Puisque Fast and Furious 8 (notre critique) sort des starting blocks, on revient sur les précédents opus d’une saga dopée à l’huile de moteur, aux gros bas et au fil narratif aussi erratique que les styles capillaires de Nicolas Cage.
Attention spoilers au tournant !
Le premier Fast and Furious est un remake de Point Break où Paul Walker s’infiltre dans la bande de Vin Diesel, adepte de courses de tuning à Los Angeles. Heureusement, ils deviennent potes et boivent des Coronas.
Diesel se casse, donc Paul nous présente Tyrese Gibson dans un 2e opus que tout le monde déteste, sauf pour les fesses d’Eva Mendes. Vinou retrouve Paulo dans le 4 mais ils ne sont plus copains. Pour venger la mort de Michelle Rodriguez, ils partent finalement ensemble au Mexique.
Devenus frangins dans le 5, ils décident de voler l’argent d’un baron de la drogue, M-I style, mais sont traqués par The Rock. Pour s’en sortir, ils appellent leur » famille », composée de Tyrese, Wonder-Woman et Don Omar (pour la musique).
Dans le 6, Dwayne Johnson joue aussi aux voitures pour coincer le frère de Jason Statham qui bosse avec… Michelle, vivante, tandis que WW est tuée. A la fin du 3e opus dont tout le monde se fout, un Statham vénère se venge sur un membre de l’équipe (mais ça se passe après le 6, vous comprenez ?). Du coup, dans Fast and Furious 7, les survivants décident d’un « dernier job » afin de l’éliminer. Puis on a droit aux adieux à Paul Walker dans un happy end où même nous on chiale.