Ça fait maintenant 14 ans que Kate Beckinsale se promène dans son pantalon en cuir ultra-moulé et si elle ne prend pas une ride (ou presque), la saga, elle, commence à sentir un peu le soufre. Mais on se rassure, Underworld : Blood Wars n’a pas encore rendu les armes.
Pas franchement immortelle. Contrairement à ses vampires, la franchise subit les effets du temps : le rendu visuel des Lycans fait désormais doucement rire et le pauvre jeu de Beckinsale la rapproche dangereusement du point de non retour, aussi appelé « Point Milla Jovovich ». D’ailleurs la saga partage avec Resident Evil ce goût ridicule du dénis de l’épisode précédent. Sinon, rien de nouveau à se mettre sous les crocs, on prend les mêmes et on recommence, les mèches blondes en plus.
Rester fidèle. Mais finalement est-ce qu’on s’attendait à autre chose ? Ce cinquième épisode demeure dans l’esprit de ses aînés, avec un certain retour aux sources. Ici on s’étripe joyeusement dans des châteaux gothiques et on participe à des soirées à faire pâlir Christian Grey, organisées par une Lara Pulver vampirisante. Certes Underworld : Blood Wars fait preuve d’un certain kitsch, mais il a encore du mordant ! Et puis c’est toujours plus mieux que Twilight non ?
3 commentaires
Alors là ,ça ne risque pas!
Twilight c’est plus que plus mieux bien!!
LPC
Alors là ,ça ne risque pas!
Twilight c’est plus que plus mieux bien!!
Dernier opus de la saga underworld minable. Scènes d’actions avec chinoiseries ridicules. Scénario pitoyable. Le réalisateur a vraiment saloper la saga.