Jeremy Ponthieux
Le Garçon et La Bête : saluons une fois de plus la grandeur du cinéma d’animation japonais, toujours prompt à redéfinir la notion de poésie dans un grand élan d’aventure. Éblouissant et inoubliable.
Room : jamais se tenir à hauteur d’enfant n’aura autant fait sens. Jamais la cruauté de la vie n’aura trouvé œuvre aussi digne et bouleversante. L’auteur de ses lignes peine à se remettre des torrents de larmes versés…
Les Ogres : Léa Fehner ne réussit pas seulement une œuvre autobiographique pleine de contrastes. Elle embarque également son audience dans la tornade tourbillonnante de la vie, au plus près des saltimbanques marginaux dont le monde a tant besoin. Grand film.
On pense aussi à : Carol, Neon Demon et The Nice Guys.