Star Trek : Discovery était sans doute l’une des nouvelles séries les plus attendues de la rentrée notamment pour l’illustre héritage qu’elle remet sur le devant du petit écran. Il ne valait mieux pas se rater !
À couteaux tirés. On misait sur un début un peu pépère, avec mise en place des personnages et du fil rouge tout en forçant un peu les références à la saga pour appâter… on se trompait. Si mise en place il y a bien, elle n’a rien de tranquille ! Star Trek : Discovery nous offre un démarrage sans temps mort qui rappelle l’introduction du reboot d’Abrams en 2009. Une bataille spatiale qui est également l’occasion de voir le travail accompli sur le maquillage, les costumes et les effets-spéciaux qui n’a rien à envier à son pendant cinématographique.
Tenir ses promesses. Du côté du casting, il faut reconnaître que Sonequa Martin-Green est bien plus à son aise ici que dans The Walking Dead, bien secondée par Doug Jones et Michelle Yeoh. Les personnages ont tous une histoire qui ne demande qu’à être développée. Avec un lancement si fracassant, toute la difficulté va être maintenant de maintenir le rythme tout en déroulant davantage son univers. Mais avec Bryan Fuller, le papa d’Hannibal, à la barre, on a de quoi saliver.