La fin du monde sous l’eau – Disaster : Day of Crisis
Te voilà enfin de retour parmis la civilisation. Le chemin n’était pas long pourtant, mais que de péripéties ! Un étendue de voitures abandonnées s’étale devant toi. Ayant suivi la galère de Raymond Bryce dans la méthode de Disaster Day of Crisis, tu décides de ne pas rester trop longtemps au même endroit…
Bien t’en a pris, car tandis que tu avançais, te frayant un chemin entre les débris en tout genre, un grondement sourd et puissant retentit. À quelques secondes près tu y passais ! Dans un fracas de tous les diables, une faille immense s’ouvre brusquement derrière toi, engloutissant les véhicules avec deux immeubles. Puis… plus rien.
C’est calme, trop calme…Des trombes d’eau s’abattent alors sur ta tête tandis que tu t’engages toujours plus loin au cœur de la cité. La visibilité est quasi nulle et la pluie se transforme bientôt en grêlons. Les rues semblent geler à vue d’œil. Dans un craquement terrible une colonne de fumée s’élève au loin. Interloqué, tu t’arrêtes, te demandant ce qui va bien encore pouvoir te tomber sur le nez.
La terreur des souterrains – Metro Last Light
Une lumière intense t’aveugle pendant quelques instants, alors qu’un champignon nucléaire s’élève au milieu des nuages. La centrale a beau être à des kilomètres, tu te doutes qu’il ne fait pas bon rester dans les parages. Pour éviter au maximum les radiations, tu te précipites dans la première bouche de métro venue.
Les escalators ne t’auront jamais semblés aussi longs ! Arrivez sur le quai, tu t’interroge soudain si tu as réellement pris la bonne décision… Les murs suintent de substances visqueuses, seules les dernières lumières de secours fonctionnent. Tu te souviens avec anxiété des légendes véhiculées dans Métro Last Light et tu commences à trembler.
Lorsque tu perçois dans les ténèbres du tunnel de gauche des couinements de rats puissance vingt, alors que deux yeux jaunâtres s’ouvrent brusquement, tu prends fissa la tangente pour rejoindre la première intersection.