Ce troisième épisode de la saison 2 de Westworld (notre critique du season premiere) annonce des changements radicaux dans le paysage du show de HBO.
Déjà, on découvre deux nouveaux parcs. Grace, une jeune exploratrice, tente d’échapper à la révolution qui gronde également dans le Raj, un monde qui reprend la colonie des Indes, où l’on trouve des sherpas hindous et le tigre du Bengale retrouvé mort dans le pilote. À la fin de l’épisode, des Samouraïs attaquent Maeve et promettent l’arrivée imminente du Shogunworld.
Mais surtout, ce Virtù e Fortuna calme ses différentes timelines pour nous éclairer sur les visées de Delos via Peter Abernathy (Louis Herthum), le « père » de Dolores. Le bonhomme était le premier androïde à « bugger » en découvrant une photo de la fille de James Delos lors de la saison 1 et, si vous vous souvenez, Charlotte Hale déclare dans le season premiere que les données des « invités » sont stockées dans la mémoire d’Abernathy. Alors quand Bernard, en tentant de soigner la surchauffe de Peter, découvre une information cachée sous les différentes personnalités de l’hôte (dont le même symbole se trouve dans le carnet de Grace) on imagine qu’il s’agit des données récoltées.
Quelle utilisation Bernard peut-il en tirer ? Cela aura-t-il un impact sur la révolution de Dolores qui ne fait pas l’unanimité (coucou Teddy) ? Serait-ce lié à la quête de l’Homme en Noir qui tente de réparer ses erreurs et de détruire ces données ?