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Accueil - Critique Parasyte the Grey : je pense donc je suis… un parasite
Critique Parasyte the Grey : je pense donc je suis... un parasite
© Netflix
Série

Critique Parasyte the Grey : je pense donc je suis… un parasite

Clem MP Clem MP7 avril 2024Aucun commentaireIl vous reste 5 minutes à lireUpdated:7 avril 2024
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Coup de polish sur la licence Parasite, avec cette mouture 2024 sous le signe de la Corée (et surtout des États-Unis).

La série Netflix en six épisodes Parasyte the Grey s’inspire librement du manga Parasite. Paru entre 1988 et 1994, ce seinen suit la cohabitation du jeune Shinichi et du parasite extraterrestre, Migi. Ce dernier infecte seulement sa main droite, donnant lieu à une relation au départ conflictuelle et finalement complémentaire. Parasyte the Grey reprend ce postulat. Une nuit, des parasites tombent du ciel et l’un d’eux infecte la jeune caissière Jeong Su-in (campée par Jeon So-nee). Mourante car en train de se faire attaquer par un psychopathe, le parasite s’épuise à la soigner et ne parvient à prendre totalement possession de son corps. Surnommé Heidi, en référence au Hyde de Mister Jeckyll, ce parasite devra cohabiter avec la timide jeune fille. Les deux devront survivre à la chasse au parasite initiée par la Team Grey.

Corée parasitée

Ce remix coréen réalisé par Yeon Sang-Oh (Peninsula, Hellbound…) respecte scrupuleusement certains thèmes de l’univers créé par Hitoshi Iwaaki. L’allure des parasites se calque si bien sur ses dessins originaux qu’on croirait souvent retrouver notre petit Migi. La relation entre Jeong Su-in et Heidi se fonde aussi sur celle de Shinichi et son parasite. Les deux apprennent à se connaître et à s’apprécier, au fil de passages introspectifs courts mais intenses. Et surtout, à coopérer lors des affrontements. Toujours conforme au produit de base, ces derniers ne lésinent pas sur le gore et les effusions d’hémoglobine. Et de nouveaux enjeux très intéressants s’y accolent, comme les démons du passé de Jeong Su-in. Mais ce portrait est presque trop parfait… car la coréanité de la série n’est, finalement, que de façade.

Critique Parasyte the Grey : je pense donc je suis... un parasite
© Netflix

Si cette adaptation instille quelques sujets de société vaguement coréens à son intrigue (crise du sens du travail, excellence scolaire), force est de constater que le géant américain est passé par là. Cette série traite le sujet des parasites du point de vue de la Team Grey, une sorte d’organisation paramilitaire version coréenne. Menée d’une main de fer par Choi Jun-kyung (Lee Jung-hyun), elle fait la chasse aux parasites conglomérés en secte. Les poncifs du genre d’action movie défilent alors l’un après l’autre. De la descente dans un hangar désaffecté au convoi autoroutier qui tourne mal, tous les clichés sont au rendez-vous. Revers plus glorieux de la médaille, cette veine enquête policière permet à cette série de ne pas créer de redondance avec le produit de base. Parasyte the Grey explore une nouvelle facette de la rivalité humains – parasites.

Je suis parasyte, un mélange de cultures

Là où Parasite s’embourbait rapidement dans un discours répétitif, Parasyte the Grey propose une intrigue beaucoup plus stimulante. Bien qu’elle ne se calibre pas très bien entre passages d’action démentielle et moments plus calmes de dialogues. Elle opte plutôt pour la première option, conduisant à suspens qui croîtra jusqu’à la toute fin. Ce, par un scénario qui n’épargne aucun de ses personnages. Au travers de dilemmes ou de rapports de force qui s’inversent en permanence, la donne change plusieurs fois par épisode. Cependant, ce schéma finit par nuire au développement de ses personnages. Refoulée aux deux derniers épisodes, la relation entre Jeong Su-in, Heidi et leur copain Seol Kang-woo explorera la facette la plus intéressante de l’œuvre. Et nous retrouvons ici l’un des thèmes de prédilection du cinéma coréen. Le regard des parasites sur l’humanité offrira un regard des plus critiques sur notre condition et flirtera avec la philosophie, grâce à des dialogues allant toujours droit au but.

Critique Parasyte the Grey : je pense donc je suis... un parasite
© Netflix

La patte coréenne de cette série sera la plus frappante dans son esthétique. Parasyte the Grey s’enveloppe d’une ambiance cinématographique. Yeon Sang-Oh, habitué à filmer de l’action et du sang (Dernier Train pour Busan), offre une qualité d’image et de plan remarquables. Ces dernières se perçoivent tant dans les scènes de baston, que d’introspection. Les premières marqueront par un rythme effréné. Sans compter les effets spéciaux particulièrement réussis qui changent des bouillies Hollywoodiennes (Expendables 4). Tandis que les secondes resteront mémorables par une caméra toujours bien posée et créant des ambiances uniques en jouant avec la lumière naturelle.

Mi-figue mi-raisin

Parasyte the Grey gagne presque le pari de rester fidèle à un univers, tout en y exploitant de nouvelles facettes. L’essence du manga de base est totalement respectée et sublimée par une image irréprochable. Mais, d’un autre côté, Netflix oblige, le propos a subi un lifting américain assez sévère. Au final, la série propose un mélange assez bizarre des genres. D’un côté, ses aspects américains tiennent atrocement en haleine en enchaînant cliffhanger sur cliffhanger. Tandis que son origine coréenne s’exaltera plutôt dans ses passages réflexifs et introspectifs, créant des personnages particulièrement consistants et attachants. Regrettable alors que ces moments ne soient relégués qu’à du meublage entre deux scènes de fusil à pompe.

La série Parasyte – The Grey est sortie le 5 avril 2024 sur Netflix. Elle s’inspire librement du manga Parasite dont adaptation animée de 2014 est aussi sur la plateforme.

Avis

7 Parasitage international

Parasyte the Grey propose une formule hybride entre l'Amérique et la Corée. De l'Amérique, elle pioche des scènes de confrontations armées de haute volée. De la Corée, elle développe ses personnages avec un soin remarquable. Le tout, en restant le plus fidèle possible à son matériau de base, le manga éponyme de Hitoshi Iwaaki. Point faible ? Les affaires de gros bras qui prennent un peu trop le pas sur la réflexion sur les humains et les parasites.

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