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Accueil - Critique Bob Marley One Love : le reggae sans la ganja
Critique Bob Marley One Love : le reggae sans la ganja
© Universal
Cinéma

Critique Bob Marley One Love : le reggae sans la ganja

Charley Charley11 février 2024Aucun commentaireIl vous reste 5 minutes à lire
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Bob Marley One Love était inévitable : quoi de plus cohérent que de faire un biopic sur une des plus grandes icônes de la musique du siècle dernier ? Le parrain du reggae a ainsi droit au grand écran, dans un récit abordant sa vie lors des deux années les plus décisives de sa vie. Mais malgré la révérence et le respect affiché, difficile d’être conquis..

On ne présente plus Bob Marley, chanteur légendaire ayant mis la Jamaïque sur la map-monde de la musique reggae de manière indélébile. Ayant grandi dans un climat de violences et de guerre civile, il est l’incarnation même du mouvement pacifiste rastafari qui a émergé dans les années 60-70. Une identité iconique donc, plus ou moins récupéré depuis avec sourire devant la démocratisation de l’usage de weed.

Critique Bob Marley One Love : le reggae sans la ganja
© Universal

Il n’était donc pas étonnant que Bob Marley One Love survienne un jour ou l’autre, alors que le genre du biopic est décliné à toutes les sauces. Mais fait intéressant, ce nouveau film réalisé par Reinaldo Marcus Green (derrière le très sympathique La Méthode Williams) , et notamment écrit par Terence Winter (Les Sopranos, Boardwalk Empire, Le Loup de Wall Street). Mais évidemment, le script a aussi des réécritures (par Zach Baylin notamment, qui a aussi bossé sur Creed 3 et Gran Turismo).

Hagiographie de Bob Marley

Dès lors, Bob Marley One Love pourrait avoir un aspect bicéphale en terme d’intention : narrativement parlant il n’en est rien, tant le métrage se veut globalement respectueux de l’héritage du chanteur (quitte a rien égratigner), mais aussi dans la manière d’aborder son histoire. Ainsi, nous découvrons le chanteur en 1976 en compagnie de son groupe les Wailers.

La troupe a déjà un réel succès international et plusieurs albums à leurs actifs, mais le climat politique de la Jamaïque et les tensions sociales émergentes ne sont pas raccord avec le message pacifiste de Bob Marley. Si bien que ce dernier est attaqué chez lui par des individus armés ayant presque réussi à tuer sa femme Rita. En plein exil forcé en Angleterre, le chanteur va ainsi développer son album Exodus, tout en planifiant un concert important à Kingtson en 1978.

Critique Bob Marley One Love : le reggae sans la ganja
© Universal

Tout comme d’illustres biopics chez Michael Mann (Ali, Ferrari), Bob Marley One Love a la bonne idée de ne pas retracer chronologiquement la vie entière du chanteur. Le focus est donc de se concentrer sur la période la plus importante de sa vie, quelque part entre la fame déjà installée, les problématiques de couple, la naissance d’un des plus grands albums du XXe siècle et le crépuscule de sa vie.

Biopic sans aspérité

Si quelques torsions du réel sont bien là (notamment sur le diagnostic du mélanome qui lui sera fatal 3 ans plus tard), Bob Marley One Love parvient à efficacement condenser toutes les composantes d’un récit résumant scolairement qui est Bob Marley sur le papier. On notera aussi l’usage ponctuel de quelques flash-backs sur son enfance et la rencontre avec Rita, pour emmener le récit vers quelque chose de plus testamentaire et réflexif sur leur union.

Mais passée une écriture sans grande fausse note (et efficace pour un film d’1h45), le constat est rapidement alarmant, tant ce Bob Marley One Love se révèle lisse à tous points de vue. En effet, rien que dans la mise en place narrative, le film nous abreuve de quelques vagues plans de tanks ou bras armés pour évoquer la guerre civile, ainsi que de deux coups de feu en pleine rue pour illustrer la violence globale. Un aspect timoré qui contaminera chaque pan de la vie de Marley, pour un projet désireux de ne rien égratigner ou rien critiquer de manière frontale.

Critique Bob Marley One Love : le reggae sans la ganja
© Universal

Là encore si le contexte politique restera globalement nébuleux pour tout spectateur néophyte, jusque dans l’éviction quasi complète des infidélités du chanteur ou de la parentalité qui en découle..au profit d’une romance plus consensuelle avec une Rita Marley heureusement impeccablement interprétée par Lashana Lynch (Mourir peut attendre). Car oui, le casting global est une réussite qui parvient à quand même faire passer la pilule, tout en posant une certaine problématique.

Entre révérence et désincarnation

En effet, Kingsley Ben-Adir (One Night in Miami, Secret Invasion, Barbie) joue Bob Marley de manière convaincante, accent compris (une des belles qualités du film étant le phrasé caractéristique présent tout au long du métrage). Le souci : l’acteur ne l’incarne pas réellement ! Sans doute le fait que l’imaginaire collectif sait comment était Bob Marley, avec son faciès jovial et pittoresque.

Pas de quoi lui lancer la pierre donc, d’autant que prendre un sosie complet n’a jamais été un credo imparable dans la bonne fabrication d’un biopic. Mais à l’instar du film en lui-même,on tient quelque chose d’appliqué, sans être profondément incarné. On appréciera l’élaboration parfois cocasse de l’album Exodus, ainsi que la bande-son rythmée par les tubes de Marley (avec sens sans être du juke-box gratuit), mais ce Bob Marley One Love se présente plus comme une introduction appliquée pour néophyte que biopic réellement réussi.

Bob Marley One Love sortira au cinéma le 14 février 2024

Avis

4.5 every little thing's not gonna be alright

Plus illustratif qu'incarné, Bob Marley One Love fait partie de ces biopics scolaires et appliqués, sans jamais n'avoir quelque chose à dire sur son personnage ou son contexte politique. En résulte un film certes respectueux de l'héritage du Dieu du reggae,mais se terminant de manière aseptisée et sans réelle émotion malgré le talent de ses interprètes. Pour les néophytes, il y aura évidemment des choses à glaner, pour les autres il existe un documentaire sur Bob Marley par Kevin Macdonald qui demeure encore aujourd'hui la référence absolue. Décevant !

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