Un mois après sa dernière bêta, Overwatch sort enfin. Blizzard a-t-il réussi son entrée dans le monde du FPS ?
En terme d’univers, le titre fait toujours son petit effet. Chatoyant et accueillant, il possède une réelle identité et ce, même en terme de sound design. Son aspect « pixardesque », le soin apporté à chaque décor et personnage crée une ambiance et une cohérence rarement atteinte dans un FPS orienté multi.
Nous retrouvons un contenu que l’on pourra juger limité, mais largement rattrapé par le nombre de possibilités offertes par chaque partie. Chaque héros possède son utilité et il sera bon de changer la composition de l’équipe afin de s’adapter à la situation. Bien entendu, quelques rééquilibrages réguliers ne seront pas de refus.
Le seul réel point noir d’Overwatch réside dans la possibilité de prendre plusieurs fois le même combattant dans la même équipe. Certains joueurs au courage fuyant ont tendance à en abuser, brisant alors complètement le rythme et l’équilibre du titre et offrant une certaine frustration à l’équipe voulant la jouer réglo.
Toujours aussi plaisant, Overwatch brille par ses joutes nerveuses et tactiques. Le teamplay est ici primordial et les amateurs de titres compétitifs et coopératifs feraient bien de ne pas passer à côté !