• Le Récap’
  • Cinéma
  • Jeu Vidéo
  • Littérature
  • Musique
  • Série
  • Spectacle
Facebook Twitter Instagram TikTok
Nous aider
L'Info Tout Court
  • Le Récap’

    Warner Bros, Lollapalooza, Galaxy XR… notre récap’ de la semaine 

    26 octobre 2025

    Drew Struzan, D’Angelo, MTV… notre récap’ de la semaine

    19 octobre 2025

    Diane Keaton, Game One, Expédition 33… notre récap’ de la semaine

    12 octobre 2025

    Les Simpson 2, Peaky Blinders, Orelsan, One Piece… notre recap’ de la semaine

    5 octobre 2025

    Claudia Cardinale, Wolverine, The Mandalorian… notre récap de la semaine

    28 septembre 2025
  • Cinéma
    5

    Critique The Birth of Kitaro : un préquel à la série

    28 octobre 2025
    6

    Critique The Smashing Machine : Rock sensible

    27 octobre 2025
    4

    Critique G.O.A.T. (Him) : carton jaune pour Justin Tipping

    26 octobre 2025
    8

    Critique L’Étranger : saisissante passivité

    25 octobre 2025
    4

    Critique Eden : société à l’ouest

    24 octobre 2025
  • Jeu Vidéo
    7.7

    Test Bye Sweet Carole : Disney au pays des cauchemars

    16 octobre 2025
    7.5

    Critique Splinter Cell Deathwatch Saison 1 : le retour flamboyant de Sam Fisher

    14 octobre 2025
    7.0

    Test Little Nightmares II : le plus grand des petits cauchemars

    14 octobre 2025
    6.7

    Test Atelier Resleriana – The Red Alchemist & the White Guardian : épopée colorée

    9 octobre 2025
    6.6

    Test Hyke – Nothern Light(s) : c’est pas sorcier

    25 septembre 2025
  • Littérature
    10

    Critique Goldorak édition collector : Astéro-livre pour les 50 ans du robot mythique

    23 octobre 2025
    7

    Critique Le Marin qui n’avait jamais perdu le Nord : navigateur du bout du monde

    22 octobre 2025

    10 livres pour frissonner pendant Halloween 2025

    20 octobre 2025
    10

    Critique Horizons infinis : le Forrest Gump français à la conquête de ses rêves

    10 octobre 2025
    6

    Critique Cœur d’Ourse : voyage en quête de soi dans la Taïga

    7 octobre 2025
  • Musique
    8

    Critique Kneecap : biopic indépendantiste sous acide

    24 juin 2025

    Sortie Blu-ray, DVD & VOD – In bed with Madonna : Marketing ou vérité ?

    23 juin 2025

    Les avantages du piano numérique pour les musiciens modernes

    4 mars 2025
    7

    Critique Brian Jones et les Rolling Stones : la face cachée d’un mythe

    10 février 2025

    Musique : le top & flop 2024 de Léa

    25 décembre 2024
  • Série

    10 séries à binger pour Halloween 2025

    27 octobre 2025
    8

    Critique Ça – Bienvenue à Derry Saison 1 : le cauchemar recommence

    24 octobre 2025

    Indociles : notre récap de la mini-série Netflix avec spoilers

    21 octobre 2025
    8.5

    Critique Le Monstre de Florence (Il Mostro) : ces hommes qui n’aimaient pas les femmes

    21 octobre 2025
    7.5

    Critique Splinter Cell Deathwatch Saison 1 : le retour flamboyant de Sam Fisher

    14 octobre 2025
  • Spectacle
    9

    Critique Killer Joe : une pièce choc qui va vous secouer !

    21 octobre 2025
    9

    Critique Affaires Familiales : Chercher à représenter l’innommable.

    13 octobre 2025

    Comédies musicales à New York : une immersion culturelle pour tous les âges

    1 octobre 2025
    9.5

    Critique Une pièce sous influence : le carnaval des émotions

    1 octobre 2025
    8.5

    Critique Une heure à t’attendre : un face à face troublant entre mari et amant

    22 septembre 2025
Facebook Twitter Instagram TikTok
Nous aider
L'Info Tout Court
Accueil - Critique L’Amour au présent : pathos sur commande
Critique L'Amour au présent : pathos sur commande
©Studiocanal
Cinéma

Critique L’Amour au présent : pathos sur commande

Charley Charley28 décembre 2024Aucun commentaireIl vous reste 4 minutes à lire
Partage
Facebook Twitter WhatsApp

Précédé d’une belle attente de par son duo de comédiens, L’Amour au présent (We Live in Time) se veut un drame romantique cochant toutes les cases de la chronique cherchant à tout prix l’émotion, heureusement bien véhiculée par Florence Pugh et Andrew Garfield.

Présenté au Festival de Toronto en septembre dernier, L’Amour au présent (We Live in Time en VO) était précédé d’une certaine attente. Tout d’abord car cette romance se veut plutôt sexy sur le papier en plaçant les excellents Florence Pugh (Midsommar, Don’t Worry Darling, Black Widow) et Andrew Garfield (The Amazing Spider-Man, The Social Network, Tu ne tueras point) en âmes-sœurs. Mais aussi car le film produit par Studiocanal et A24 voit les retrouvailles entre l’acteur et John Crowley, le réalisateur de Boy A.

Mais surtout, L’Amour au présent évite globalement la guimauve de la rom-com traditionnelle dès ses premières minutes introduisant plusieurs bonds temporels et autant d’ellipses sur une poignée d’années. Le but : nous amener à contempler des tranches de vie du couple Almut-Tobias, de leur rencontre accidentelle jusqu’à une lutte permanente pour leur futur.

Critique L'Amour au présent : pathos sur commande
©Studiocanal

L’une est la talentueuse cheffe d’un restaurant, le second un data-analyst fraîchement divorcé. Lors d’une rencontre fortuite en plein accident routier, ces deux âmes vont se trouver et construire une relation dont l’édifice sera rendu branlant par l’annonce d’un cancer de l’ovaire. Un combat de chaque instant pour ainsi vivre l’amour au présent.

L’amour (et l’alchimie) au présent

Si la chronologie éclatée peut paraître frustrante au premier abord, la trame use à bon escient de cet artifice pour mieux interpeller le spectateur sur le destin du couple. Une manière donc d’éviter tout classicisme dans le déroulé de ce qui s’apparente à une rom-com tout à fait classique pendant une bonne heure, après qu’Almut renverse Tobias au volant.

Tout de suite l’idée de génie de L’Amour au présent répond… présent via le casting d’Andrew Garfield et Florence Pugh. Désormais habitués aux projets XXL, voir le couple d’acteurs partager une alchimie certaine et être autant à l’aise dans les moments de légèreté (le premier dîner, les premiers émois amoureux..) que dramatiques parviendrait presque à automatiquement entraîner une validation cinématographique.

Critique L'Amour au présent : pathos sur commande
©Studiocanal

Pourtant, quelque chose coincera rapidement dans L’Amour au présent : outre sa narration opérant des allers et retours sans provoquer l’attache nécessaire que le poids des années ou l’évolution chronologique engendre habituellement (le B-A BA de la progression narrative), la bascule du récit vers un combat contre le cancer sert finalement de gimmick émotionnel.

Quand le pathos supplante l’émotion

Passé un épisode de rechute (quand, comment et avec quels pronostics, tout cela sera éludé étant donné que ni le scénario ni les personnages ne semblent s’intéresser à ces questionnements), L’Amour au présent affiche un programme en pilotage automatique, tendance « on veut faire pleurer dans les chaumières ». Un contrat heureusement non-partagé par le casting, absolument impeccable de la première à la dernière scène, préférant authenticité au surlignage scénaristique du récit.

L’exemple le plus flagrant tiendra sans nul doute dans l’invisibilisation globale de l’enfant d’Almut et Tobias : d’abord au cœur d’une problématique centrale du couple pour savoir si la parentalité serait réciproque, la question sera là aussi évacuée par la puissance de l’ellipse pour faire de ce personnage un accessoire censé apporter la gravitas nécessaire.

Critique L'Amour au présent : pathos sur commande
©Studiocanal

John Crowley sait mettre en avant les performances nuancées de ses formidables acteurs, mais dans une mise en scène pudique ne filmant jamais pleinement la dimension charnelle du couple ou ne proposant jamais de véritable point de vue, L’Amour au présent annihile tout sentiment d’urgence de vie. Un comble donc, surtout lorsqu’un des moments pivots se veut être la tonte d’une Florence Pugh se livrant à la caméra, ou encore un ultime mouvement compétitif pour le Bocuse d’Or.

Point de larmes en dehors de l’écran

Doit-on arrêter de vivre lors d’une lutte contre un carcinome ? Ou bien profiter de chaque seconde en dépit de notre santé vacillante ? Un caractère résolument binaire domine donc dans L’Amour au présent, le film ayant cependant le mérite d’éviter une résolution dans les carcans du genre, malgré que tout le projet tend vers ce point de convergence. Là encore, l’impression d’émotion préfabriquée domine dans ce drame trop programmatique pour convaincre. Restent heureusement Florence et Andrew que l’on pourrait suivre des heures encore. Pas de quoi transcender le projet cependant !

L’Amour au présent sortira au cinéma le 1er janvier 2025

avis

5 les larmes sans la moelle

Malgré son duo d'acteurs que l'on aimerait suivre jusqu'au bout du monde, L'amour au présent dévie de ses velléités lacrymales par le pathos qui contamine cette chronique romantique rapidement surlignée. Un éclatement chronologique qui converge sans gravitas vers une finalité attendue, heureusement bien portée par les excellents Florence Pugh et Andrew Garfield..les vraies cautions qualitatives de L'Amour au présent !

  • Moyenne des lecteurs (0 Votes) 0
Partager Facebook Twitter WhatsApp

Articles en relation

5

Critique The Birth of Kitaro : un préquel à la série

6

Critique The Smashing Machine : Rock sensible

4

Critique G.O.A.T. (Him) : carton jaune pour Justin Tipping

Laisser une réponse Annuler la réponse

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.

Nos articles du moment
  • Critique Le Monstre de Florence (Il Mostro) : ces hommes qui n'aimaient pas les femmes
  • Critique Chien 51 : la dystopie pour les nuls
  • Critique A House of Dynamite : Ça va péter !(?)
  • Critique Alice in Borderland saison 3 avec spoilers : partie truquée
  • Minisérie Indociles de Netflix : notre récap avec spoilers
  • Concours

Concours -terminé- La Furie des Vampires : 2 combos Blu-Ray + DVD à gagner !

29 septembre 2025

Concours -terminé- De Mauvaise Foi : 3 DVD à gagner !

12 septembre 2025
  • La rédaction
  • Nous contacter
  • Vous faites L’Info Tout Court
  • Partenaires
  • Politique de confidentialité
  • Mentions Légales

Logo CFC 2019

Tapez votre recherche et appuyer sur Enter. Appuyez sur Esc pour annuler.