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Accueil - Test Endless Ocean Luminous : scanette à la dérive
Test Endless Ocean Luminous : scanette à la dérive
© Nintendo
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Test Endless Ocean Luminous : scanette à la dérive

Clem MP Clem MP15 mai 2024Aucun commentaireIl vous reste 5 minutes à lire
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La licence Endless Ocean refait surface avec un nouvel opus, Luminous, placé sous le signe du dépouillement.

Nintendo n’en finit pas de ressortir de vieilles licences du placard pour accompagner la fin de vie de sa Switch (Another Code, Princess Peach…). En ce mois de mai, c’est alors Endless Ocean qui bénéficie d’un coup de polish avec un nouvel opus. La licence a fait ses débuts en 2007 sur Wii et s’était poursuivie avec un deuxième opus en 2009. Nous y incarnons un nageur qui explore la Mer Voilée, emplie de faune connue (requins, poissons clown…), mais aussi de créatures normalement éteintes et de spécimens uniquement conçus pour le jeu. Or, en 2024, Nintendo se positionne après les grands succès qu’ont été Abzû (2016) et Subnautica (2018), qui ont fait souffler un vent de fraîcheur sur l’exploration marine. La formule Endless Ocean est-elle encore qualitative en 2024 ? Elle aurait pu, si Luminous avait proposé un peu plus de contenu.

Paparazzi marins

Endless Ocean Luminous réduit son gameplay au strict minimum, rendant sa prise en main on ne peut plus intuitive. Nous y incarnons un plongeur officiant pour un organisme de préservation de la biodiversité marine. Dans les modes solos comme en ligne, nous sommes guidés par une intelligence artificielle habilement nommée OcéanIA. Cette dernière donne les missions et informe de l’avancée des objectifs. Dans le mode histoire, seul un plongeur nommé Daniel nous accompagnera vaguement, dans la mesure où il se contente de donner la réplique à OcéanIA. Un dépouillement qui coïncide avec les missions accordées. Enfin avec LA mission donnée à chaque chapitre et à chaque plongée libre. Endless Ocean Luminous se résume à scanner des poissons pour remplir la base de données de cette organisation. Accessoirement, il est possible de nager avec des poissons une fois scannés ou de prendre des photos, via le mode éponyme. Et c’est tout.

Test Endless Ocean Luminous : scanette à la dérive
© Nintendo

Le titre compose donc avec beaucoup de vides, même graphiquement. Certaines fonctionnalités présentes sur les précédents opus ont disparu. Par exemple, il n’est plus possible de caresser les animaux et, fait plus notable, les carnivores n’attaquent plus. Endless Ocean Luminous permet ainsi frôler les plus grands requins sans craindre une seule seconde pour sa peau. En outre, s’il se dote de grandes cartes entièrement explorables sans aucun chargement, force est de constater qu’elles manquent de vie. Une map se parcourt en environ 1 heure, mais avec beaucoup de zones sans âme qui vive ni algues pour meubler le fond. Alors, jusqu’à quand scanner des poissons retient en halène ?

Océan limité

Endless Ocean Luminous se gonfle, comme il peut, de contenus annexes et d’objectifs démesurés pour essayer de noyer le poisson. Il offre 7 jours d’abonnement au Nintendo Online pour profiter des modes en ligne promettant des plongées merveilleuses jusqu’à 30 joueurs. Dans les faits, le mode en ligne permettra seulement de farmer plus vite l’expérience et les objets à trouver (près de 380). Les interactions entre joueurs sont inexistantes, alors chacun évoluera tristement dans son coin. Les événements temporaires, eux aussi supposés apporter un peu de vie, n’aident au final qu’à mettre un plus vite la main sur 2 ou 3 créatures… sur les 578 de l’opus. Le jeu propose aussi un mode nage libre hors ligne qui permet d’avancer à son rythme, mais encore plus dénué de vie. Ce test s’attarde longuement sur les tares de ces modes car ils sont un passage obligé.

Test Endless Ocean Luminous : scanette à la dérive
© Nintendo

En effet, le mode histoire, qui n’en est pas vraiment un tant les chapitres sont courts (2 à 5 minutes) et tant l’intrigue ne soulève aucun problème digne d’intérêt, a décidé d’être fort capricieux. Débloquer le chapitre suivant requiert de scanner des cargaisons de poissons. Par exemple, atteindre le chapitre 3 requiert de scanner environ 2 000 poissons. En somme, déverrouiller l’intégralité de ce mode coûtera des heures et des heures de farm en nage libre. Franchement décourageant, et d’autant plus au vu de son manque cruel de contenu. Comme évoqué plus haut, un chapitre se résume à scanner une ou deux espèces, quand il ne se constitue pas entièrement de dialogue. Et ce en dépit d’un postulat qui aurait pu donner envie. Le titre s’enveloppe en effet de légers enjeux écologiques, puisqu’il faudra sauver l’arbre de vie de la Mer voilée.

Test Endless Ocean Luminous : scanette à la dérive
© Nintendo

Au final, Endless Ocean Luminous est un jeu contemplatif. La Switch en fin de vie livre un jeu aux capacités graphiques correctes. Lorsque nous nous trouvons en présence de poissons ou d’algues, le décor offre des textures correctes. Ces dernières se montrent même très agréables lorsque nous découvrons des vestiges archéologiques engloutis. Cette impression de sérénité finit de s’exalter dans l’ambiance sonore du soft. Notre plongeur se déplace avec une fluidité remarquable et sa nage génère des bruitages de déplacement de l’eau particulièrement relaxants. Tandis que la bande-son livre des mélodies tout aussi apaisantes quand elle daigne se déclencher.

La scanette contre la trempette

Ce nouveau Endless Ocean est définitivement un jeu de niche. Scanner les poissons se montre trop vite rébarbatif. Malgré l’immense quantité de créatures et d’items à dénicher, il n’offre pas grand chose de qualitatif avec ces belles matières. Ces demi-enjeux de sauvegarde marine ne captiveront que quelques heures, 5 tout au plus. Alors, le titre s’appréciera surtout comme une balade relaxante. S’il y a une chose qu’il réussit à merveille, c’est proposer une bulle marine reposante.

Endless Ocean Luminous est sorti le 2 mai 2024 sur Nintendo Switch.

Avis

5.2 Terne

Endless Ocean Luminous peine à justifier ses 50 euros. Son mode histoire dépouillé et les interactions quasi inexistantes avec les créatures en font un jeu principalement contemplatif qui ne siéra qu'à un public très restreint.

  • Scénario 3
  • Gameplay 4
  • Durée 6
  • Graphismes 6
  • Bande-son 7
  • Moyenne des lecteurs (0 Votes) 0
Nintendo
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