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Accueil - Critique Avatar 3 – De Feu et de Cendres : cycle qui s’embrase
Critique Avatar - De Feu et de Cendres : cycle qui s'embrase
© 20th Century Studios
Cinéma

Critique Avatar 3 – De Feu et de Cendres : cycle qui s’embrase

Charley Charley16 décembre 2025Aucun commentaireIl vous reste 7 minutes à lireUpdated:17 décembre 2025
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Avatar 3 – De Feu et de Cendres est le troisième film de la saga de science-fiction pantagruélique signée James Cameron (Terminator, Titanic). Trois ans après un impressionnant second volet revigorant les enjeux sur la planète Pandora, le cinéaste poursuit la dynamique familiale dans un récit encore plus ample et épique, mais également plus redondant dans sa structure.

Le roi du box-office revient avec Avatar 3 – De Feu et de Cendres, troisième volet d’une saga désormais importante dans l’Histoire du cinéma. Après le succès colossal du premier opus en 2009, James Cameron (Terminator, Titanic) a travaillé plusieurs années dans le but de non seulement perfectionner toute la technologie de performance capture, mais aussi planifier une histoire divisée en 4 suites !

Critique Avatar - De Feu et de Cendres : cycle qui s'embrase
© 20th Century Studios

Avec Avatar – La Voie de l’Eau, le spectateur découvrait les récifs de Pandora, dans un récit familial plus intime mais tout autant spectaculaire ! Un véritable tour de force technologique au service des personnages, qui relançait admirablement les enjeux du conflit entre Na’vis et humains tout en laissant déployer une émotion et une claque technique allant de pair.

Eau, feu et cendres

Se concluant sur une apostrophe, La Voie de l’Eau laisse ainsi place à la seconde partie d’un diptyque tourné à la suite (18 mois pour Avatar 2 & 3) via ce Avatar – De Feu et de Cendres reprenant son récit quelques jours après le précédent film : les Sully gèrent comme ils peuvent le deuil de Neteyam, tandis que Quaritch (Stephen Lang) redouble d’effort pour capturer Jake (Sam Worthington).

Alors qu’ils s’apprêtent à revenir parmi les Omaticayas, nos héros se retrouvent attaqués par le clan Mangkwan, une tribu na’vi belliqueuse dirigée par une adoratrice du feu nommée Varang (Oona Chaplin). Divisés, les Sully vont à nouveau devoir se réunir face à ces nouveaux ennemis, au même moment où la RDA s’apprête à lancer un ultime assaut sur les eaux de Pandora !

Critique Avatar - De Feu et de Cendres : cycle qui s'embrase
© 20th Century Studios

Avatar – De Feu et de Cendres parvient immédiatement à nous ré-immerger dans le monde immersif de Pandora, là encore aidé par tout l’arsenal de savoir-faire technologique et cinématographique d’un James Cameron désormais maître-absolu dans son art. De la découverte d’un clan de nomade aérien (reprenant comme élément esthétique des méduses-dirigeables présents sur les premiers croquis de Big Jim à la fin des années 70) à l’introduction effective du peuple des cendres, ce troisième opus poursuit avec brio l’exploration plus vaste de son univers.

Opus plus introspectif que proactif

Usant des technologies les plus à la pointe, Cameron digère à nouveau tout un imaginaire du cinéma classique, en l’occurrence le western via un premier tiers renvoyant forcément à Sur la Piste des Mohawks de John Ford. Centrée sur une course-poursuite à travers la jungle, le métrage se veut proactif tout en approfondissant les personnages. L’écriture de ses dialogues et des introspections sera à nouveau un vrai point fort pour tout ce qui a trait au couple Jake-Neytiri (Zoe Saldana est encore une fois excellente, désormais plus proactive dans ce file), mais également une relation venimeuse entre Quaritch et Varang.

Critique Avatar - De Feu et de Cendres : cycle qui s'embrase
© 20th Century Studios

Un effet miroir lourd de sens, d’autant que ce Avatar – De Feu et de Cendres aborde les divers enjeux de manière plus ambigus qu’auparavant, proposant alors un traitement moins manichéen du conflit global. Une profession de foi encapsulée dans le personnage de Varang, une antagoniste psychopathe dont l’interprétation sans faille et l’écriture parviennent immédiatement au spectateur d’en comprendre la nature brisée. Le tout en corrélation avec la mystique globale d’Eywa, autre élément du scénario réservé aux personnages de Kiri et Spider.

Bref, ce Avatar 3 nous emmène sur une autre planète comme dans des petits chaussons, proposant de surcroît une impressionnante séquence d’action aérienne en à peine une demi-heure de métrage. Pourtant, quelque chose va rapidement coincer et se confirmer jusqu’au final : De Feu et de Cendres n’est qu’un épilogue à La Voie de l’Eau plutôt qu’une nouvelle histoire au sein de la saga ! Le syndrome des « Partie 2 » en un sens, ici étiré sans réelle logique sur plus de 3h15 (c’est le film Avatar le plus long) !

Une recette qui dévie rarement de ses rails narratifs

Certes, Cameron amène ses personnages vers d’autres retranchements, continue le parcours initiatique de certains (Lo’ak n’est pas en reste, même si plus secondaire ici malgré qu’il soit le narrateur), et jongle habilement pour donner de la voix à chacun. Et malgré l’ajout de deux tribus (une rapidement bazardée malgré David Thewlis en na’vi) et de deux espèces animales (dont une race de poulpes-requins faisant office de miracle de design et d’animation), Cameron et sa team de scénaristes s’arrêteront au milieu du guet en allant jusqu’à recycler des morceaux des deux précédents films !

Critique Avatar - De Feu et de Cendres : cycle qui s'embrase
© 20th Century Studios

Redirigeant à nouveau son action sur le récit Metkayina, Avatar – De Feu et de Cendres accusera d’un surplace régulier en terme de récit et d’exploitation de son écosystème. Le tout prendra même des allures de fainéantise crasse lorsque les prises d’otages de personnages se perpétuent au de-là du raisonnable pour relancer la machinerie narrative. Si encore ces dernières avaient de véritables répercussions (comme dans le précédent métrage) le tout serait pardonné, mais Cameron ira jusqu’à être dans la redite de séquences mises en images comme dans une suite conventionnelle.

Un travers de « Bigger and Louder » qui transparaît dans un impressionnant climax combinant tous les éléments constitutifs jusqu’alors de la franchise. Un manque de surprises donc, jusque dans des rails narratifs se concluant par un curieux épilogue porteur de sens (là encore quasi méta vis-à-vis des inspirations créatives de Cameron, pouvant désormais rendre palpables et crédibles un vrai baiser de cinéma entre humain et personnage de synthèse), mais orchestré telle une fin finalement non-satisfaisante à l’aune des hypothétiques Avatar 4 & 5 !

Troisième volet plus ample et épique encore

Des heurts que l’on ne connaissait pas à la filmographie de James Cameron, conteur hors-pair dont chaque film s’affirmait comme un véritable projet créatif/narratif/conceptuel, alors que ce Avatar – De Feu et de Cendres nous ramène en territoire connu pour simplement conclure des arcs scénaristiques. Malgré tout, difficile de jeter la pierre à ce film s’imposant non seulement comme une véritable claque de fabrication, mais aussi comme l’opus le plus ample, le plus généreux et le plus épique jusqu’alors !

Critique Avatar - De Feu et de Cendres : cycle qui s'embrase
© 20th Century Studios

Certes, Avatar – De Feu et de Cendres propose des morceaux d’action pantagruéliques (on pense également à une séquence d’évasion particulièrement prenante), mais c’est bien dans les instants plus calmes que le film laisse transparaître ses intentions créatives. Plus encore que les deux précédents, le film déploie une mise en scène variée directement héritée du cinéma classique (John Ford et Howard Hawks en tête) infusée dans ce monde virtuel complètement palpable.

Une claque de mise en scène et de fabrication (encore)

Un jeu de regards chargés en émotion, une séquence tournée selon le point de vue d’un personnage visant au fusil ou sous psychogène dans une scène d’attraction-répulsion… Avatar – De Feu et de Cendres s’aventure sur des terrains véritablement extra-terrestres d’un pur point de vue esthésique et sensitif (le visionnage en 3D HFR est presque indispensable pour en apprécier toute la profondeur).

De quoi proposer ce qui est indéniablement un voyage comme seul Cameron en est capable aujourd’hui, au pouvoir de sidération constant. On regrettera ses choix narratifs timorés, une BO de Simon Franglen creusant encore plus l’écart qualitatif avec le travail de feu James Horner, et sa réutilisation fainéante de codes largement exploités dans la saga. Quoi qu’il en soit, Avatar – De Feu et de Cendres ne perd pas de vue son mantra, le plaçant largement au-dessus du tout venant Hollywoodien : un spectacle époustouflant au service de ses personnages !

Avatar 3 – De Feu et de Cendres sortira au cinéma le 17 décembre 2025

avis

7 magnifique frustration

Avatar - De Feu et de Cendres s'impose comme le nec plus ultra du grand spectacle de SF, porté par la maîtrise d'un James Cameron maître de son artisanat. L'opus le plus ample, épique et ambigu de la saga : dommage que narrativement le tout s'étire en recyclant ses propres motifs malgré le foisonnement créatif affiché. En résulte un épilogue largement moins surprenant ou tenu, bien que généreux et judicieusement centré sur ses personnages. Incroyablement impressionnant, mais frustrant !

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