La Gamescom n’a pas encore eu notre peau. Cahin-caha, on a rejoint le salon du jeu vidéo tôt ce matin, la fleur au fusil, pour tomber sur… des visiteurs public.
On a tenté de suivre une femme-chat pour ne pas nous planter de métro, peine perdue une fois encore. Il faut croire qu’un lapin est un meilleur guide ! Arrivé au salon on était d’ailleurs loin du Pays des Merveilles. C’était plus Lost in Harmony au son tonitruant des basses des stands, une galère sans nom pour circuler. Du coup, on a béni Machiavillain qui nous a permis de bouffer les visiteurs imprudents.
Autant se réfugier dans la zone pro. Les baskets ont été mises à l’épreuve entre les rendez-vous déplacés. D’ailleurs on se demande encore si la soirée Warner n’y est pas pour rien ! Ça vous assomme une gameuse tout ça, mais c’est une excellente excuse pour justifier l’oubli de la carte mémoire de la caméra dans l’ordinateur de la veille. Of (et off) course, pour la première interview…
Pour faire une pause physique autant que psychologique, la zone des développeurs indépendants français s’est révélée une magnifique oasis, dotée en plus, de sièges. Le bonheur le temps d’une après-midi et les coups de cœur ont été au rendez-vous !
Rendez-vous demain pour vivre notre prochaine aventure à la Gamescom !
Retrouvez tous nos articles sur la Gamescom ici !