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Accueil - Critique Flow : le chat qui n’avait pas peur de l’eau
Critique Flow : le chat qui n'avait pas peur de l'eau
© UFO Distribution
Cinéma

Critique Flow : le chat qui n’avait pas peur de l’eau

Charley Charley26 octobre 2024Aucun commentaireIl vous reste 3 minutes à lire
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Présenté au Festival de Cannes dans la sélection Un Certain Regard, Flow a également décroché les Prix du Jury et du Public à Annecy. C’est très simple, Gints Zilbalodis signe sans nul doute le film d’animation de l’année !

Ayant eu sa première au Festival de Cannes 2024, Flow a su conquérir la Croisette en plus du Festival d’Annecy. Détenteur de prix les plus importants du fameux festival d’animation, ce récit singulier est le second long-métrage du letton Gints Zilbalodis. Cet animateur avait déjà traité d’un périple existentiel avec Away, et décuple son concept ici dans un tout autre univers visuel.

Critique Flow : le chat qui n'avait pas peur de l'eau
© UFO Distribution

Flow nous invite donc dans un monde où l’humanité semble avoir disparu, mais où les animaux peuplent toujours des paysages dominés par la nature. C’est alors qu’une montée des eaux fulgurante survient, arrachant un chat solitaire de son foyer désormais submergé. Fuyant un destin funeste, ce dernier trouvera refuge sur un bateau, avec comme compagnons de fortune un joyeux labrador, un capybara paresseux, un lémurien cleptomane et un serpentaire blessé à l’aile.

Outre le défi de surmonter sa peur de l’eau, le héros félin devra également s’entendre avec avec ses nouveaux camarades afin de survivre à ce monde nouveau. Un canevas alléchant pour un film d’animation, mais qui prend à contrepied son programme d’aventure animalière par un traitement unique, que ce soit dans sa facture visuelle ou bien son abord narratif.

Quintessence de la mise en scène

En effet, Zilbalodis livre avec Flow un film entièrement muet, mu par par une caméra libre évoluant dans l’univers épuré du métrage. Une impression de « jeu vidéo » pour certains, mais qui doit avant tout à une mise en scène ultra immersive évoluant dans un monde construit en trois dimensions. Point de mise en scène en aplat, le point de vue s’attardera autant sur la beauté de paysages vierges que sur les détails des corps ou des regards des protagonistes animaux.

Critique Flow : le chat qui n'avait pas peur de l'eau
© UFO Distribution

La vraie force motrice de Flow donc, qui s’avère aussi ludique que contemplatif, parvenant à caractériser en 2 secondes chaque personnage via notre connaissance universelle du comportement des fameux persos animaliers. Car oui, le fameux chat est « trop mignon » : un élément qui d’office rend le visionnage complètement sympathique et communicatif, mais Zilbalodis croque immédiatement ses pions pour les dévoiler au fur et à mesure de la dérive navale (qui représente l’essentiel du récit) et traiter cette dynamique communautaire.

La communauté de la montée des eaux

On se retrouve ainsi avec un métrage parvenant de manière complètement éloquente à transcrire l’importance du collectif via la spatialisation de sa mise en scène que bon nombre de films verbeux ! Flow affiche par ailleurs un discret (mais éloquent) world-building à la direction artistique parfois proche d’une production de Fumito Ueda (Ico, The Last Guardian) via des constructions antiques dont on peine à déterminer l’âge, comme vestiges de la trace de l’Homme.

Critique Flow : le chat qui n'avait pas peur de l'eau
© UFO Distribution

En résulte une proposition aussi douce qu’unique, prenant des accents existentiels insoupçonnés dans son dernier tiers, impliquant vision fantasmagorique sur notre place dans l’univers, ou encore la figure hautement symbolique de la baleine laissant avec Flow une fin en suspens, où les apparences d’un monde subissant des bouleversements constants pourra toujours conquête sur l’entraide entre les individus.

Flow sortira au cinéma le 30 octobre 2024

avis

8 le plus beau film d'animation de l'année

Gints Zilbalodis livre avec Flow un périple aussi touchant que singulier, où une mise en scène extrêmement libre et maîtrisée est capable de capter les nuances émotionnelles de protagonistes muets, dans un monde en constante évolution. Plus éloquents que bon nombre de métrages verbeux sur la nécessité du collectif pour survivre, on tient sans nul doute le meilleur film d'animation de l'année !

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Annecy Cannes
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