En parallèle de la révolution, la saison 2 de Westworld (notre critique du season premiere) semble tourner autour de James Delos, l’ancien patron de la société joué par Peter Mullan.
Depuis l’épisode 2, on sait le personnage condamné par un cancer et gentiment poussé vers la sortie par son ambitieux gendre. Or dans « The Riddle of the Sphinx » (l’énigme ancestrale renvoyant à l’évolution de l’humanité), on retrouve papa Delos bien vivant, mais recevant plusieurs fois la visite de William.
Via les informations dévoilées par le jeune Homme en Noir, on comprend que les ingénieurs de Westworld travaillent en fait à concrétiser l’immortalité en plaçant dans un corps d’androïde, un cerveau humain. Recherches contraires à la volonté de Robert Ford (Anthony Hopkins) mais qui fait de James Delos le premier hybride dont le comportement sera vainement étudié au cours des années et de 149 reboots cognitifs.
Enfin, le parcours erratique de Bernard dans la timeline principale de Westworld le conduit à Delos, toujours prisonnier. La preuve que l’hôte travaillait, sous l’influence de Ford, à détruire cette quête d’immortalité. Sauf qu’une personne semble se voir gratifier de ce traitement surhumain puisque Bernard sauve un cerveau. On penche pour le seul que Ford accepterait de voir revenir et perdurer : Arnold.