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Accueil - Critique La petite casserole d’Anatole : apprivoiser la différence en douceur
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Spectacle

Critique La petite casserole d’Anatole : apprivoiser la différence en douceur

Mélina Hoffmann Mélina Hoffmann13 novembre 2022Aucun commentaireIl vous reste 4 minutes à lire
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La petite casserole d’Anatole apprend au jeune public à apprivoiser ce qui, dans la vie, peut nous encombrer.

La petite casserole d’Anatole est l’adaptation pleine de délicatesse et de poésie de l’album de littérature jeunesse tout aussi tendre d’Isabelle Carrier.

On y découvre le monde à travers le regard d’Anatole, qui traîne toujours sa petite casserole rouge derrière lui. Elle se coince partout et l’empêche d’avancer, mais il n’arrive pas à s’en débarrasser. Petit à petit, il va alors apprendre à apprivoiser ce handicap dont il ne peut se défaire… Un joli spectacle pour évoquer la différence et son acceptation.

Des personnages tout en mignonnerie

Elles font immédiatement sourire ces petites marionnettes toutes blanches et pleines de charme. Faites de sacs de tissu remplis de grain ou de sable, avec leur forme arrondie et la douceur qu’elles dégagent, elles font penser à des doudous. Et l’on est vite attendri par Anatole tandis que l’on comprend que la vie est, pour lui, un peu moins simple que pour les autres.

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En effet, où qu’il aille, Anatole traîne cette casserole attachée à son pied comme un boulet. Elle fait d’ailleurs un sacré boucan, impossible de ne pas la remarquer ! Ah ça, on ne pas dire qu’elle lui facilite la vie, c’est sûr. Surtout quand elle s’enroule autour d’un lampadaire, qu’elle le guide vers de mauvaises directions ou qu’elle l’empêche de se faire des amis…

Mais, tandis qu’il se met à l’apprivoiser, c’est notre regard en même temps que le sien qui change sur cette réalité. Jusque à nous faire réaliser « qu’un défaut est souvent une qualité mal aimée« . Voilà un message qui ne fera d’ailleurs pas du bien qu’aux plus petits…

Un spectacle tout en simplicité

Fidèle à l’album jeunesse d’Isabelle Carrier, cette adaptation théâtrale propose un décor simple, épuré, ainsi que le sont également les marionnettes. De quoi suggérer l’essentiel tout en stimulant l’imaginaire. Ainsi, par exemple, tandis que la ville dresse ses tours et ses maisons en carton en arrière-plan, des notes s’élèvent dans les airs… Puis, les silhouettes des habitations se changent en une fenêtre et les notes qui flottent deviennent plus grosses tandis que la distance se réduit entre Anatole et la source de cette musique.

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On se laisse ainsi bercer par la poésie de moments remplis de simplicité. Comme lorsque Anatole se repose dans un parc, sous un ciel de coton, puis que les nuages se changent en formes venant peupler ses rêveries ; ou encore quand la nuit vient scintiller au clair de lune… Et puis, quelques moments d’humour s’invitent aussi, quand le petit garçon rend visite à son grand-père à l’hôpital et qu’il se sert de la perfusion de ce dernier pour donner à boire au chat assoiffé par exemple !

Une métaphore poétique de la vie

Et c’est avec la même douceur, de manière sensible, pudique et suggestive, que le message parvient au jeune public. Enfin, peut-être pas dès 3 ans car il y a tout de même beaucoup de subtilité, et nous avons parfois eu du mal à bien saisir le sens de certaines scènes. Mais l’on comprend bien, en revanche, que cette casserole que traîne Anatole et dont il ne peut se séparer, est le symbole de « défauts », de différences ou d’autres choses qui peuvent parfois encombrer l’existence.

Et cette partie de lui, d’abord plutôt malaimée, cette sensibilité, cette façon un peu différente de voir et de vivre le monde, peut finalement lui rendre service et devenir une force. Il apprend à avancer avec elle. Il devient même possible, dans cette casserole qu’il (qu’on) se traîne, d’y faire pousser des fleurs ! Une jolie invitation à mieux s’accepter tel que l’on est, à apprivoiser ce que l’on a du mal à aimer en nous, nos handicaps, nos casseroles.

La petite casserole d’Anatole, d’après l’album d’Isabelle Carrier, par la Compagnie Marizibill, adapté et mis en scène par Cyrille Louge, marionnettes de Francesca Testi, est actuellement en tournée en France.

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Avis

8 Simple et touchant

C'est de sa fille atteinte de trisomie 21 que s'est inspirée l’autrice du livre à l'origine de cette pièce pour donner naissance au personnage d’Anatole. La Compagnie Marizibill a joliment su donner vie au personnage d'Anatole. Une manière très douce d'aborder le handicap et la différence de manière générale.

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