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Accueil - Critique Masters of the Air (mini-série) : la WW2 vue du ciel
Critique Masters of the Air (mini-série) : la WW2 vue du ciel
© Apple
Série

Critique Masters of the Air (mini-série) : la WW2 vue du ciel

Charley Charley24 janvier 2024Aucun commentaireIl vous reste 6 minutes à lire
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Suite spirituelle à Band of Brothers et The Pacific, Masters of the Air est sans nul doute une des plus grosses attentes séries de l’année. Une mini-série de 9 épisodes ayant coûté plus de 200 millions de dollars, contant les exploits de l’US Air Force lors de dangereux raids aériens au cours de la Seconde Guerre Mondiale. Une attente qui porte ses fruits, à un ou deux détails près !

Nous sommes en 1998, alors que l’immense Il Faut Sauver le Soldat Ryan débarque dans les salles de cinéma. Un film de guerre novateur et marquant, récompensé par plusieurs Oscars, où Steven Spielberg offrait un point de vue immersif totalement inédit auprès de soldats américains débarquant en France au cours de la WW2.

Fin de trilogie sur la Seconde Guerre Mondiale

Le succès est tel que Steven et Tom Hanks vont produire Band of Brothers, prolongement du film en mini-série pour lever le voile sur la Easy Company, un bataillon ayant pris part à toutes les plus grandes batailles d’Europe aux côtés de la Airborne Division et du régiment d’infanterie. Une mini-série culte qui peut encore aujourd’hui se targuer d’être une des plus grandes jamais tournées pour la télévision.

En 2010, rebelote avec The Pacific, mini-série toujours chez HBO s’intéressant cette fois-ci à trois marines s’engageant dans la Guerre au Pacifique face aux Japonais. Là encore, la qualité était au rendez-vous, et il faudra attendre plus d’une décennie encore pour que Masters of the Air débarque enfin !

Critique Masters of the Air (mini-série) : la WW2 vue du ciel
© Apple

Développée cette fois pour Apple, Masters of the Air nous plonge cette fois au sein de l’US Air Force, et plus précisément de la 8e division basée sur les côtes anglaises au cours de la WW2, de 1943 à 1945 ! S’ouvrant sur une séquence dansante, nous découvrons les Majors John « Bucky » Egan (Callum Turner) et Gale « Buck » Cleven (Austin Butler), deux amis sur le point de diriger la 8e Air Force et les dizaines de pilotes sous leurs ordres.

Nec plus ultra historique

Et à l’instar de ces aînées, Masters of the Air affiche une impressionnante reconstitution ponctuée de détails d’époque pointus. Des costumes aux engins utilisées en passant par les bases recrées de toute pièce, l’authenticité historique est le credo principal de la série, soucieux de se tenir à l’Histoire tout en proposant un point de vue de fiction.

Mais si certains personnages sont inventés, en particulier nos deux persos principaux, Masters of the Air n’hésite pas à s’intéresser à des figures ayant réellement existé : ce sera le cas d’Anthony Boyle dans le rôle du major Harry Crosby, ou bien les pilotes de l’escadron Tuskegee. Dès lors, la série n’hésitera pas à faire plusieurs pas de côté pour mieux pointer son focus sur tel ou tel groupe, et offrir une vision plus ample de la guerre aérienne !

Critique Masters of the Air (mini-série) : la WW2 vue du ciel
© Apple

Et ce qui s’apparente à une force narrative pourra aussi être considérée comme un défaut, diluant parfois l’intensité et l’implication émotionnelle de Masters of the Air. En effet, contrairement à Band of Brothers ou The Pacific (qui s’intéressaient aussi à divers groupuscules plus secondaires), la guerre est ici vue de manière plus périphérique, tandis que l’enfer des champs de bataille se délocalisent lors de violentes escarmouches aériennes.

Dans l’enfer des carlingues

Exit donc les comédiens plongés dans la boue et le sang, Masters of the Air se reposant donc quasi exclusivement sur des séquences combinant cockpits et carlingues en practical effects, et joutes d’avions en CGI. Une immédiateté beaucoup moins viscérale qui pourra en rebuter (on a d’ailleurs régulièrement quelques effets visuels moins réussis dans le lot), mais qui bénéficie d’entrée de jeu de la mise en scène de Cary Joji Fukunaga (True Detective, Beasts of No Nation, Mourir peut attendre).

La mise en scène des 4 premiers épisodes offre alors un vrai rendu cinématographique, tandis que le cinéaste (avec son chef opérateur Adam Arkapaw) s’intéresse avant tout à retranscrire l’insécurité des soldats au sein des bombardiers. Caméra à l’épaule qui tremble, point de vue semi-subjectif, déflagration des corps.. Masters of the Air est toujours réussie lorsqu’il s’agit de montrer ces engins de guerre comme des carcasses de métal proches du cercueil volant !

Critique Masters of the Air (mini-série) : la WW2 vue du ciel
© Apple

Mais très vite, Masters of the Air changera de réalisateur, et la différence se sent nettement ! Exit Fukunaga, Anna Boden et Ryan Fleck (Captain Marvel) se chargent de deux épisodes moins prenants, préférant s’attarder sur des personnages moins bien introduits, et refaisant les mêmes séquences aériennes avec une maestria moindre. Le tout reste carré, comme les deux épisodes suivant signés Dee Rees (Mudbound), mais l’impression d’un ralentissement global à mi-parcours de Masters of the Air se ressent.

Diversité au profit de l’efficacité

Heureusement, parmi les divers arcs narratifs, on appréciera que la série s’attarde sur des figures moins connues de l’Histoire, comme l’escadron afro-américain des Red Tails, ou bien amène une réflexion loin du bellicisme patriotique attendu. Une note d’intention particulièrement réussie lorsque Masters of the Air questionnera le bombardement de populations allemandes n’ayant pas grand chose à voir avec le régime Hitlérien, notamment via une très bonne apparition de Joanna Kulig (pour un court passage hélas).

Critique Masters of the Air (mini-série) : la WW2 vue du ciel
© Apple

Même si la majorité des personnages secondaires ne seront finalement pas bien marquants (on aurait aimé voir + de Ncuti Gatwa ou de Barry Keoghan), le casting de Masters of the Air reste un sans-faute, chacun apportant un beau degré d’incarnation. Nul acteur n’est à l’abri du sort plus ou moins funeste de son personnage, alors que chacun va au casse-pipe sous les ordres du duo Austin Butler-Callum Turner. Le premier s’impose dorénavant comme un des acteurs les plus charismatiques de sa génération, tandis que le second affiche une palette de jeu complète pour ce qui s’apparente in fine comme le protagoniste principal de la série.

Il faudra d’ailleurs saluer la finalité de Masters of the Air, dans un impressionnant épisode 9 en territoire ennemi, mis en scène par le vétéran Tim Van Patten (Game of Thrones). Un baroud d’honneur final moins proactif que ce que les autres œuvres du genre proposent habituellement,mais qui démontrent encore une fois de la recherche et de l’authenticité dépeinte par Masters of the Air !

Masters of the Air débute le 26 janvier 2024 sur Apple TV+, avec un épisode chaque vendredi

avis

7 la guerre donne des ailes

Avec Masters of the Air, la fin de trilogie initiée par les superbes Band of Brothers et The Pacific ne trouve peut-être pas une conclusion aussi brillante ou émotionnelle, mais fait montre une nouvelle fois d'une impeccable reconstitution d'époque qui n'oublie pas d'être un récit à la gloire des individus ayant tout sacrifié pour la liberté. Même si sa narration peut être un tantinet décousue à mi-parcours, cette mini-série s'avère aussi réussie,portée par un casting bien incarné !

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