

Néanmoins, arrivé à la conclusion, difficile de retenir grand chose de ce Road House, si ce n’est une sympathique relecture ni bonne, ni mauvaise.

Road House est disponible sur Prime Video depuis le 21 Mars 2024

avis

4.5 remake sans tur-beauf

Relique surannée et bien beauf des 80's, Road House revient dans un remake malheureusement dévitalisé en terme de fun, malgré l'approche technique beaucoup plus coup-de-poing. Comme le cul entre deux chaises, Doug Liman hésite entre actioner bourrin assez réjouissant par moments, et relecture un peu prude de tout un pan du cinéma de grosse brute yakayo qu'on aimerait voir revenir en belle forme. Pas forcément déplaisant, mais assez futile au final !

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