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Accueil - Critique Bumblebee : celui qui s’excuse pour les Transformers
Critique Bumblebee : celui qui s'excuse pour les Transformers
© Paramount Pictures
Cinéma

Critique Bumblebee : celui qui s’excuse pour les Transformers

Allan Blanvillain Allan Blanvillain26 décembre 2018Aucun commentaireIl vous reste 3 minutes à lireUpdated:26 décembre 2018
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Bumblebee signerait-il le renouveau de la saga Transformers ? On a envie de dire que de toute façon il ne pouvait pas faire pire que le dernier opus.

Quand Bumblebee a pointé son nez, on a eu ce sentiment bien connu, mélange de curiosité et de « ça m’en touche une sans me faire bouger l’autre ». D’un côté Travis Knight (Kubo et l’armure magique) sur le fauteuil du réal’ à la place de Michael Bay nous séduisait pas mal  ; de l’autre on a encore le douloureux souvenir de Transformers 5 et on ne va pas se le cacher, Bumblebee n’est pas franchement notre autobots préféré (Team Optimus).

De là tu pourrais nous dire que ce spin-off repose sur des bases différentes de la saga d’origine (nous y reviendrons) et qu’il ne faut pas comparer. Sauf que n’en déplaise à la critique américaine qui semble avoir souillé son caleçon devant le film, si Bumblebee se démarque positivement, ce n’est pas moins pour ses qualités que parce qu’il bénéficie de cette comparaison.

Bumblebee  : l’âge de la résurrection

Évidemment, le métrage cumule plusieurs problèmes, dont un script assez simpliste avec des arrangements scénaristiques à la pelle (avez-vous déjà vu une base militaire sans militaire  ? Maintenant oui) et une Hailee Steinfeld tête à claques qui n’a rien à envier à Shia Labeouf. Et il faudra peut-être arrêter un jour de nous jouer la carte nostalgie juste pour avoir l’air cool, ça devient grossier.

Néanmoins, là où The Last Knight (et son aîné) ne représentait qu’une bouillasse visuelle sombrant dans la surenchère illisible et crétine, ce métrage recentre son récit autour de l’autobots et deux décepticons et trouve dans sa simplicité, la fluidité nécessaire à l’entreprise. Aux explosions et au CGI à outrance de Bay, Knight préfère rester à échelle humaine, limitant ses effets numériques au minimum lorsqu’ils ne sont pas essentiels à l’histoire. Non seulement ça repose l’oeil, mais ça permet de mieux comprendre l’action. On n’est plus dans le blockbuster gros et lourd, mais dans l’aventure familiale.

Exit les enjeux mondiaux, voire galactiques, le film se contente de raconter la relation entre une ado fausse rebelle vraie chialeuse (Hailee Steinfeld) et sa coccinelle robot géant. Bien que le scénario tourne à vide, on renoue avec l’humour du premier opus Tansformers en légèrement plus appuyé et surtout une émotion qu’on ne pensait jamais apercevoir un jour dans la saga. Dans l’esprit, on lui a trouvé un petit côté Johnny 5 (révise tes classiques !).

On note d’ailleurs pas mal de thèmes communs entre cette oeuvre et le Kubo du même réalisateur avec le passage à l’âge adulte, le deuil, la famille ou encore l’amitié. Même dans sa mise en scène, il prend bien soin de ne jamais écarter Charlie de l’action, telle l’héroïne qu’elle incarne au sein d’un métrage qui ne porte pas son nom. Adapté au jeune public qu’il touchera sans mal, Bumblebee n’est pas un Transformers et ça lui réussit.

Bumblebee sort le 26 décembre 2018.

Transformers
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