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Accueil - Critique Le Robot Sauvage : géant (au cœur) de fer
© Universal Pictures
Cinéma

Critique Le Robot Sauvage : géant (au cœur) de fer

Lucine Bastard-Rosset Lucine Bastard-Rosset6 octobre 2024Aucun commentaireIl vous reste 4 minutes à lireUpdated:6 octobre 2024
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Le Robot Sauvage de Chris Sanders a tenu ses promesses : le film produit par DreamWorks Animation est une envolée lyrique aux couleurs chatoyantes, un petit bijou d’animation. 

Présenté lors d’une Séance événement au Festival International du Film d’Animation d’Annecy 2024, Le Robot Sauvage s’était dévoilé à travers des images d’une remarquable qualité. La version finale est à la hauteur des attentes nées de cette première projection ; on en ressort le cœur léger et plein d’amour.

© Universal Pictures

Perdue en mer

« Rapport d’incident. A trois heures zéro zéro, un lot de robots Universal Dynamics a été perdu en mer dans un typhon, les chances de pouvoir les récupérer sont faibles.« 

Adapté du roman de Peter Brown The Wild Robot (Robot Sauvage en français), le film suit le destin du robot Rozzum 7134, surnommée Roz (interprétée par Lupita Nyong’o), naufragée sur une île. Construite pour servir les humains et remplir diverses missions, Roz tente de faire ce pourquoi elle a été programmée, mais se retrouve rapidement confrontée à un environnement hostile peuplé d’animaux sauvages. Perçue comme un monstre par tous ces petits habitants, Roz est démunie et isolée, jusqu’au jour où elle devient la maman d’un oison, Joli Bec (Kit Connor). Elle accepte alors sa première mission : l’élever, lui apprendre à nager et à voler. 

© Universal Pictures

L’instinct de survie guide les animaux à se cacher, à chasser et à se méfier des autres espèces. L’instinct de survie de Roz est quant à lui fondé sur la bonté, et la pousse à aider son prochain. Totalement incapable de violence, elle met tout en œuvre pour apprendre de son environnement, quitte à forcer sa programmation. Sa gentillesse est son trait de caractère principal, celle-ci la définit et lui donne sa force. Roz ne renonce jamais, elle est un Robot Sauvage qui parle la langue des animaux, un Robot qui va découvrir que son buste de métal peut contenir une chose bien plus solide que le fer. 

On pense à avant…

Le Robot Sauvage a ce petit quelque chose des films d’animation de la fin des années ‘90 : sa force réside dans les émotions qu’il est capable de transmettre. A l’instar du Géant de fer de Brad Bird (1999), on retrouve un robot qui se lie à un être vivant, qui apprend du monde qui l’entoure, comme un enfant apprend en grandissant. On rit des maladresses de Roz, de sa naïveté, de son ignorance quant aux lois régissant la nature. Elle est un oison qui imite les autres êtres vivants pour trouver sa voie. 

© Universal Pictures

Le film est porté par l’amour qui se dégage d’un trio insolite, par la douceur du lien qui se tisse entre Joli Bec (dont le nom rappelle celui de Petit Bec dans La Première neige de Graham Ralph), Roz et le renard Escobar (Pedro Pascal). En cela, Le Robot sauvage évoque La Mouette et le Chat (1999), ce long-métrage d’Enzo D’Alo où un chat devient la maman d’adoption d’un oisillon. A travers son film, Chris Sanders montre que l’attachement est parfois plus fort que tout, que la différence n’est en rien une faiblesse, et qu’une famille peut être choisie. Les sentiments sont forts et donnent naissance à des scènes captivantes et émouvantes où la puissance des émotions est portée par une animation éblouissante.

… Avec les techniques de maintenant

Dans cette création de Chris Sanders – à qui l’on doit déjà en partie Lilo et Stitch, Dragons et Les Croods – l’animation 2D des films des années ‘90 cède le pas à une animation 3D riche et fluide. En se fondant sur une technique déjà explorée dans Le Chat Potté 2, DreamWorks offre une animation particulièrement belle et rapide qui nous immerge avec réalisme dans une forêt sauvage. Les actions s’enchaînent, les angles de prise de vue se multiplient, les plans parfois subjectifs nous placent au plus près des personnages.  Un tourbillon de couleurs et de sensations.

© Universal Pictures

Face à ces dessins conçus à partir de peintures préparatoires, on a l’impression de percevoir les différentes textures. Les plans d’ensemble de l’île donnent à contempler des images où l’éclat des couleurs se mêle à une composition picturale recherchée. La séquence où les oies sauvages s’envolent pour leur migration suffit pour comprendre : cette fresque visuelle offre au regard une myriade d’oiseaux, volant au milieu d’un ciel mauve aux reflets dorés et azur. On se délecte de ces dessins et de ces teintes étincelantes. 

A n’en pas douter, Le Robot Sauvage est un film d’animation qui marque une avancée majeure dans la technique, une production d’une grande beauté visuelle et émotionnelle.

Le Robot Sauvage est à découvrir au cinéma à partir du 9 octobre 2024.

Avis

9 Juste magnifique

Chris Sanders propose avec Le Robot Sauvage un film d'animation aussi bien abouti dans son fond que dans sa forme. Une création DreamWorks Animation d'une grande beauté qui nous emmène dans une histoire émotionnellement riche. On passe un merveilleux moment sur cette île en compagnie du robot Roz et des animaux.

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