GTA IV, ou Grand Theft Auto 4, mérite un coup d’oeil dans le rétroviseur avant la sortie du cinquième opus. Notre mini test.
GTA alias Grand Theft Auto (“vol de voitures aggravé” en jargon policier) a dépassé les frontières vidéo-ludiques pour entrer dans la culture populaire.
Lors de sa première semaine de vente en avril 2008, GTA IV s’écoula à près de 6 millions d’unités, pour des recettes avoisinant les 500 millions de dollars ! Soit mieux que le plus gros des blockbusters US, et une première pour un divertissement aussi ouvertement “bad boy”. Niko Bellic, notre nouveau héros, évolue dans Liberty City, une ville au réalisme jusque-là inégalé. Entre Driver (pour les missions à remplir au volant) et Carmageddon (pour le côté défouloir), GTA IV se démarque par son sens du détail et son ironie mordante. On peut par exemple y surfer sur le Net et tomber sur le site d’une marque d’informatique: “Fruit Computers”.
A ce jour, GTA IV est considéré comme le meilleur jeu de tous les temps, toutes consoles confondues, selon l’agrégateur de notes Metacritic !
Fiche technique
Studio : Rockstar Games
Supports : PC, PS3, Xbox 360, Xbox One
Date de sortie : 29 avril 2008
Synopsis : Le jeu met en scène Niko Bellic, un vétéran de guerre serbe14, ayant immigré dans la ville de Liberty City aux États-Unis afin d’y vivre le rêve américain promis par son cousin, Roman Bellic, qui l’entraîne malgré lui dans un engrenage de crimes et de règlements de compte. Le joueur progresse dans des environnements en trois dimensions qu’il explore en vue à la troisième personne et dans lesquels il peut se déplacer à pied ou grâce à divers véhicules. Le jeu combine des éléments de course et de tir à la troisième personne et propose un gameplay ouvert aussi bien en solo qu’en multijoueur. Dans ce dernier mode, entre 16 et 32 joueurs (selon les versions) peuvent coopérer ou s’affronter dans différents modes de jeu.
Article écrit par Arnaud Trouvé