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Accueil - Critique Les rats attaquent : téma l’agressivité du rongeur
Critique Les rats attaquent : téma l'agressivité du rongeur
© Rimini Editions
Cinéma

Critique Les rats attaquent : téma l’agressivité du rongeur

Clem MP Clem MP10 mai 2024Aucun commentaireIl vous reste 4 minutes à lire
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Les rats attaquent surfe comme il peut sur la vague lucrative des films d’horreur d’agressions animales des années 70.

Après les requins, les tomates géantes, les pieuvres et consort, voici venu le temps de l’attaque des rats mutants. Une fois de plus, le continent américain fait face aux dérives des manipulations génétiques sur les cultures (comme le pitch de l’Attaque des tomates tueuses sorti en 1978). Dans Les rats attaquent, ce seront nos amis (non) les rongeurs qui pâtiront de ces mutations d’ADN. Kelly Leonart, contrôleuse sanitaire, fait détruire des tonnes de maïs non conformes aux normes d’hygiène. Alors sans garde-manger, les rats géants se rapatrieront sur les humains. Un film d’horreur de catégorie B donc, sorti en 1982 et inspiré librement du premier livre de James Herbert (auteur spécialisé dans l’horreur). Il revient ce 12 avril via les Editions Rimini, qui l’ont remasterisé en Blu-ray / DVD.

Ratattac

Les rats attaquent propose, grosso-modo, une immersion dans une journée type des marseillais. Une ville se voit envahie de hordes surmulots agressifs et colporteurs de maladies en tous genres. Les meurtres sauvages et sanglants se multiplient, nécessitant une réponse radicale (non divulguée pour ne pas spoiler). Gore, épouvante et courses poursuites caractérisent ces exécutions collectives. Néanmoins, si le titre ne lésine pas sur les effusions sanguines et les gros plans bien dégoûtants, les rats ne seront pas les plus effrayants du horror game. Campés par des petits chiens (teckels et terriers) déguisés, ils se dandinent nonchalamment plutôt qu’ils ne se ruent sur leur victime.

Critique Les rats attaquent : téma l'agressivité du rongeur
@ Rimini Editions

Point intéressant pour ce genre de production, Les rats attaquent se dote d’une intrigue particulièrement fournie. Les victimes sont toutes dotées d’un background fourni pour accentuer le déchirement que procure leur mort. Enfin, développé ne rime pas nécessairement avec qualité. Nous retrouvons la sempiternelle bande de potes débiles à qui il arrive toutes les poisses possibles. Et, évidemment, le triangle amoureux bébête. Kelly et un prof de sport démarrent une idylle mise à mal par l’élève de ce dernier. Cette histoire de cœur pataude prend vite le pas sur le sujet initial du titre, la menace des rongeurs. Au final, cette dernière et des scènes oubliables occuperont la majeure partie du film.

Panique dans la souricière

Les rats attaquent adopte alors un rythme un peu étrange. Son début et sa fin haletants sont entrecoupés d’un corps mou qui plombe son rythme. Le début pose une contextualisation solide et efficace. D’abord par le cours sur les rats et la menace qu’ils représentent depuis des millénaires pour l’humanité. Puis, avec la première exécution sommaire, la tension atteint son comble. Mais, tout retombe hélas rapidement. Le titre s’embourbe dans une romance vaseuse et élude plusieurs sujets essentiels, comme la réaction des familles suite aux exécutions. L’attente du dénouement se fait longue. Heureusement, elle en valait la peine. Les deux dernières scènes au cinéma et au métro relèvent la barre et on est presque déçu qu’il se termine, car les choses sérieuses venaient à peine de commencer. Mais ceci est uniquement dû à un budget serré qui ne lui laissait pas de manœuvre.

Critique Les rats attaquent : téma l'agressivité du rongeur
@ Editions Rimini

Pour un film de cet acabit, Les rats attaquent se montre plutôt bien réalisé. L’image se révèle de très bonne qualité, notamment grâce à remaster très propre chapeauté par les Éditions Rimini. Robert Clouse (réalisateur de plusieurs films avec Bruce Lee) tourne son long-métrage via des gros plans basiques sur les visages, mais qui lui donneront une esthétique particulière lors des scènes d’action. Ces dernières seront relevées d’une bande-son à l’orchestre vintage aujourd’hui, mais toujours efficace.

Ratus agressivicus

Les rats attaquent tente de faire quelque chose de son sujet. La réflexion sur la place des rats dans l’histoire et la première mort témoignent de cette bonne volonté. Mais le manque de budget est passé par là… le film gonfle sa durée de vie par des scènes sentimentales pas chères à produire tandis que les rats ne commencent à réellement semer la zizanie qu’à la toute fin.

Les rats attaquent est sorti en 1982. Les Éditions Rimini l’ont remasterisé dans un coffret Blu-ray / DVD + livret paru le 12 avril 2024.

Avis

5 Manque de mordant

Dans les rats attaquent, les rats, ou plutôt les teckels déguisés, attaqueront peu. La faute à un manque de sous. L'horreur est donc reléguée à quelques scènes succinctes, au profit d'un meublage sentimental peu convaincant.

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