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Accueil - Critique Esther 2 – Les Origines : seconde vieillesse
Critique Esther 2 - Les Origines seconde jeunesse
© Dark Castle Entertainment, Metropolitan Films, Entertainment One, Eagle Vision
Cinéma

Critique Esther 2 – Les Origines : seconde vieillesse

Kantain Kantain21 août 2022Aucun commentaireIl vous reste 4 minutes à lireUpdated:22 septembre 2022
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Esther 2 – Les Origines fait revenir la terrifiante orpheline 13 années plus tard, pour une suite surprenamment efficace qui semble d’abord éviter la redite avant de s’y plonger tête baissée, sans l’effet de surprise.

Esther 2 – Les Origines, personne ne l’attendait vraiment, surtout 13 années plus tard. Le petit succès efficace de Dark Castle Entertainment, division de Silver Pictures initiée par Joël Silver et Robert Zemeckis en 1999, alors mis en boîte par un Jaume Collet-Serra qui n’avait pas encore rencontré Liam Neeson (ils tourneront 5 films ensemble) et une Isabelle Fuhrman alors encore âgée de 13 ans. Aujourd’hui, les effets numériques, ainsi que deux jeunes doublures permettent à l’actrice de 24 ans de reprendre le rôle, tandis que William Brent Bell, le réalisateur de The Boy et de son deuxième opus se charge de la mise en scène. Pour une suite qui se propose d’abord comme une sympathique redite, avant de rebattre (un peu) les cartes.

Mère amère

Esther 2 – Les Origines suit donc Leena, une jeune femme de 31 ans enfermée dans un corps de petite fille et internée dans un asile psychiatrique après avoir déclenché l’incendie de la maison familiale. Après une évasion en pilote automatique, la jeune femme se fera passer pour Esther Albright, riche petite fille disparue depuis 4 années en rejoignant sa famille. Et si jusque là rien ne change, pour le pire, comme pour le meilleur, la mise en scène de William Brent Bell relevant le beau pari de se révéler efficace et prenante malgré le manque total de surprise que réserve le scénario de David Coggeshall, Esther 2 – Les Origines introduit pourtant d’astucieux nouveaux interprètes. C’est ainsi un réel plaisir de retrouver Julia Stiles, visage connu pour son rôle de Nicky dans la trilogie Jason Bourne, en mère faussement éplorée mais réellement opaque.

Critique Esther 2 - Les Origines seconde jeunesse
© Dark Castle Entertainment, Metropolitan Films, Entertainment One, Eagle Vision

Si le premier Esther se contentait parfois trop de son concept efficace et ne proposait qu’un duel assez fade entre Vera Farmiga et Isabelle Fuhrman, ce deuxième opus fait enfin s’affronter de réelles menaces pour notre chère orpheline. Parce qu’il y a un réel plaisir de petit jeu de massacre dans cette nouvelle demeure que propose Esther 2 – Les Origines. Exit la petite famille parfaite américaine et la demeure paisible et chaleureuse, place ici à une famille qui s’est relevée et complètement reconstruite (à part un père, demeurant ici complètement en retrait) de la disparition d’une enfant et où une ambiance pesante règne en maître. Tout le monde ne semble pas ainsi réellement ravi de ce retour, et le casting, comme le scénario n’est alors pas lancé pour nous resservir la même tambouille.

Esther père ou gagne ?

Pourtant, il y a évidemment dans ce deuxième opus des ficelles bien trop grosses pour que le plaisir demeure complètement intact. On reste ainsi parfois rieur devant la grossièreté du scénario, qui se repose malgré tout beaucoup trop sur sa formule avant de tenter d’enrayer la machine sans jamais vraiment proposer de réelles fulgurances. Parce que malgré de nouvelles menaces, Esther 2 – Les Origines reste malgré tout bien trop sage pour susciter un réel plaisir sadique. Tous les rebondissements semblent amenés avec beaucoup trop de lourdeur pour réellement surprendre, et le film de William Brent Bell rate de plus son final, qui à défaut d’être jouissif, paraît aussi fade.

Critique Esther 2 - Les Origines seconde jeunesse
© Dark Castle Entertainment, Entertainment One, Eagle Vision

L’on aurait ainsi préféré que ce portrait noir de la famille américaine soit beaucoup plus amoral et subtil que cet affrontement en pilote automatique qui passe de plus complètement à côté des réels jolis (mais maigres) moments de tension que réserve le scénario. Tout paraît alors surgir, d’une équipe prête à bousculer une solide petite recette, pour replonger tête baissée dans une redite qui se voulait plus jouissive mais ne demeure malheureusement que plus fade. On comprend alors que malgré toutes ces belles idées, l’ensemble ne parte une fois de plus (de trop ?) en fumée, parce que l’on oublie rapidement les origines d’Esther pour ne se souvenir que d’un visage, qui malgré son apparente jeunesse, n’a rien de réellement neuf à nous proposer.

Esther 2 – Les Origines est sorti le 17 août 2022.

Avis

6.0 Esther répète

Esther 2 - Les Origines semble d'abord relire son efficace modèle pour lui proposer un petit coup de jeune. Malheureusement, les apparences sont une fois de plus trompeuses et malgré quelques belles idées et de nouvelles menaces forts intéressantes, rien de neuf n'est malheureusement à signaler pour un deuxième opus qui transforme ses belles intentions en une pâle et grossière redite.

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