Lors de l’E3 2016, We Happy Few présentait son intrigue, autour d’une drogue en pilule rendant son consommateur heureux en modifiant sa vision de la réalité. Depuis, sa version Alpha nous a permis de découvrir ses mécanismes à fort potentiel, sans son scénario…
Des idées mais… Ce First Person RPG se différencie de Fallout ou d’un Elder Scrolls grâce à un argument majeur : son monde généré aléatoirement. En l’état cependant, la map se montre à la fois carrée et redondante. Il est très difficile de s’y retrouver à cause d’innombrables rues, maisons et plans d’herbe qui se ressemblent.
…quelques améliorations attendues. Les cycles redondants de faim, de soif et de sommeil trop courts, font enchaîner les aller-retours interminables et l’ennui assommant guette. L’inventaire typé Deus Ex, trop petit et bordélique par sa multitude d’objets, rend les quêtes fastidieuses à compléter. Un classement automatique des objets serait grandement apprécié. De plus, l’ergonomie et l’organisation des raccourcis clavier laissent à désirer et l’ajout d’un indicateur de furtivité à l’interface ne serait pas de refus.
We Happy Few en Alpha, graphiquement chatoyant, nécessite de sérieuses corrections ! Ces points parasitent un titre cependant attrayant, au potentiel indiscutable. Affaire à suivre absolument !
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