Disponible depuis début février, Nioh en aura sans doute fait suer plus d’un. La faute notamment à une attente longue de plus de 12 ans, de quoi jalouser les fans de Final Fantasy. Mais surtout en raison de la difficulté extrême de son gameplay. Alors Nioh vaut-t-il vraiment son titre de « Darksoulien japonais » ?
Apprendre à mourir pour mieux vaincre. On retrouvera ici les mêmes mécaniques que dans notre bien-aimé Darksoul III. Pas la peine de vous précipiter tel un guerrier de Gears of War pour progresser, au contraire. L’esquive et la parade seront vos meilleurs amis durant l’intégralité du jeu. Ne négligez ni la jauge d’endurance ni votre ki sous peine de Game Over assuré. Car le titre ne se la joue pas casual et ne vous épargnera pas le labeur !
Graphiquement correct. Si Nioh regorge de détails dans sa conception (gestion de l’équipement, armure…) mais il pêche sur la finition graphique, c’est bien dommage. Malgré des animations réussies lors des cinématiques, le jeu japonais aurait pu être optimisé afin d’offrir la même résolution graphique sur PS4 et PS4 pro.
En conclusion, Nioh est exigeant voire intransigeant, et vous apprendra qu’il n’y a pas de « petite victoire ».
Prescilia Correnti