Casse-tête chinois sort très bientôt, prenons donc une machine à remonter dans le temps et retournons à la racine, là où tout commença : L’Auberge espagnole.
C’est dans ce premier volet de la fameuse trilogie de Klapisch, L’Auberge espagnole, que l’on fait la connaissance de Xavier, Martine, Wendy et de tous ces autres jeunes gens formants cette invraisemblable colocation espagnole ! On suit donc les premiers pas de Xavier dans ce qui va constituer la première étape importante de sa vie et le premier voyage initiatique de cette trilogie.
L’auberge espagnole est un film authentique permettant aux spectateurs de s’identifier à un des personnages sans tomber dans de trop gros clichés, et ça fait du bien. On s’amuse de Xavier, jeune homme un peu déboussolé qui se retrouve dans des situations plus ou moins loufoques nous ramenant à nos propres problèmes et propres questionnements. Qu’aurions-nous fait à sa place ?
Indémodable, L’Auberge Espagnole est un film qui mérite d’être vu et revu ne serait-ce que pour ses scènes et répliques devenues cultes.
Fiche technique
Réalisation : Cédric Klapisch
Avec : Romain Duris, Cécile de France, Judith Godrèche
Date de sortie : 27 novembre 2013
Synopsis : Xavier, un jeune homme de vingt-cinq ans, part à Barcelone pour terminer ses études en économie et apprendre l’espagnol. Cette langue est nécessaire pour occuper un poste, que lui promet un ami de son père, au ministère des finances. Mais pour ce faire, il doit quitter sa petite amie Martine, avec qui il vit depuis quatre ans. En Espagne, Xavier cherche un logement et trouve finalement un appartement dans le centre de Barcelone qu’il compte partager avec sept autres personnes. Chacun de ses colocataires est originaire d’un pays différent.
Critique écrite pas Alexia Pepin