C’est bien connu, les joueurs de l’Équipe de France de foot ne jouent qu’à deux jeux : Fortnite et Football Manager. Un peu comme nous quoi.
On n’a peut-être pas le même maillot, mais on a la même passion ! Et c’est dans l’espoir de retrouver un certain Grizou lors d’une partie en ligne qu’on se lance dans Football Manager 2019. Objectif : gagner une troisième étoile et offrir un Ballon d’Or à Mbappé. Bon, on ne va pas revenir sur le principe de la licence qui te place dans la peau d’un entraîneur ou plutôt l’homme à tout faire du club tellement les possibilités de gestion / management sont nombreuses. On va plutôt s’intéresser aux grosses nouveautés.
Oups, avant ça juste un petit coup de gueule rapide… enfin deux. Premièrement, il faudrait vraiment penser à revoir cette interface. Le jeu incorporant davantage mécanismes sans en enlever au passage, on commence à frôler le trop plein d’infos. La présence des réseaux sociaux, par exemple, est hautement dispensable, du moins tant que son importance n’est pas revue à la hausse. Deuxièmement, et on sait bien que ça prend du temps, mais on a plus de chance de gagner une Ligue des Champions avec l’OL féminine qu’avec le PSG masculine si tu vois où on veut en venir… Les joueuses de foot sont des joueurs comme les autres.
Football Manager 2019 toujours à la pointe
L’absence des équipes féminines – mais plus de la Bundesliga – est d’autant plus dommageable que c’est bien le seul point sur lequel la licence n’est pas à jour. Preuve en est l’intégration de la VAR lors des matchs qui provoque exactement les mêmes litiges que sur le vrai terrain. Pour tout dire, on n’a pas encore trop eu l’occasion de la voir à l’œuvre lors des rencontres disputées, mais les journalistes aiment bien nous titiller dessus lors des conférences. Résultat : c’est surtout au niveau de la relation avec les joueurs que ça change quelque chose en fonction de notre réaction.
Les deux ajouts majeurs se situent lors de la préparation puisque le système d’entraînement a été revu et la tactique a été étoffée. Au niveau de l’entraînement, il est désormais divisé en sessions et il devient possible de travailler plus précisément certains domaines en fonction du prochain adversaire, telle la défense aérienne. Globalement, on l’adapte réellement à nos besoins sur le court ou le long terme.
De son côté, l’aspect tactique a également gagné en profondeur puisqu’au-delà de nouveaux systèmes de jeu prédéfinis, on a la capacité de choisir sa stratégie en fonction de trois différentes phases : possession de balle, absence de possession ou transition entre les deux. Rien n’est laissé au hasard.