Lorsqu’une porte se ferme, une autre s’ouvre. Malheureusement pour Imageepoch, celle-ci restera définitivement fermée. En guise d’adieu, le studio a décidé de sortir Stella Glow, leur dernier J-RPG. La dernière clef du succès ?
Alto, un orphelin amnésique, part en quête avec ses compagnons pour délivrer les habitants du village en proie à une malédiction lancée par la méchante Hilda. Tel un J-RPG, les clichés scénaristiques pullulent et l’histoire n’emporte jamais le joueur, malgré la présence de personnages charismatiques et attachants. Alors que les cinématiques se révèlent jolies à regarder, le style graphique adopté lors des phases du jeu n’impressionne pas et déçoit.
Les affrontements, calqués sur Fire Emblem, se déroulent au tour par tour en vue isométrique sur un champ de bataille. Les développeurs ont intégré un système original lié aux chants, utilisable uniquement par les sorcières de l’équipe. En remplissant une jauge au fil du combat, une magicienne pourra pousser la chansonnette, mélodie octroyant des bonus intéressants aux alliés. En plus d’apporter un concept novateur, les chansons interprétées par des stars de la J-pop dynamisent la partie tout en étant agréable à l’écoute. On adhère et on en redemande !
Stella Glow apporte quelques mécaniques de gameplay bien pensées, mais pas assez pour en faire un incontournable.