• Le Récap’
  • Cinéma
  • Jeu Vidéo
  • Littérature
  • Musique
  • Série
  • Spectacle
Facebook Twitter Instagram TikTok
Nous aider
L'Info Tout Court
  • Le Récap’

    Avatar, Spider-Man, Stephen King… Notre récap de la semaine

    3 août 2025

    Marvel vs DC, Gims vs Trump, Rachida Dati vs Avignon… Notre récap de la semaine

    27 juillet 2025

    Zelda, Steam, The Velvet Sundown… notre récap’ de la semaine

    20 juillet 2025

    Bun Hay Mean, Ghost of Yotei et Justin Bieber… notre recap’ de la semaine

    13 juillet 2025

    The Odyssey, The Bear, BTS… notre récap de la semaine

    6 juillet 2025
  • Cinéma

    Évanouis (Weapons) : explications sur la fin étonnante et l’histoire (SPOILERS)

    6 août 2025
    7.5

    Critique Évanouis (Weapons) : disparitions en puzzle

    5 août 2025
    6.5

    Critique KPop Demon Hunters : le plus gros succès animé de Netflix

    2 août 2025

    Dracula : pourquoi le nouveau Luc Besson est si problématique ?

    31 juillet 2025
    7.5

    Critique Substitution (Bring Her Back) : famille décomposée

    29 juillet 2025
  • Jeu Vidéo
    9.0

    Test Donkey Kong Bananza : il cogne fort quand il a la banane !

    28 juillet 2025
    7.1

    Test Until Then : guide pratique d’empathie

    8 juillet 2025

    Interview Unit Image : le studio français qui révolutionne l’animation et les VFX (Secret Level, Elden Ring, LoL, The Substance, Love Death & Robots…)

    10 juin 2025

    Annecy 2025 – Splinter Cell Deathwatch : la série Netflix dévoile un Sam Fisher vieillissant

    9 juin 2025
    7.0

    Test Rune Factory : Guardians of Azuma sur Nintendo Switch 2, une escapade japonaise réussie ?

    7 juin 2025
  • Littérature
    10

    Critique Intérieur nuit : dans les coulisses de l’effondrement

    1 août 2025

    Donner ou revendre vos livres, la solution pour lire à moindre coût

    1 août 2025
    7

    Critique Ananda Road : voyage sensoriel pour se retrouver

    22 juillet 2025
    8

    Critique Celui qu’on croyait mort : le sosie, la fuite, la faille

    15 juillet 2025
    9

    Critique Black Gospel : un thriller en noir et blanc qui vous laisse rouge de tension

    27 juin 2025
  • Musique
    8

    Critique Kneecap : biopic indépendantiste sous acide

    24 juin 2025

    Sortie Blu-ray, DVD & VOD – In bed with Madonna : Marketing ou vérité ?

    23 juin 2025

    Les avantages du piano numérique pour les musiciens modernes

    4 mars 2025
    7

    Critique Brian Jones et les Rolling Stones : la face cachée d’un mythe

    10 février 2025

    Musique : le top & flop 2024 de Léa

    25 décembre 2024
  • Série
    5

    Critique Eyes of Wakanda Saison 1 : que vaut la première série d’animation canon du MCU ?

    2 août 2025

    Squid Game 3 : explications sur la fin surprenante et sur le futur de la série phénomène (SPOILERS)

    28 juin 2025

    Annecy 2025 – Séries animées Netflix (Magic, Ghostbusters, Blue Eye Samurai, Splinter Cell, Stranger Things..) : le futur line-up se dévoile de manière inédite

    13 juin 2025

    Annecy 2025 – Get Jiro! : coulisses de la future série adulte entre Yojimbo et Moebius

    12 juin 2025

    Interview Unit Image : le studio français qui révolutionne l’animation et les VFX (Secret Level, Elden Ring, LoL, The Substance, Love Death & Robots…)

    10 juin 2025
  • Spectacle

    Avignon 2025 – Nos 10 coups de cœur de ce Festival OFF !

    2 août 2025
    7

    Avignon 2025 – Les Feluettes : le récit déchirant d’un amour interdit

    2 août 2025
    9

    Avignon 2025 – Bel-Ami : du très beau théâtre de troupe !

    1 août 2025
    8.5

    Avignon 2025 – Macéra : une invitation au voyage

    28 juillet 2025
    8

    Avignon 2025 – Container : suffit-il de partir pour être libre ?

    27 juillet 2025
Facebook Twitter Instagram TikTok
Nous aider
L'Info Tout Court
Accueil - Test Dragon Quest Monsters le Prince des Ombres : épopée dans la pure veine de la saga
Test Dragon Quest Monsters le Prince des Ombres : épopée dans la pure veine de la saga
© Square Enix / Nintendo
Jeu Vidéo

Test Dragon Quest Monsters le Prince des Ombres : épopée dans la pure veine de la saga

Clem MP Clem MP18 décembre 2023Aucun commentaireIl vous reste 5 minutes à lireUpdated:18 décembre 2023
Partage
Facebook Twitter WhatsApp

Dragon Quest Monsters s’offre une nouvelle mouture oscillant entre nostalgie, Pokémon et graphismes parfois disgracieux.

Pour fêter ses 25 ans, le spin-off Monsters de Dragon Quest s’offre un troisième opus. La nostalgie est au rendez-vous puisqu’il porte sur la jeunesse de Psaro, antagoniste de Dragon Quest IV (initialement sorti sur NES en 1990). Pas de panique, nul besoin de connaître son histoire sur le bout des doigts. Ce Monsters 3 revient largement sur son enfance. La quête principale, quant à elle, repose sur ses conflits avec son père durant son adolescence. Frappé par une malédiction, Psaro ne peut attaquer le moindre monstre. Sa parade, dresser des monstres pour les faire combattre à sa place, comme dans Pokémon !

Un pur produit Dragon Quest

Dragon Quest Monsters 3 développe une intrigue correcte. S’agissant d’un spin-off, il est normal que la qualité de l’intrigue ne puisse se vouloir supérieure aux standings de la saga principale. Les premières heures de jeu semblent d’abord faire office de tuto géant. Des nombreuses quêtes de faible envergure (sauver un bébé rat ou venger une tribu de yétis étranges) se succèdent afin de saisir les bases du gameplay. Une fois la difficulté intermédiaire débloquée, l’histoire se resserre sur Psaro. Bien que sa quête de vengeance l’amène à se créer des amis comme des ennemis, ce plot manque finalement un peu de profondeur. Et comme à l’accoutumée pour les connaisseurs de la saga, Monsters 3 mêle toujours humour, conflits militaires et puissances transcendantes.

© Square Enix / Nintendo

Et toujours comme à l’accoutumée, l’aventure affiche une durée de vie généreuse. En flânant dans les mondes à la recherche des trésors disséminés, le compteur atteint vite les 40 heures. Son bestiaire de plus de 500 monstres permet aussi de passer un bon bout de temps à tous les attraper, d’autant que le jeu propose un nouveau système de saisons. Lorsque Psaro et sa bande arrivent dans les mondes, ils sont tous régis selon le cycle habituel des saisons. Alors, selon que l’on se trouve en hiver ou en été, le bestiaire n’est pas le même. Manière astucieuse de nous faire passer le plus de temps possible dans le jeu, chaque saison durant quelques minutes. Et une fois l’aventure finie, de nouveaux challenges seront à relever, comme la possibilité d’affronter de nouveaux bosses. En multi-joueurs aussi, l’opus propose pléthore de modes de jeu.

Le prince des monstres

Le gameplay de Dragon Quest Monsters 3 repose principalement sur la composition stratégique de son équipe en amont des combats. Dès lors, les affrontements en eux-mêmes ne constituent pas la partie la plus intéressante du jeu. À ce titre, pouvoir les mettre en mode rapide ou même en automatique sera vite salvateur. En effet, le bestiaire particulièrement fourni permet de moduler l’expérience comme chacun l’entend. Plus bourrin, magicien, ou encore équilibré, tout le monde pourra composer l’équipe qui lui correspond le mieux !

© Square Enix / Nintendo

Cette grande liberté est permise par la capacité à transporter 2 équipes et, surtout, la fusion de monstres. Dragon Quest Monsters 3 propose un système de synthèse de monstres qui permet de créer de nouvelles créatures à partir de deux parents choisis dans notre « garde-monstres ». Si l’on peut créer des monstres basiques, ceux dotés d’un liseré doré seront plus forts. Alors, le jeu pousse à essayer toutes les possibilités afin de tomber sur le ticket gagnant. D’autant qu’il y aura de la place pour tout le monde, puisque nous transporterons jusqu’à 8 monstres. L’occasion de penser stratégie, en s’assurant de créer des monstres soigneurs ou réduisant les capacités ennemies !

À la poursuite d’un passé glorieux

Hélas, techniquement, ce Dragon Quest Monsters 3 compose avec une Switch aux capacités qui s’essoufflent. Lors du recrutement d’un monstre, ou en accédant au menu de synthèse, l’écran montre une fâcheuse tendance à se figer durant quelques secondes. Encore, s’il ne s’agissait que de cela. Côté graphismes, les espaces extérieurs affichent des textures baveuses et inélégantes. Le mode portable dilue quelque peu ces faiblesses par la petitesse de l’écran… Ces décors désolés sont fort heureusement contrebalancés par des personnages et des monstres très joliment modélisés.

© Square Enix / Nintendo

Cette patte graphique en cell-shading estompe hélas la patte d’Akira Toriyama, encore et toujours chargé du chara-design des personnages et des monstres. Plus globalement, cet opus reprend tous les éléments qui ont fait les lettres de noblesse de la saga. Il se dote ainsi d’une bande-son quasi-similaire à de nombreux de ses frères. Et oui, le mythique jingle qui se déclenche lorsqu’on remporte un combat est de la partie. Il ne faudra donc pas attendre de fantaisies de la part de Dragon Quest Monsters 3.

À l’ombre de la nouveauté

Dragon Quest Monsters 3 propose une aventure tout à fait honnête, grâce à sa durée et ses modes en ligne divers. Cet opus se montre donc accessible aux nouveaux arrivants dans l’univers Dragon Quest, grâce à sa gestion intéressante des monstres et son intrigue correcte. Cependant, il montre aussi une saga qui capitalise sur ses héritages et plutôt frileuse à l’innovation et au renouvellement.

Dragon Quest Monsters le Prince des Ombres est sorti le premier décembre 2023, uniquement sur Nintendo Switch.

Avis

6.4 Quête nostalgique

Square Enix puise dans le passé de sa saga Dragon Quest pour célébrer ce 25ème anniversaire du spin-off Monsters. Il en résulte un jeu qui regarde plus en arrière qu'en avant. Ce, malgré un système de gestion des monstres amusant et une intrigue sympathique.

  • Scénario 6
  • Durée 9
  • Gameplay 7
  • Graphismes 5
  • Bande-son 5
  • Moyenne des lecteurs (0 Votes) 0
Dragon Quest Nintendo
Partager Facebook Twitter WhatsApp

Articles en relation

9.0

Test Donkey Kong Bananza : il cogne fort quand il a la banane !

Bun Hay Mean, Ghost of Yotei et Justin Bieber… notre recap’ de la semaine

7.1

Test Until Then : guide pratique d’empathie

Laisser une réponse Annuler la réponse

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.

Nos articles du moment
  • Dracula : pourquoi le nouveau Luc Besson est si problématique ?
  • Festival Avignon 2025 nos coups de coeur
  • Évanouis (Weapons) : explications sur la fin WTF et l'histoire (SPOILERS)
  • Critique Évanouis (Weapons) : disparitions en puzzle
  • Critique KPop Demon Hunters : le plus gros succès animé de Netflix
  • Concours

Concours -terminé- In Bed With Madonna : 3 coffrets Blu-Ray + DVD à gagner !

23 mai 2025

Concours -terminé- Hurry Up Tomorrow : 5×2 places de cinéma à gagner !

13 mai 2025
  • La rédaction
  • Nous contacter
  • Vous faites L’Info Tout Court
  • Partenaires
  • Politique de confidentialité
  • Mentions Légales

Logo CFC 2019

Tapez votre recherche et appuyer sur Enter. Appuyez sur Esc pour annuler.